La légende de Don Juan: son évolution dans la littérature, des origines au romantismeHachette, 1906 - 547 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 49
Page xiii
... Giliberto et les premiers scenarii italiens , il est bien difficile de suivre le passage de la fable d'Italie en France et en Allemagne au XVIIe siècle . La question des origines est plus ardue encore : un mystère que les travaux de ...
... Giliberto et les premiers scenarii italiens , il est bien difficile de suivre le passage de la fable d'Italie en France et en Allemagne au XVIIe siècle . La question des origines est plus ardue encore : un mystère que les travaux de ...
Page xiv
... modèles français qui ne sont eux - mêmes que les traducteurs de l'Italien Giliberto . L'Angle- terre , en apparence si isolée géographiquement et intellec- tuellement du reste de l'Europe , a beau concevoir un XIV PRÉFACE .
... modèles français qui ne sont eux - mêmes que les traducteurs de l'Italien Giliberto . L'Angle- terre , en apparence si isolée géographiquement et intellec- tuellement du reste de l'Europe , a beau concevoir un XIV PRÉFACE .
Page 54
... Giliberto et , sans aucun doute , était chez Giliberto lui - même . Comme Don Juan , Aurelio oblige l'ermite à se dépouiller de ses vêtements ; comme Don Juan il est poursuivi , non plus ici par le fiancé , mais par le père de sa ...
... Giliberto et , sans aucun doute , était chez Giliberto lui - même . Comme Don Juan , Aurelio oblige l'ermite à se dépouiller de ses vêtements ; comme Don Juan il est poursuivi , non plus ici par le fiancé , mais par le père de sa ...
Page 95
... Giliberto . Introduction de la légende en France par un scenario d'auteur inconnu . Le Festin de Pierre de Dorimon et de Villiers une double imitation française de la pièce de Giliberto . Une nouvelle conception de Don Juan . Le ...
... Giliberto . Introduction de la légende en France par un scenario d'auteur inconnu . Le Festin de Pierre de Dorimon et de Villiers une double imitation française de la pièce de Giliberto . Une nouvelle conception de Don Juan . Le ...
Page 97
... Giliberto est aujourd'hui perdue ; nous savons seulement qu'elle fut publiée à Naples en 1652 par le libraire Francesco Savio , sous ce titre : il Convitato di pietra d'Onofrio Giliberto de Solofra1 . Nous démontrerons plus loin que ...
... Giliberto est aujourd'hui perdue ; nous savons seulement qu'elle fut publiée à Naples en 1652 par le libraire Francesco Savio , sous ce titre : il Convitato di pietra d'Onofrio Giliberto de Solofra1 . Nous démontrerons plus loin que ...
Autres éditions - Tout afficher
La légende de Don Juan: son évolution dans la littérature, des origines au ... Georges Gendarme de Bévotte Affichage du livre entier - 1906 |
La légende de Don Juan: son évolution dans la littérature, des origines au ... Georges Gendarme de Bévotte Affichage du livre entier - 1906 |
Expressions et termes fréquents
acte amour Arlequin assez aventures Burlador Byron Castil-Blaze Catalinon celui-ci chant châtiment Cicognini cœur comédie comique commandeur Commedia Commedia dell'arte conception Convitato di pietra Convive de Pierre d'Elvire débauché détails dévots Dieu don John Don Juan don Philippe don Pietro doña Ana donna Anna Dorimon drame éléments Elvire emprunté Espagne fable facéties Farinelli Faust femme Festin de Pierre Giliberto Goldoni héros homme imitation inspiré Italie italien jeune fille jouée Juan de Molière l'amour l'invitation lazzi légende de Don Leonzio libertin libertinage littérature Lope lui-même maître ment mœurs morale mort Octavio œuvres Passarino passions paysans pêcheuse père Perrucci personnage pièce espagnole pièces de Dorimon plaisanteries poète première Puppenspiele qu'un raison religieux représentation Rosimond scenario scène sentiments seulement Séville Sganarelle Shadwell statue sujet surnaturel Tartuffe Tenorio texte théâtre théâtre italien Thomas Corneille tion Tirso Tirso de Molina Tisbea transformation troupe valet vices victime Villiers Wurst XVIIe siècle
Fréquemment cités
Page 151 - On goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on y fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur et la mener doucement où nous avons envie de la faire venir.
Page 134 - Y at-il une école d'athéisme plus ouverte que le Festin de Pierre, où, après avoir fait dire toutes les impiétés les plus horribles à un athée qui a beaucoup d'esprit, l'auteur confie la cause de Dieu à un valet, à qui il fait dire, pour la soutenir, toutes les impertinences du monde...
Page 182 - Dame, demoiselle, bourgeoise, paysanne, il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui...
Page 422 - Ambition was my idol, which was broken Before the shrines of Sorrow and of Pleasure; And the two last have left me many a token O'er which reflection may be made at leisure: Now, like Friar Bacon's brazen head, I've spoken,* 'Time is, Time was, Time's past...
Page 146 - Don Juan casts back to the original in point of impenitence ; but in piety he falls off greatly. True, he also proposes to repent; but in what terms ! " Oui, ma foi ! il faut s'amender. Encore vingt ou trente ans de cette vie-ci, et puis nous songerons a nous.
Page 252 - J'ai remarqué depuis longtemps, que si ce moyen n'est pas toujours nécessaire à employer pour séduire une jeune fille, il est indispensable, et souvent même le plus efficace, quand on veut la dépraver; car celle qui ne respecte pas sa mère ne se respectera pas elle-même...
Page 49 - Doze comedias nuevas de Lope de Vega Carpio, y otros autores. Segunda parte. Impreso con licencia. En Barcelona por Jeronimo Margarit, ano de 1630.
Page 140 - JUAN, à Sganarelle. Prends ce flambeau. LA STATUE. On n'a pas besoin de lumière, quand on est conduit par le ciel.
Page 69 - Je ne les endors pas, je les éveille : ils sont si vifs qu'ils n'ont pas le loisir d'être tendres ; leurs regards sont des désirs : au lieu de soupirer, ils attaquent ; ils ne demandent point d'amour, ils le supposent. Ils ne disent point : « Faites-moi grâce », ils la prennent. Ils ont du respect, mais ils le perdent; et voilà ce* qu'il faut.
Page 150 - Qu'on puisse voir dessous lu calotte des cieux, Un qui commet partout des crimes effroyables, Qui se moque de tout, ne craint ni dieux ni diables. Qui tue et qui viole : au reste, homme de bien.