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L'ÉCOLE DES FEMMES,

Représentée en 1662, imprimée en 1663.

LA CRITIQUE

DE L'ÉCOLE DES FEMMES,

Représentée et imprimée en 1663.

L'IMPROMPTU DE VERSAILLES,

Représenté en 1663, imprimé dans l'édit. de 1682 (1).

Panégyrique de l'École des Femmes, ou la Conversation comique sur les OEuvres de M. de Molière, comédie en prose en un acte; Paris, Pepingué, 1663, in-12.

Non représentée.

Zélinde, ou la véritable Critique de l'École des Femmes, et la Critique de la Critique, comédie en prose en un acte, par le sieur Doneau de Vizé; Paris, Barbin, 1663, in-12.

Cette pièce ne paraît pas avoir été représentée.

Le Portrait du Peintre, ou la Contre-critique de l'École des Femmes, comédie en vers en un acte, par le sieur Boursault, représentée sur le théâtre royal de l'hôtel de Bourgogne; Paris, Guignard, 1663, in-12.

La Vengeance des Marquis, ou Réponse à l'Impromptu de Versailles, comédie en prose en un acte (par De Villiers), représentée (à la fin de l'année 1663) sur le théâtre de l'hôtel de Bourgogne; Paris, Loyson, 1664, in-12.

L'Impromptu de l'hôtel de Condé, comédie en vers en un acte (par A. J. de Montfleuri), représentée sur le théâtre de l'hôtel de Bourgogne (en janvier 1664); Paris, Pepingué, 1664, in-12. La Guerre comique, ou la Défense de l'École des Femmes du sicur de Molière, et de sa Critique, par le sieur P. de la Crcix; Paris, Bienfait, 1664, in-12.

Les Amours de Calotin, comédie en vers en trois actes, avec un ballet (par Chevalier), représentée ( en 1664) sur le théâtre royal du Marais; Paris, Trabouillet, 1664, in-12.

(1) La Critique et l'Impromptu étant elles-mêmes des pièces du procès de l'École des Femmes, et les ouvrages, en réponse à ces deux petites comédies roulant en grande partie sur l'œuvre principale, nous avons cru devoir les réunir.

LE MARIAGE FORCÉ,

Représenté en 1664, imprimé en 1668,

Le Mariage forcé, comédie de Molière mise en vers par M***; Paris, veuve Dupont, 1676, in-12.

Non représentée.

Biea que la Permission soit de 1674, cette pièce ne parut qu'en 1676.

LA PRINCESSE D'ÉLIDE,

Représentée en 1664, imprimée dans l'édit. de 1682.

La Princesse d'Élide, toute en vers, telle qu'on la joue à présen! sur le théâtre de Paris.

Versificateur anonyme.

Imprimée dans l'édition des OEuvres de Molière; Amsterdam, Wetstein, 1725. La Princesse d'Élide, comédie de Molière mise en vers, représentée pour la première fois le 27 décembre 1756.

Nous trouvons mention de cette pièce dans le Mercure de France de janvier 1751, page 203, dans le Dictionnaire des Théâtres de Léris, et dans l'Histoire du Théâtre Français de De Mouhy. Ce dernier ajoute : « Un anonyme ayant osé corriger Molière, on en fut indigné, et personne ne se trouva à la seconde représentation. » Ni l'un ni l'autre de ces historiens ne semble avoir eu connaissance du semblable changement qu'on avait fait subir à cette pièce vers 1725. (Voyez le n°. précédent). N'y a-t-il pas lieu de penser que la représentation du 27 décembre 1756 n'était qu'une reprise de la pièce arrangée en 1725? C'est un doute que nous soumettons à nos bibliographes. La Princesse d'Élide, comédie de Molière, mise en vers.

Imprimée dans un Recueil de pièces dramatiques anciennes et nouvelles, Bouillon, de l'imprimerie de la Société Typographique, 1785, in-8°. La Princesse d'Élide, comédie-ballet de Molière, arrangée en trois actes et continuée en vers, par M. Pieyre.

Imprimée dans son Théâtre, Orléans, 1808 — 1811; deux vol. in-8°.

LE TARTUFFE,

ou l'imposteur,

Représenté en 1664, imprimé en 1669 (1).

Lettre sur la comédie de l'Imposteur, 1667, in-12.

Sans lieu d'impression, nom d'auteur, ni de libraire. Cette lettre fut réim

(1) Les OEuvres de Molière ont été traduites en italien comme dans presque toutes les autres langues. Mais outre la traduction complète de son Théâtre dans cette dernière langue, on a une imitation particulière du Tartuffe :

Il Don Pilone, owero il Bacchettone falso, commedia ( di 3 atti è in prosa )

primée en 1668 sous le même titre, et en 1670 sous celui d'Observations sur la comédie de l'Imposteur.

La Critique du Tartuffe, comédie en vers en un acte; Paris, Quinet, in-12.

1670,

Non représentée. Cette pièce est précédée d'une Lettre critique sur le Tartuffe écrite à l'auteur de la Critique, également anonyme.

Le Tartuffe révolutionnaire, ou la Suite de l'Imposteur, comédie en vers en 3 actes par M. Lemercier, représentée sur le théâtre de la république le 21 prairial an III (9 juin 1795 ).

Non imprimée. Il existe également une pièce intitulée Tartuffe révolutionnaire, ou le Terroriste, comédie en prose en trois actes par Balardelle, juge au tribunal criminel de Bruxelles ; Dunkerque, Drouillard, an IV, in-8°. Non représentée. Elle n'a aucun rapport avec le Tartuffe de Molière. Molière chez Ninon, ou la Lecture du Tartuffe, comédie en vers en un acte par MM. Chazet et Dubois, représentée au théâtre Louvois le 17 brumaire an XI (8 octobre 1802); Paris, Girard, 1802, in-8°.

Ninon, Molière et Tartuffe, vaudeville en un acte par H. Simon; représenté sur le théâtre du Vaudeville, le 26 avril 1815. Le Tartuffe, avec de nouvelles notices historiques, critiques et littéraires, par M. Etienne (et Jules Taschereau); Paris, C. L. F. Panckoucke, 1824, in-8°.

DON JUAN,

OU LE FESTIN DE PIERRE,

Représenté en 1665, imprimé dans l'édit. de 1682. Observations sur une comédie de Molière intitulée: LE FESTIN DE PIERRE, par le sieur de Rochemont, Paris, Pepingué, 1665, in-12. Ces Observations eurent au moins trois éditions en 1665; car il existe à la Bibliothèque de l'Arsenal un exemplaire de 48 pages, portant à la fin de la dernière un permis d'imprimer, signé d'Aubray, daté du 10 mai 1665, et au titre, sur l'imprimé. Nous en possédons un qui, bien que de 48 pages également, mais avec quelques différences de texte, n'a ni l'une ni l'autre de ces mentions; enfin M. Etienne, dans sa Notice sur le Tartuffe, en cite un troisième, dont le permis d'imprimer est du 8 avril, et signé du Baillif du Palais.

Réponse aux Observations touchant le Festin de Pierre de M. de Molière; Paris, Quinet, 1665, in-12.

tratta nuovamente dal franzese da Girolamo Gigli; Lucca, Marescandoli, 1711,

Lettre sur les Observations d'une comédie du sieur Molière intitulée : LE FESTIN DE PIERRE; Paris, Quinet, 1665, in-12.

Le Festin de Pierre, comédie de Molière mise en vers par M. Corneille de l'Isle (Thomas), représentée sur le théâtre de Guénégaud le 12 février 1677.

Imprimée dans les OEuvres de Thomas Corneille.

Don Juan ou le Festin de Pierre, opéra en 4 actes d'après Molière et le drame Allemand, paroles ajustées sur la musique de Mozart, par M. Castil-Blaze; Paris, Vente, 1821, in-8°.

Représenté pour la première fois sur le grand Théâtre de Lyon, le 10 décembre 1822.

Depuis Molière on a représenté plusieurs autres Festins de Pierre tels que le drame Allemand, la pièce Italienne jouée aujourd'hui avec la musique de Mozart, et celle (Il convitato di Pietro) mise en musique par Gazzaniga et représentée à Paris en 1791 sur le Théâtre de Monsieur, d'abord en 4 actes, puis en 2 actes le surlendemain (voir l'Almanach général de tous les spectacles pour 1792, p. 59). Mais comme il existe une source commune à laquelle leurs auteurs ont puisé comme Molière, nous n'avons pas cru devoir les citer dans cette nomenclature.

Notes Bibliographiques sur le Festin de Pierre, par M. Beuchot; (Paris, 1825) in-8°.

Extraites de la Bibliographie de la France.

LE MISANTHROPE,

Représenté en 1666, imprimé en 1667.

Lettre écrite sur la comédie du Misanthrope.

Signée D. V. (De Vizé); en tête de la première édition du Misanthrope, Paris, Ribou, 1667, in-12.

Le Philinte de Molière, ou la suite du Misanthrope, comédie en vers en 5 actes, par P. F. N. Fabre d'Eglantine, représentée sur le Théâtre Français le 22 février 1790; Paris, Prault, 1791, in-8°. Alceste à la campagne, ou le Misanthrope corrigé, comédie en vers en 3 actes, par M. Demoustiers, représentée sur le Théâtre de Monsieur, le 5 décembre 1790; Paris, 1798, in-So. Théâtre classique, ou Esther, Athalie, Polyeucte et le Misanthrope commentés, par F. Roger; Paris, Migneret, 1807, in-8°. Le Misanthrope en prose, vaudeville en un acte, par MM. Brazier et *** ; représenté sur le Théâtre du Vaudeville, le 24 mars 1814. Le Misanthrope en opéra comique, comédie en vers en un acte, par Charles Maurice; représenté sur le Théâtre Favart, par les acteurs de l'Odéon, le 27 août 1818; Paris, Martinet, 1818, in-8°.

LE MÉDECIN MALGRÉ LUI,

Représenté en 1666, imprimé en 1666.

Le Médecin malgré lui, opéra comique par Desaugiers, fils, musique de Marc-Antoine Desaugiers, père, représenté le 26 janvier 1792, sur le théâtre Feydeau.

C'est le Médecin malgré lui de Molière, arrangé en opéra.

Le Médecin malgré lui, comédie de Molière, mise en vers par M. de Montbrun, représentée sur le Théâtre de l'Odéon le 27 décembre 1814.

MÉLICERTE,

Représentée en 1666, imprimée dans l'édit. de 1682.

Myrtil et Mélicerte, pastorale héroïque en vers en trois actes, précédée d'un prologue (par N. A. M. Guérin), représentée le 10 janvier 1699; Paris, Trabouillet, 1699, in-12.

C'est la Mélicerte de Molière arrangée et terminée par le fils de sa veuve.

LE SICILIEN,

Représenté en 1667, imprimé en 1668.

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Le Sicilien, ou l'Amour peintre, comédie en un acte mêlée d'ariettes; (Paroles arrangées par Levasseur, musique de d'Auvergne) représentée devant leurs majestés à Versailles le 10 mars 1780; de l'imprimerie de Ballard; (Paris, 1780) in-8°.

C'est le Sicilien de Molière arrangé en opéra.

Le Sicilien, ou l'Amour peintre, ballet-pantomime en un acte, par Anatole Petit, pensionnaire du roi, représenté sur le théâtre de l'Académie royale de musique, le 11 juin 1827; Paris, Barba, 1827, in-8°.

AMPHITRYON,

Représenté et imprimé en 1668.

La parodie d'Amphitryon, pièce en musique (en vaudevilles, en 3 actes et un prologue, par Raguenet) représentée pour la première fois sur le Théâtre de Lille, le 11 janvier 1713; (sans nom de ville ni d'imprimeur) 1713, in-12.

Amphitryon, opéra en vers en 3 actes (paroles de Sédaine, musique de Grétry); ( Paris ) de l'imprimerie de Ballard, 1786, in-8°. Représenté à la cour le 15 mars 1786, et à Paris pour la première fois, le 15 juillet 1788.

Cel Amphitryon est calqué sur celui de Molière.

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