Leçons de philosophie, Volume 1Brunot-Labbe, 1815 |
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Page 272
... a de vraies lumières , qu'autant qu'on a fait une étude approfondie de la métaphysique . Toute la science humaine , envisagée d'une vue générale , se réduit à des principes et à leurs conséquences . Les consé- quences qui 272 ONZIÈME LEÇON.
... a de vraies lumières , qu'autant qu'on a fait une étude approfondie de la métaphysique . Toute la science humaine , envisagée d'une vue générale , se réduit à des principes et à leurs conséquences . Les consé- quences qui 272 ONZIÈME LEÇON.
Page 285
... L'idée d'animal , étant une idée générale , ou générique , on l'appelle genre ; et l'idée de rai- sonnable , séparant , différenciant l'animal qu'on veut désigner , de tous les autres , on l'appelle DE PHILOSOPHIE . 285.
... L'idée d'animal , étant une idée générale , ou générique , on l'appelle genre ; et l'idée de rai- sonnable , séparant , différenciant l'animal qu'on veut désigner , de tous les autres , on l'appelle DE PHILOSOPHIE . 285.
Page 286
... générale qu'on appelle ainsi , ne doit pas être un genre trop éloigné , ou une idée trop générale ; mais le genre prochain , c'est - à - dire , l'idée générale la plus voisine , ou l'idée générale la moins gé- nérale . On définirait mal ...
... générale qu'on appelle ainsi , ne doit pas être un genre trop éloigné , ou une idée trop générale ; mais le genre prochain , c'est - à - dire , l'idée générale la plus voisine , ou l'idée générale la moins gé- nérale . On définirait mal ...
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... générale , très - constante . Cette forme est la pensée » . ( Hist . nat . , t . 4 , p . 153. 12. ) Comment Buffon , que la nature avait doué d'une imagination si riche , si flexible , si variée ; lui , dont le génie se plaisait ...
... générale , très - constante . Cette forme est la pensée » . ( Hist . nat . , t . 4 , p . 153. 12. ) Comment Buffon , que la nature avait doué d'une imagination si riche , si flexible , si variée ; lui , dont le génie se plaisait ...
Page 401
... générale , à une forme générale , qu'on interpose entre l'âme et ses fa- cultés réelles ; pensée , óu forme inutile , forme dont il est impossible de se faire une idée , car elle n'est rien : ce n'est qu'un mot représentatif des deux ...
... générale , à une forme générale , qu'on interpose entre l'âme et ses fa- cultés réelles ; pensée , óu forme inutile , forme dont il est impossible de se faire une idée , car elle n'est rien : ce n'est qu'un mot représentatif des deux ...
Expressions et termes fréquents
activité anté Aristote attention avons Bacon besoin Boileau Buffon capacité de sentir cause comparaison compose connaissances connaître conséquences corps cultés définir définitions dérive Descartes différentes dire donner Éaque effet ennéagone entendement esprit Euclide faculté de sentir facultés de l'âme facultés de l'entendement forme idées insépa j'ai jugemens jugement l'action l'àme l'analyse l'attention l'attribut l'esprit l'homme l'idée l'imagination l'origine langage langue lativement leçon liberté morale Locke logique lonté loppe losophie malaise Mallebranche manière matérialisme ment métaphysiciens métaphysique méthode modification Montesquieu montrer mot pensée mots mouvemens néces nécessaire nière objets odeur opérations Panaque parler Pascal passive pensée perception philosophie pourrait préférence première principe prouver qu'est-ce qu'une question raison raisonnemens rapport réflexion rétine réunion rien sations science sens sensa sensibilité serait seule signes simple proposition successivement suppose surface terminée système de Condillac système des facultés tence tention tion Traité des sensations triangle trouve vérité Voilà volonté Voltaire vrai
Fréquemment cités
Page 344 - Aimez donc la raison : que toujours vos écrits Empruntent d'elle seule et leur lustre et leur prix.
Page 398 - Mais on n'en sera pas surpris , si l'on remarque que cette admirable science ne s'attachant qu'aux choses les plus simples, cette même qualité qui les rend dignes d'être ses objets les rend incapables d'être définies ; de sorte que le manque de définition est plutôt une perfection qu'un défaut, parce qu'il ne vient pas de leur obscurité, mais au contraire de leur extrême évidence, qui est telle qu'encore qu'elle n'ait pas la conviction des démonstrations, elle en a toute la certitude.
Page 304 - D'où il paraît que les définitions sont très-libres, et qu'elles ne sont jamais sujettes à être contredites, car il n'ya rien de plus permis que de donner à une chose qu'on a clairement désignée un nom tel qu'on voudra.
Page 345 - C'est d'un scrupule vain s'alarmer sottement Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence, De donner à Thémis ni bandeau ni balance, De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain, Ou le Temps qui s'enfuit une horloge à la main ; Et partout des discours comme une idolâtrie, Dans leur faux zèle, iront chasser l'Allégorie.
Page 240 - OOIT que nous nous élevions, pour parler métaphoriquement, jusque dans les cieux, soit que nous descendions dans les abîmes, nous ne sortons point de nous-mêmes, et ce n'est jamais que notre propre pensée que nous apercevons.
Page 396 - On ne peut entreprendre de définir l'être sans tomber dans cette absurdité : car on ne peut définir un mot sans commencer par celui-ci , c'est, soit qu'on l'exprime ou qu'on le sous-entende. Donc pour définir l'être, il faudrait dire c'est, et ainsi employer le mot défini dans sa définition.
Page 232 - II ya en nous un principe de nos actions , que nous sentons, mais que nous ne pouvons définir : on l'appelle force. Nous sommes également actifs par rapport à tout ce que cette force produit en nous ou au dehors. Nous le sommes, par exemple, lorsque nous réfléchissons ou lorsque nous faisons mouvoir un corps.
Page 394 - Aussi, en poussant les recherches de plus en plus, on arrive nécessairement à des mots primitifs qu'on ne peut plus définir, et à des principes si clairs qu'on n'en trouve plus qui le soient davantage pour servir à leur preuve.
Page 37 - , entre mille roseaux, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux. Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante, Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
Page 135 - La comparaison n'est donc qu'une double attention : elle consiste dans deux sensations qu'on éprouve comme si on les éprouvait seules, et qui excluent toutes les autres.