Principes généraux des belles-lettres, Volume 31807 |
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... beau morceau . · « Ah ! si vous étiez assez heureux , pour >> avoir à dessécher un marais qui vous >> donneroit une nouvelle terre , que vous » seriez largement payé de vos travaux , >> et de vos dépenses , par ces champs » engraissés ...
... beau morceau . · « Ah ! si vous étiez assez heureux , pour >> avoir à dessécher un marais qui vous >> donneroit une nouvelle terre , que vous » seriez largement payé de vos travaux , >> et de vos dépenses , par ces champs » engraissés ...
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... beau monument . Mais si » les Romains vinrent à bout , par un tra- » vail opiniâtre et forcé , de conduire à la >> mer les eaux de ce marais avec ses habi- tans ; les Français enrichis par le com- >> merce , couvrent de leurs flottes ...
... beau monument . Mais si » les Romains vinrent à bout , par un tra- » vail opiniâtre et forcé , de conduire à la >> mer les eaux de ce marais avec ses habi- tans ; les Français enrichis par le com- >> merce , couvrent de leurs flottes ...
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... beau tableau . On ne peut re- fuser à la traduction en vers du même poëme par le marquis de Pompignan , l'élégance de la versification , l'énergie du coloris , et encoré moins le mérite de l'exactitude la plus scrupuleuse à rendre le ...
... beau tableau . On ne peut re- fuser à la traduction en vers du même poëme par le marquis de Pompignan , l'élégance de la versification , l'énergie du coloris , et encoré moins le mérite de l'exactitude la plus scrupuleuse à rendre le ...
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... beau- coup trop libre , et infidèle . Celle qui a été publiée depuis peu , est exacte : il ne lui manque que d'être un peu plus soi- gnée . Le troisième est l'Antilucrèce , par le car- dinal de Polignac . Le systême du partisan d ...
... beau- coup trop libre , et infidèle . Celle qui a été publiée depuis peu , est exacte : il ne lui manque que d'être un peu plus soi- gnée . Le troisième est l'Antilucrèce , par le car- dinal de Polignac . Le systême du partisan d ...
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... beau poëme une traduction plus élégante et plus fidèle que celle qui en a été faite par Bou- gainville . Le P. Sanlecque , contemporain de Boi- leau , nous a laissé un poëme français sur le Geste . Il y a des maximes et des préceptes ...
... beau poëme une traduction plus élégante et plus fidèle que celle qui en a été faite par Bou- gainville . Le P. Sanlecque , contemporain de Boi- leau , nous a laissé un poëme français sur le Geste . Il y a des maximes et des préceptes ...
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Expressions et termes fréquents
Achille action admirable Agamemnon Alceste Ascagne Athalie avoit beau Boileau Britannicus Brontin Calchas caractère CÉLIMÈNE chant chrétien CHRISALE ciel Cinna cœur combat comédie comique connoissance connoître Corneille dénouement description deuxième Volume Dieu Dieux différens discours doit dramatique Enée épisodes essen étoient étoit Euryale événemens fils fin du deuxième fin du premier foiblesses genre gloire goût Grecs guerriers Henriade héros homme ibid incidens Iphigénie jamais Junon l'action l'épopée l'homme latin Lusiade malheureux ment mier Volume moeurs Molière morale mort Néarque Nisus noeud notes ouvrage parler parodie paroît passions peint père personnages peuple Phèdre pièces poëme poëme didactique poëme épique poésie poëte Polieucte préceptes premier Volume Priam prince Pyrrhus raison récit religion rois Rome Rutules sang scène sentimens sentiment seroit seul Sganarelle sonnages sort spectateur style sublime sujet théâtre tion traduit tragédie tragique traits Troyens Turnus Valère vertu veut Virgile Voilà voit Voyez Voyez ce mot vrai vraisemblable yeux
Fréquemment cités
Page 142 - Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde. Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 142 - Qui de ce mauvais air n'était point infectée, Et voilà qu'on la chasse avec un grand fracas A cause qu'elle manque à parler Vaugelas. Je vous le dis, ma sœur, tout ce train-là me blesse (Car c'est, comme j'ai dit, à vous que je m'adresse;) Je n'aime point céans tous vos gens à latin, Et principalement ce Monsieur Trissotin.
Page 174 - Ce n'est point une nécessité qu'il y ait du sang et des morts dans une tragédie : il suffit que l'action en soit grande, que les acteurs en soient héroïques, que les passions y soient excitées, et que tout s'y ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie.
Page 142 - L'un me brûle mon rôt en lisant quelque histoire, L'autre rêve à des vers quand je demande à boire; Enfin je vois par eux votre exemple suivi ; Et j'ai des serviteurs, et ne suis point servi.
Page 141 - Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 384 - Je vous avoue aussi que la majesté des Ecritures m'étonne, que la sainteté de l'Evangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe : qu'ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre à la fois si sublime et si simple soit l'ouvrage des hommes...
Page 123 - Ils ont dit, il est vrai, presque tout ce qu'on pense ; Leurs écrits sont des vols qu'ils nous ont faits d'avance. Mais le remède est simple ; il faut faire comme eux ; Ils nous ont dérobés, dérobons nos neveux ; Et tarissant la source où puise un beau délire, A tous nos successeurs ne laissons rien à dire.
Page 251 - ... car il ne s'est pas toujours assujetti au goût des Grecs et à leur grande simplicité : il a aimé au contraire à charger la scène d'événements dont il est presque toujours sorti avec succès ; admirable surtout...
Page 17 - Une tête effilée, une croupe arrondie ; On voit sur son poitrail ses muscles se gonfler, Et ses nerfs tressaillir, et ses veines s'enfler. Que du clairon bruyant le son guerrier l'éveille, Je le vois s'agiter, trembler, dresser l'oreille; Son épine se double et frémit sur son dos; D'une épaisse crinière il fait bondir les flots ; De ses naseaux brûlants il respire la guerre ; Ses yeux roulent du feu, son pied creuse la terre.
Page 252 - ... dans la raison est manié par le premier, et par l'autre ce qu'il ya de plus flatteur et de plus délicat dans la passion. Ce sont dans celui-là des maximes, des règles, des préceptes ; et dans celui-ci du goût et des sentiments. L'on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l'on est plus ébranlé et plus attendri à celles de Racine. Corneille est plus moral, Racine plus naturel. Il semble que l'un imite Sophocle, et que l'autre doit plus à Euripide.