La prose française: Moyen âge. Seizième siècle. Dix-septième siècleStock, Delamain et Boutelleau, 1951 |
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Page 194
... cœur , qui était joint à Dieu et à son mari , elle ne la sentait point , mais estimait la solitude très grande liberté ; car qui ne peut voir ce qu'il aime , n'a plus grand bien que d'y penser incessamment , et la prison n'est jamais ...
... cœur , qui était joint à Dieu et à son mari , elle ne la sentait point , mais estimait la solitude très grande liberté ; car qui ne peut voir ce qu'il aime , n'a plus grand bien que d'y penser incessamment , et la prison n'est jamais ...
Page 234
... cœur bon , et ne songeant à danger quelconque , moyennant que je puisse laisser à la postérité quelque témoignage de ma vie , j'ai surmonté par diligence toute difficulté . Car la bonté de ma cause m'assurait tant , et l'iniquité de ...
... cœur bon , et ne songeant à danger quelconque , moyennant que je puisse laisser à la postérité quelque témoignage de ma vie , j'ai surmonté par diligence toute difficulté . Car la bonté de ma cause m'assurait tant , et l'iniquité de ...
Page 316
... cœur , comme de son origine , mais elle regarde le corps , comme sa matière . C'est pourquoi elle se perd par tous les sens extérieurs du corps , et par cogi- tations et désirs du cœur . C'est impudicité de regarder , d'ouïr , de parler ...
... cœur , comme de son origine , mais elle regarde le corps , comme sa matière . C'est pourquoi elle se perd par tous les sens extérieurs du corps , et par cogi- tations et désirs du cœur . C'est impudicité de regarder , d'ouïr , de parler ...
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La prose française: Moyen âge. Seizième siècle. Dix-septième siècle Marcel Arland Affichage d'extraits - 1951 |
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Expressions et termes fréquents
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