Grammaire général et historique de la langue français ...Bureaux du Magasin Pittoresque, 1856 |
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... l'empire romain dans les Gaules , infusèrent un sang nouveau dans les veines d'un monde alors décrépit . L'histoire des langues a eu ses révolutions comme les sciences naturelles . La conjecture ingénieuse , l'aventure risquée , a fait ...
... l'empire romain dans les Gaules , infusèrent un sang nouveau dans les veines d'un monde alors décrépit . L'histoire des langues a eu ses révolutions comme les sciences naturelles . La conjecture ingénieuse , l'aventure risquée , a fait ...
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... l'analyse ; un latin rapide , bref , un parler d'affaires , succéda au langage du forum et de l'aristocratie sénatoriale ; les locutions barbares , les mots germaniques , le patois du pays , souillèrent la pureté native de la langue ...
... l'analyse ; un latin rapide , bref , un parler d'affaires , succéda au langage du forum et de l'aristocratie sénatoriale ; les locutions barbares , les mots germaniques , le patois du pays , souillèrent la pureté native de la langue ...
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... l'improbabilité . Par quels procédés le mot latin est - il devenu un mot français ? Par le procédé de composition et le procédé de dérivation . Le procédé de dérivation synthétique consiste dans une altéra- tion du radical précédé ou ...
... l'improbabilité . Par quels procédés le mot latin est - il devenu un mot français ? Par le procédé de composition et le procédé de dérivation . Le procédé de dérivation synthétique consiste dans une altéra- tion du radical précédé ou ...
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... l'humiliation et le découragement des jours présents . L'âme de la France se penchait avec un délice infini vers les sou- venirs à demi obscurs de la gloire et de la grandeur franque . Alors , d'une part , les grands coups d'estoc de ...
... l'humiliation et le découragement des jours présents . L'âme de la France se penchait avec un délice infini vers les sou- venirs à demi obscurs de la gloire et de la grandeur franque . Alors , d'une part , les grands coups d'estoc de ...
Page xxxii
Prosper Poitevin. qui est , quoi qu'on en ait pu dire , un des écrivains les plus origi- naux de son époque : Si l'estois un grand roy , pour éternel exemple De fidèle amitié ie bastirois un temple Desur le bord de Loire , et ce temple ...
Prosper Poitevin. qui est , quoi qu'on en ait pu dire , un des écrivains les plus origi- naux de son époque : Si l'estois un grand roy , pour éternel exemple De fidèle amitié ie bastirois un temple Desur le bord de Loire , et ce temple ...
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Expressions et termes fréquents
Académie accidentel adjectif adjectif possessif adverbe aient allé ANCIENNES FORMES Bernardin de Saint-Pierre Boileau Bossuet Bouillir Bruyère Buffon Chateaubriand chose circonflexe complément direct conditionnel conjugue conjuguent consonne Corneille Delavigne dérivés DEUXIÈME CONJUGAISON Dieu emparé employé époussetiez essuie féminin Fénelon finale Fléchier Fontaine fusse Futur antérieur hommes Imparfait Impératif impersonnels indéfini Indicatif présent Infinitif présent invariable issent isses J'ai J'aim j'eusse l'adjectif l'e muet l'emploi l'imparfait Lamartine langue latin masculin Massillon maudis ment Mme de Sévigné Molière Montesquieu nombre participe passé Participe présent Passé antérieur passé défini personne du pluriel personne du singulier phrase Plus-que-parfait poëtes précède première conjugaison préposition présent de l'indicatif Présent ou futur pronom personnel Racine radical rais rait reç Regnard rend Rochefoucauld Rousseau sens sentir serait seul Subjonctif présent substantif suivi sujet syllabe terme terminaison trahis treizième siècle troisième conjugaison troisième personne variable verbes intransitifs verbes pronominaux veut Voltaire voyelle
Fréquemment cités
Page 324 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs ; Je meurs, et sur la tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs.
Page 9 - Les 20 consonnes sont : b, c, d, f, g, h, j, k, l, m, n, p, q, r, s, t, v, w, x, z.
Page 325 - The letter n is douhled w len it is followed hy e silent. hdic, pres. : je tiens, tu tiens, il tient ; nous tenons, vous tenez, ils tiennent.
Page 150 - Que dis-je? sur ce trône assis auprès de vous, Des astres ennemis j'en crains moins le courroux, Et crois que votre front prête à mon diadème Un éclat qui le rend respectable aux dieux même.
Page 323 - II parle, et dans la poudre il les fait tous rentrer. Au seul son de sa voix la mer fuit, le ciel tremble...
Page 155 - Dieu a choisi quelqu'un pour être l'instrument de ses desseins, rien n'en arrête le cours; ou il enchaîne, ou il aveugle, ou il dompte tout ce qui est capable de résistance.
Page 346 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Page 102 - Le soir, elle eut un grand dégoût Et ne put, au souper, toucher à rien du tout, Tant sa douleur de tête était encor cruelle ! ORGON. Et Tartuffe? DORINE. Il soupa, lui tout seul, devant elle; Et fort dévotement il mangea deux perdrix , Avec une moitié...
Page 471 - J'entends déjà partout les charrettes courir, Les maçons travailler, les boutiques s'ouvrir : Tandis que dans les airs mille cloches émues, D'un funèbre concert font retentir les nues ; Et, se mêlant au bruit de la grêle et des vents Pour honorer les morts font mourir les vivants.
Page 33 - L'honneur est comme une île escarpée et sans bords : On n'y peut plus rentrer dès qu'on en est dehors.