La vie du baron LouisGallimard, 1928 - 264 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 6
Page 148
... Gouvion Saint - Cyr , l'un des maréchaux qui n'avaient point rallié l'Empe- reur pendant les Cent jours , allait au ministère de la Guerre . L'honnête et paisible Jaucourt retournait à la Marine , et en place de Blacas usé , était nommé ...
... Gouvion Saint - Cyr , l'un des maréchaux qui n'avaient point rallié l'Empe- reur pendant les Cent jours , allait au ministère de la Guerre . L'honnête et paisible Jaucourt retournait à la Marine , et en place de Blacas usé , était nommé ...
Page 190
... Gouvion Saint - Cyr , un des derniers maréchaux de Napoléon . Enfin , aux Finances , le baron Louis vint réoccuper son fauteuil , aussi silencieusement qu'il l'avait quitté trois ans plus tôt . Joseph - Dominique entrait dans sa ...
... Gouvion Saint - Cyr , un des derniers maréchaux de Napoléon . Enfin , aux Finances , le baron Louis vint réoccuper son fauteuil , aussi silencieusement qu'il l'avait quitté trois ans plus tôt . Joseph - Dominique entrait dans sa ...
Page 192
... Gouvion Saint - Cyr , au ministère de la Guerre , satisfait le puissant instinct de camaraderie habituel au haut personnel militaire , en réintégrant dans les cadres des escouades compactes de demi - soldes et de généraux de l'armée de ...
... Gouvion Saint - Cyr , au ministère de la Guerre , satisfait le puissant instinct de camaraderie habituel au haut personnel militaire , en réintégrant dans les cadres des escouades compactes de demi - soldes et de généraux de l'armée de ...
Page 196
... Gouvion Saint - Cyr et Louis . On leur fit comprendre qu'ils feraient plaisir en s'en allant . Le 4 juin , le Journal des Débats , alors royaliste , com- mence le petit jeu des indiscrétions de presse . « < A me- < « < sure que la ...
... Gouvion Saint - Cyr et Louis . On leur fit comprendre qu'ils feraient plaisir en s'en allant . Le 4 juin , le Journal des Débats , alors royaliste , com- mence le petit jeu des indiscrétions de presse . « < A me- < « < sure que la ...
Page 197
... Gouvion Saint - Cyr et Louis , trop marqués politiquement , firent des objec- tions . Le 18 novembre , les Débats enregistrent le dénoue ment . « Il paraît certain qu'à la suite du Conseil « présidé hier par sa Majesté , M. le baron ...
... Gouvion Saint - Cyr et Louis , trop marqués politiquement , firent des objec- tions . Le 18 novembre , les Débats enregistrent le dénoue ment . « Il paraît certain qu'à la suite du Conseil « présidé hier par sa Majesté , M. le baron ...
Expressions et termes fréquents
administrations affaires alliés amis anciens assez avaient Barnave baron Louis Bénévent Blacas Bonaparte Bourbons bourgeois budget C'était Caisse Casimir Périer Cent Jours Chambre introuvable Charles X Charte chose clergé collègues comte d'Artois Conseil Constitution constitutionnel Corps Législatif Corvetto cours créanciers crédit public début Decazes dépenses députés dernière Dessolle devant duc de Gaëte économique élections électorale émigrés fallait Fayette financier fonctionnaires Fouché Gaudin général gouvernement Gouvion Saint-Cyr guerre homme impérial impôts Joseph-Dominique Louis juillet l'abbé Louis l'ancien l'armée l'arriéré l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'État l'impôt l'opinion Laffitte libéraux Louis XVIII Louis-Philippe majorité maréchal Marmont ment millions ministre des Finances Mollien monarchie n'avait n'était Napoléon nationaux nouveau Parlement parlementaire passé payer pays personnel peuple politique pouvait premier presse prince de Bénévent principe recettes régime rente républicains Restauration reste Révolution Richelieu Rigny royalistes s'en s'était sentiment serait seulement sorte Talleyrand tion Trésor troupes trouvait Tuileries ultras vetto Villèle vote Waterloo
Fréquemment cités
Page 29 - Moi, roi des Français, je jure d'employer le pouvoir que m'a délégué l'acte constitutionnel de l'État, à maintenir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale, et acceptée par moi.
Page 216 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 91 - Monsieur le prince de Bénévent, je suis charmé de vous revoir. Il s'est passé bien des choses depuis que nous nous sommes quittés. Vous le voyez : nous avons été les plus habiles. Si c'eût été vous, vous me diriez : asseyons-nous et causons ; et moi je vous dis asseyez-vous et causons.
Page 98 - Les Chambres ont la faculté de supplier le Roi de proposer une loi sur quelque objet que ce soit, et d'indiquer ce qu'il leur paraît convenable que la loi contienne.
Page 227 - ... insurrection : c'est l'insurrection des solliciteurs; c'est la levée en masse de tous les chercheurs de places; ils courent aux antichambres avec la même ardeur que le peuple courait au feu. Dès sept heures du matin, des bataillons d'habits noirs s'élancent de tous les quartiers de la capitale; le rassemblement grossit de rue en rue. A pied, en fiacre, en cabriolet, suant, haletant, la cocarde au chapeau et le ruban tricolore à la boutonnière, vous voyez toute cette foule se grouper vers...
Page 91 - Après avoir lu attentivement le plan de Constitution proposé par le Sénat, dans sa séance du 6 avril dernier, nous avons reconnu que les bases en étaient bonnes, mais qu'un grand nombre d'articles portant l'empreinte de la précipitation avec laquelle ils ont été rédigés, ils ne peuvent dans leur forme actuelle devenir lois fondamentales de l'État.
Page 33 - Toutes les divisions sont oubliées; tous les patriotes sont réunis. L'Assemblée nationale, voilà notre guide; la Constitution, voilà notre cri de ralliement.
Page 176 - Depuis notre retour dans nos états, chaque jour nous a démontré cette vérité proclamée par nous, dans une occasion solennelle , qu'à côté de l'avantage d'améliorer est le danger d'innover.
Page 68 - Hors quelques petits expéditionnaires, qui font, je pense, leurs enveloppes avec un peu de précipitation, tous ici ont le plus grand calme, et se sont déshabitués de l'empressement. Quand vous aurez eu à traiter un peu de temps des intérêts de l'Europe avec l'Empereur, vous verrez combien il est important de ne point se hâter de sceller et d'expédier trop vite ses volontés.
Page 83 - Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner un Gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration et préparer la Constitution qui conviendra au peuple français.