 | Gabriel Henry - 1812 - 760 pages
...de Londret. » gens de lettres , et d'un mérite fort au-dessus » du commun. Dans cesassemble'es,si quelqu'un » de la compagnie avoit fait un ouvrage, comme » il arrivoit souvent, il le communiquoit à tous » les autres, qui lui eu disoient librement leur » avis». Tel fut le berceau de l'Académie.... | |
 | Paul Pellisson-Fontanier, Pierre-Joseph Thoulier Olivet - 1858 - 570 pages
...recevoir, et au cœur de la ville ', d'où tous les autres étoient presque également éloignés. Là ils s'entretenoient familièrement, comme ils...toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles, de helles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avoit fait un ouvrage, comme il arrivoit souvent,... | |
 | 1858 - 516 pages
...together, laid the foundations of the Académie Franfaise. To quote Pellisson : — Ils s'entretenaient familièrement, comme ils eussent fait en une visite...toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, il le communiquait volontiers... | |
 | Charles Barthélemy - 1859 - 472 pages
...de la ville, d'où tous les autres étaient presque également éloignés. Là ils s'entretenaient familièrement; comme ils eussent fait en une visite...de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | Joseph Marie comte de Maistre - 1859 - 476 pages
...de la ville, d'où tous les autres étaient presque également éloignés. Là ils s'entretenaient familièrement; comme ils eussent fait en une visite...de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | Ernest Renan - 1859 - 490 pages
...s'entretenaient familièrement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toules sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait sou vent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | Jacques Demogeot - 1859 - 522 pages
...s'assembloiént chez M. Conrart qui s'étoit trouvé le plus commodément logé pour les recevoir.... Là, ils s'entretenoient familièrement, comme ils eussent fait en une visite ordinaire.... Que si quelqu'un de la compagnie avoit fait un ouvrage, comme il arrivoit souvent, il le communiquoit... | |
 | Gabrielle Beuvain d'Altenheym - 1860 - 430 pages
...Conrart.... là ils s'entretenaient familièrement , comme ils eussent fait en une visite ordinaire, de toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles...de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | Gabrielle Soumet Beuvain d' Altenheim, Gabrielle Soumet Altenheim (dame Beuvain d') - 1860 - 434 pages
...Conrart.... là ils s'entretenaient familièrement , comme ils eussent fait en une visite ordinaire, de toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles...de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
 | François Guizot - 1875 - 588 pages
...s'entretenaient familièrement comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toutes sortes de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le communiquait volontiers à tous les autres,... | |
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Là ils s'entretenaient familièrement; comme ils eussent fait en une visite ordinaire, et de toute sorte de choses, d'affaires, de nouvelles, de belles-lettres. Que si quelqu'un de la compagnie avait fait un ouvrage, comme il arrivait souvent, il le... 
