Histoire parlementaire de la Révolution française, ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, par P.J.B. Buchez et P.C. Roux, Volume 4

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Fréquemment cités

Page 440 - Français, et à reconnaître toujours, malgré le langage des flatteurs, qu'une sage constitution le préservera des dangers de...
Page 440 - Je défendrai donc, je maintiendrai la liberté constitutionnelle , dont le vœu général , d'accord avec le mien , a consacré les principes.
Page 445 - Le roi s'est retiré ; l'Assemblée a arrêté que chacun de ses membres ferait individuellement le serment d'être fidèle à la nation , à la loi et au roi , et de maintenir la constitution décrétée par l'assemblée nationale et sanctionnée par le roi ! et le serment a été fait.
Page 317 - On voit à la tête de ces brigands, dit-il, des gens dont le visage n'est pas flétri par le travail, qui parlent latin, et qui ont un plan de campagne: des phrases prononcées...
Page 62 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides ; et que, ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature cette résolution inébranlable.
Page 436 - Messieurs, la gravité des circonstances où se trouve la France m'attire au milieu de vous. Le relâchement progressif de tous les liens...
Page 329 - Nationale : nous allons vous le rappeler; on a élevé des difficultés contre ce qu'elle a fait; nous allons y répondre : on a répandu des doutes, on a fait naître des inquiétudes sur ce qu'elle fera ; nous allons vous l'apprendre.
Page 48 - ... les esprits, je n'ai pas cessé de croire qu'une grande Révolution était prête ; que le roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait...
Page 441 - ... liberté que vous aimez et que j'aime aussi , vous ne perdrez pas de vue que le désordre en administration , en amenant la confusion des pouvoirs, dégénère souvent, par d'autres, violences, dans la plus dangereuse et la plus alarmante de toutes les tyrannies. > Ainsi , non pas pour moi , Messieurs , qui ne compte point ce qui m'est personnel près des lois et des institutions qui doivent régler le destin de l'empire , mais pour le bonheur même de notre patrie , pour sa prospérité , pour...
Page 459 - Francfort , prirent un conclusum portant que l'empereur et le corps germanique étaient requis d'accorder appui et protection aux États, à la noblesse et au clergé de l'empire contre les actes arbitraires de l'Assemblée nationale.

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