La vie du baron LouisGallimard, 1928 - 264 pages |
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... chose , mais autant qu'il pouvait espérer , poi- gnarde son maître dans le dos avec une satisfaction froide . Ce n'est pas qu'il veuille personnellement du mal à Bonaparte c'est qu'il redoute que cet homme agité mette le Trésor à mal ...
... chose , mais autant qu'il pouvait espérer , poi- gnarde son maître dans le dos avec une satisfaction froide . Ce n'est pas qu'il veuille personnellement du mal à Bonaparte c'est qu'il redoute que cet homme agité mette le Trésor à mal ...
Page 13
... choses qui s'en dégage , Densé avec quelque parcimonie par le per- tral . 1 financière du règne de Louis XVIII a été étudiée de dans les récents ouvrages de M. le Professeur Marion et s le tome IV de son « Histoire des Finances de la ...
... choses qui s'en dégage , Densé avec quelque parcimonie par le per- tral . 1 financière du règne de Louis XVIII a été étudiée de dans les récents ouvrages de M. le Professeur Marion et s le tome IV de son « Histoire des Finances de la ...
Page 20
... choses les plus simples sur le ton dont il eût harangué un auditoire méridional , sortait de ses poches un mé- moire sur les finances , un autre sur l'astronomie , un troisième sur la monarchie anglaise , puis se sauvait où on l ...
... choses les plus simples sur le ton dont il eût harangué un auditoire méridional , sortait de ses poches un mé- moire sur les finances , un autre sur l'astronomie , un troisième sur la monarchie anglaise , puis se sauvait où on l ...
Page 21
... choses de l'économie nance . Elles ennuyaient l'abbé de Périgord , saisissait l'importance : comme beaucoup politiques , il s'instruisait de ce qu'il ignorait at parler les autres , et s'assimilant leurs pro- une extrême facilité ...
... choses de l'économie nance . Elles ennuyaient l'abbé de Périgord , saisissait l'importance : comme beaucoup politiques , il s'instruisait de ce qu'il ignorait at parler les autres , et s'assimilant leurs pro- une extrême facilité ...
Page 22
... choses de la politique . Les essais de Calonne et des autres n'avaient rencontré que scepti- cisme : le désordre durait depuis trop longtemps pour qu'on en pût avoir raison par des procédés d'homme du monde intelligent : les ...
... choses de la politique . Les essais de Calonne et des autres n'avaient rencontré que scepti- cisme : le désordre durait depuis trop longtemps pour qu'on en pût avoir raison par des procédés d'homme du monde intelligent : les ...
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Expressions et termes fréquents
administrations affaires alliés amis anciens assez avaient Barnave baron Louis Bonaparte Bourbons bourgeois budget C'était Caisse Casimir Périer Cha Cha Cha Cha Cha Chambre introuvable Charles X Charte chose clergé collègues comte d'Artois Conseil Constitution constitutionnel Corvetto cours créanciers crédit public début Decazes dépenses députés dernière Dessolle devant élections état fallait Fayette financier fonctionnaires Fouché Gaudin général gens gouvernement Gouvion Saint-Cyr guerre homme impérial impôts Joseph-Dominique Louis juillet l'abbé Louis l'ancien l'armée l'arriéré l'Empereur l'Empire l'État l'impôt l'opinion Laffitte libéraux Louis XVIII Louis-Philippe majorité maréchal Marmont ment millions ministre des Finances Mollien monarchie n'avait n'était Napoléon nationaux nouveau Pairs Parlement parlementaire passé payer pays personnel peuple politique pouvait premier presse prince principe recettes régime rente républicains Restauration reste Révolution Richelieu rien Rigny royalistes s'en s'était sentiment serait seulement sion sorte Talleyrand tion tique Trésor troupes trouver Tuileries ultras Villèle vote Waterloo
Fréquemment cités
Page 31 - Moi, roi des Français, je jure d'employer le pouvoir que m'a délégué l'acte constitutionnel de l'État, à maintenir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale, et acceptée par moi.
Page 218 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 93 - Monsieur le prince de Bénévent, je suis charmé de vous revoir. Il s'est passé bien des choses depuis que nous nous sommes quittés. Vous le voyez : nous avons été les plus habiles. Si c'eût été vous, vous me diriez : asseyons-nous et causons ; et moi je vous dis asseyez-vous et causons.
Page 100 - Les Chambres ont la faculté de supplier le Roi de proposer une loi sur quelque objet que ce soit, et d'indiquer ce qu'il leur paraît convenable que la loi contienne.
Page 229 - ... insurrection : c'est l'insurrection des solliciteurs; c'est la levée en masse de tous les chercheurs de places; ils courent aux antichambres avec la même ardeur que le peuple courait au feu. Dès sept heures du matin, des bataillons d'habits noirs s'élancent de tous les quartiers de la capitale; le rassemblement grossit de rue en rue. A pied, en fiacre, en cabriolet, suant, haletant, la cocarde au chapeau et le ruban tricolore à la boutonnière, vous voyez toute cette foule se grouper vers...
Page 93 - Après avoir lu attentivement le plan de Constitution proposé par le Sénat, dans sa séance du 6 avril dernier, nous avons reconnu que les bases en étaient bonnes, mais qu'un grand nombre d'articles portant l'empreinte de la précipitation avec laquelle ils ont été rédigés, ils ne peuvent dans leur forme actuelle devenir lois fondamentales de l'État.
Page 35 - Toutes les divisions sont oubliées; tous les patriotes sont réunis. L'Assemblée nationale, voilà notre guide; la Constitution, voilà notre cri de ralliement.
Page 178 - Depuis notre retour dans nos états, chaque jour nous a démontré cette vérité proclamée par nous, dans une occasion solennelle , qu'à côté de l'avantage d'améliorer est le danger d'innover.
Page 70 - Hors quelques petits expéditionnaires, qui font, je pense, leurs enveloppes avec un peu de précipitation, tous ici ont le plus grand calme, et se sont déshabitués de l'empressement. Quand vous aurez eu à traiter un peu de temps des intérêts de l'Europe avec l'Empereur, vous verrez combien il est important de ne point se hâter de sceller et d'expédier trop vite ses volontés.
Page 85 - Ils invitent par conséquent le Sénat à désigner un Gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration et préparer la Constitution qui conviendra au peuple français.