Clément Marot et le Psautier huguenot: étude historique, littéraire, musicale et bibliographique, contenant les mélodies primitives des psaumes et des spécimens d'harmonie de Clément Jannequin, Bourgeois ... etc, Volume 1Imprimerie nationale, 1878 - 715 pages |
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Clément Marot et le Psautier huguenot: étude historique ..., Volume 1 Orentin Douen Affichage du livre entier - 1878 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 515 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre; Comme ils n'ont plus de sceptre , ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.
Page 551 - Dieu que tant de bons espriz que je cognoy en France, en lieu de s'amuser à ces malheureuses inventions ou imitations de fantaisies vaines...
Page 516 - Le style de ces cantiques , hardi , extraordinaire , naturel toutefois , en ce qu'il est propre à représenter la nature dans ses transports ; qui marche pour cette raison par de vives et impétueuses saillies , affranchi des liaisons ordinaires que recherche le...
Page 13 - Lestrange, vieil gentilhomme et de ses principaux conseillers, cheminant en même équipage et blessé, fit en un chemin large avancer sa litière au front de l'autre, et puis passant la tête à la portière, regarda fixement son chef , et se sépara la larme à l'œil avec ces paroles : Si est-ce que Dieu est très-doux. Là-dessus ils se dirent adieu, bien unis de pensées, sans en pouvoir dire davantage.
Page 478 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché , si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. D'ailleurs je voudrais n'en -perdre aucun, et en acquérir de no'uveaux.
Page 396 - Quand viendra le siecle doré Qu'on verra Dieu seul adoré, Loué, chanté, comme il l'ordonne, Sans qu'ailleurs sa gloire l'on donne? Quand n'auront plus ne cours ne lieu. Les chansons de ce petit Dieu A qui les painctres font des esles?
Page 21 - J'avais à peine achevé le premier verset, que je vois quelqu'un descendre en toute hâte de l'échafaudage, et tomber à mes pieds : c'était Rousseau; je crus qu'il était devenu fou. « Bon Dieu! lui dis-je, qu'avez-vous, Rousseau?
Page 514 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Page 506 - Déjà, dans mon âme éperdue, La mort répandant ses terreurs Présentait partout à ma vue Et ses tourments et ses horreurs : Ma perte était inévitable ; J'invoquai ton nom redoutable, Et tu fus sensible à mes cris : Tu vis leur trame sacrilège, Et ta pitié rompit le piège Où leurs complots m'avaient surpris.
Page 187 - J'abandonnay, sans avoir commis crime, L'ingrate France, ingrate, ingratissime A son poète, et en la délaissant, *' Fort grand regret ne vint mon cueur blessant. L Tu ments, Marot; grand regret tu sentis, / Quand tu pensas à tes enfans petis.