 | François-Augustin Paradis de Moncrif - 1751 - 276 pages
...Ouvrages , e'eft par un fentiment plus flat.eur encore que cette eftime même , une forte d'amitié. Voilà ( qu'il me foit permis de le dire ) le genre...fuccès que j'ai ambitionné dans le peu que j'ai fait d'Où.* A iiij vrages. Je n'ai regardé mes Poëûes particulièrement que comme des moyens de témoigner... | |
 | 1791 - 424 pages
...cette estime même, une sorte d'amitié. Voilà ( qu'il me soit permis de le dire ) le genre de succès que j'ai ambitionné dans le peu que j'ai fait d'Ouvrages. Je n'ai regardé mes Poesies, particulièrement que comme des moyens de témoigner i'admiraiion ou la reconnoissance... | |
 | M. de Moncrif - 1751 - 376 pages
...Ouvrages, c'eft par un fentiment plus flatteur encore que cette eflime même, une forte d'amitié. Voilà ( qu'il me foit permis de le dire ) le genre...ambitionné dans le peu que j'ai fait d'Ouvrages. Je n'ai regardé mes Poëfies particulièrement que comme des moyens de témoigner l'admiration ou la reconnoiflânce... | |
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... éloges, on cherche du moins, on se plaît à vous faire grâce. Enfin, soit justice, soit indulgence, lorsqu'on vous marque de l'estime pour vos ouvrages, c'est par un sentiment plus flatteur encore que cette estime même, une sorte d'amitié. Voilà,... 