Oeuvres poétiques, Volume 4Lefèvre, 1689 |
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... suite d'Esther . GARDES DU ROI ASSUÉRUS . CHOEUR DE JEUNES FILLES ISRAELITES . La scène est à Suse , dans le palais d'Assuérus . LA PIÉTÉ fait le Prologue . PROLOGUE . LA PIÉTÉ . Du séjour bienheureux de la PERSONNAGES. ...
... suite d'Esther . GARDES DU ROI ASSUÉRUS . CHOEUR DE JEUNES FILLES ISRAELITES . La scène est à Suse , dans le palais d'Assuérus . LA PIÉTÉ fait le Prologue . PROLOGUE . LA PIÉTÉ . Du séjour bienheureux de la PERSONNAGES. ...
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... CHOEUR . UNE ISRAELITE , chantant derrière le théâtre . Ma sœur , quelle voix nous appelle ? UNE AUTRE . J'en reconnois les agréables sons : C'est la reine . TOUTES DEUX . Courons , mes sœurs , obéissons . La reine nous appelle : Allons ...
... CHOEUR . UNE ISRAELITE , chantant derrière le théâtre . Ma sœur , quelle voix nous appelle ? UNE AUTRE . J'en reconnois les agréables sons : C'est la reine . TOUTES DEUX . Courons , mes sœurs , obéissons . La reine nous appelle : Allons ...
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... CHOEUR . O rives du Jourdain ! ô champs aimés des cieux ! Sacrés monts , fertiles vallées , • Par cent miracles signalées ! Du doux pays de nos aïeux Serons - nous toujours exilée ? UNE ISRAELITE , seule . Quand verrai - je , ô Sion ...
... CHOEUR . O rives du Jourdain ! ô champs aimés des cieux ! Sacrés monts , fertiles vallées , • Par cent miracles signalées ! Du doux pays de nos aïeux Serons - nous toujours exilée ? UNE ISRAELITE , seule . Quand verrai - je , ô Sion ...
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... CHOEUR . 2 ESTHER . Quel profane en ce lieu s'ose avancer vers nous ? Que vois - je ! Mardochée ! O mon père , est - ce vous ? Un ange du Seigneur , sous son aile sacrée , A donc conduit vos pas , et caché votre entrée ? Mais d'où vient ...
... CHOEUR . 2 ESTHER . Quel profane en ce lieu s'ose avancer vers nous ? Que vois - je ! Mardochée ! O mon père , est - ce vous ? Un ange du Seigneur , sous son aile sacrée , A donc conduit vos pas , et caché votre entrée ? Mais d'où vient ...
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... chœur se retire vers le fond du théâtre . ) SCÈNE IV . ESTHER , ÉLISE , le choeur . ESTHER . O mon souverain roi , Me voici donc tremblante et seule devant toi ! Mon père mille fois m'a dit dans mon enfance Qu'avec nous tu juras une ...
... chœur se retire vers le fond du théâtre . ) SCÈNE IV . ESTHER , ÉLISE , le choeur . ESTHER . O mon souverain roi , Me voici donc tremblante et seule devant toi ! Mon père mille fois m'a dit dans mon enfance Qu'avec nous tu juras une ...
Expressions et termes fréquents
ABNER adorable AMAN amour ASAPH ASSUÉRUS ATHALIE autels avoit AZARIAS Baal bienfaits bras CANTIQUE Chantons charmes cher CHOEUR ciel cieux cœur courroux crainte d'Assuérus d'Esther d'Israël d'Ochozias David déja Deo Patri sit desirs Dieu dieux divin douceur doux éclat Éliacin ÉLISE encens enfant ennemis Esprit saint ESTHER éternelle étoient étoit fille fils fleurs foible funeste fureur Genséric gloire grace grand-prêtre Hélas heureux HYDASPE innocent ISMAEL ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD JOAS Joram JOSABETH jour Juifs l'astre l'innocence l'univers lévites lieux long-temps lumière mains malheureux Mardochée MATHAN méchants mortels NABAL Ochozias paix par-tout Pater piissime Patri sit gloria père perfide peuple plaisirs pleurs Pradon Præsta prêtres prince profane race règne reine rois rois de Juda sacrés Sacrés monts SALOMITH sang SCÈNE VII secours secret Seigneur seule Sion sœur soin songe SUITE D'ATHALIE superbe temple terre tremble trône trouble troupe vengeance vœux vois voix yeux ZACHARIE zèle
Fréquemment cités
Page 112 - De ce jour à jamais auguste et renommé , Quand , sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre : Venait-il renverser l'ordre des éléments? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre?
Page 156 - C'est lui-même : il m'échauffe ; il parle; mes yeux s'ouvrent. Et les siècles obscurs devant moi se découvrent. Lévites, de vos sons prêtez-moi les accords, Et de ses mouvements secondez les transports. LE CHŒUR chante au son de toute la symphonie des instruments. Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos cœurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin.
Page 123 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie, Et chercher du repos au pied de ses autels: Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels!
Page 302 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Page 156 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même : il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 19 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 101 - Et Dieu trouvé fidèle en toutes ses menaces ; L'impie Achab détruit, et de son sang trempé Le champ que par le meurtre il...
Page 121 - Philistin, par d'éternels ravages, Comme au temps de vos rois, désoler ses rivages; Le Syrien me traite et de reine et de sœur...
Page 111 - En vain l'injuste violence Au peuple qui le loue imposerait silence : Son nom ne périra jamais. Le jour annonce au jour sa gloire et sa puissance; Tout l'univers est plein de sa magnificence: Chantons, publions ses bienfaits.
Page 99 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.