Droit civil international, Volume 5Bruylant-Christophe & ce, 1880 |
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
actes juridiques adultère aliments Américains Angleterre autorisation Belges Belgique bonnes mœurs çais capacité des personnes catholique cause de divorce célébré civil international code civil code italien code Napoléon concile de Trente concubinage conflit conflits conjugal conséquence cour coutumes d'ordre public demander le divorce devoir d'éducation dire doctrine doit domicile domicile conjugal dotal écossais enfants enfants adultérins époux Etats-Unis Etudes famille femme mariée incapable international privé J'ai juge jurisconsultes jurisprudence l'adultère l'article l'autorisation maritale l'éducation l'Eglise l'enfant l'époux l'homme l'incapacité l'indissolubilité l'instruction obligatoire l'obligation alimentaire l'ordre l'union légale législateur légitime liberté Locré loi du lieu loi étrangère loi française loi nationale loi personnelle loi territoriale lois mariage civil mariage contracté ment Merlin morale obligation pable parents père et mère polygamie Pothier principe prononcer puissance maritale question raison régis règle résulte sénatus-consulte séparation de corps serait seul société solennité statut personnel statut réel Story théorie tion tribunaux validité violation Voilà Wharton
Fréquemment cités
Page 569 - Tout fait quelconque de l'homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer.
Page 203 - Lorsque la séparation de corps, prononcée pour toute autre cause que l'adultère de la femme, aura duré trois ans, l'époux, qui était originairement défendeur, pourra demander le divorce au tribunal, qui l'admettra, si le demandeur originaire, présent ou dûment appelé, ne consent pas immédiatement à faire cesser la séparation.
Page 238 - La femme est obligée d'habiter avec le mari et de le suivre partout où il juge à propos de résider. Le mari est obligé de la recevoir et de lui fournir tout ce qui est nécessaire pour les besoins de la vie, selon ses facultés et son état.
Page 203 - Le consentement mutuel et persévérant des époux, exprimé de la manière prescrite par la loi, sous les conditions et après les épreuves qu'elle détermine, prouvera suffisamment que la vie commune leur est insupportable , et qu'il existe, par rapport à eux, une cause péremptoire de divorce.
Page 88 - Mais s'ils ne peuvent pas garder la continence, qu'ils se marient; car il vaut mieux se marier que de brûler.
Page 517 - Dans les divers cas où le mari est autorisé à réclamer, il devra le faire dans le mois, s'il se trouve sur les lieux, de la naissance de l'enfant. — Dans les deux mois après son retour, si, à la même époque, il est absent. — Dans les deux mois après la découverte de la fraude, si on lui avait caché la naissance de l'enfant . ART.
Page 101 - Or, les lois se maintiennent en crédit, non parce qu'elles sont justes, mais parce qu'elles sont lois. C'est le fondement mystique de leur autorité, elles n'en ont point d'autre...
Page 335 - Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise.
Page 585 - Les lois concernant l'état et la capacité des personnes régissent les Français, même résidant en pays étranger.
Page 169 - Les aliments ne sont accordés que dans la proportion du besoin de celui qui les réclame, et de la fortune de celui qui les doit.