... tête bronzée qui défiait la mort, et une sueur abondante coulait de sa barbe épaisse. Il connaissait son sort; et plus tranquille que le tyran qui savourait l'idée de répandre son sang, il leva vers moi ses yeux remplis de sérénité , comme... Poèmes patriotiques - Page 197de Aristotélis Valaorítis - 1883 - 204 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| François Charles Hugues Laurent Pouqueville - 1820 - 592 pages
...de répandre son sang, il leva vers moi ses yeux remplis de sérénité , comme pour me prendre à témoin du triomphe de son heure suprême!' Il la...travers les rues de Janina , montrèrent aux Grecs épouvantés les restes du dernier des capitaines de la Thessalie. Hélas! pourquoi une fin aussi glorieuse... | |
| 1820 - 500 pages
...suprême ! 1l la vit approcher , cette heure redou(i) Voyez TOBI. II , c. LI de ce Voyage. ( 469 ) table pour le méchant, avec le calme du juste. Il sentit...frémir et sans se plaindre, les coups des bourreaux -r et ses membres, traînés à travers les rues de Janina, montrèreul aux. Grecs épouvantés les... | |
| François Charles Hugues Laurent Pouqueville - 1824 - 508 pages
...répandre son sang, il leva vers moi ses yeux remplis de sérénité , comme pour me prendre à témoin de son heure suprême. Il la vit approcher , cette...travers les rues de Janina, montrèrent aux Grecs épouvantés les restes du dernier des capitaines de la Thessalie. Hélas ! pourquoi une fin aussi... | |
| François Charles Hugues Laurent Pouqueville - 1824 - 512 pages
...répandre son sang, il leva vers moi .ses- yeux remplis de sérénité , comme pour me prendre à témoin de son heure suprême. Il la vit approcher , cette...plaindre, les coups des bourreaux; et ses membres, t minés à travers les rues de Janina, montrèrent aux Grecs épouvantés les restes du dernier des... | |
| François Charles Hugues Laurent Pouqueville - 1825 - 558 pages
...vers moi ses yeux remplis de sérénité, comme pour me prendre à témoin de son heure suprême^ II la vit approcher, cette heure redoutable pour le méchant,...travers les rues de Janina, montrèrent aux Grecs épouvantés les restes du dernier des capitaines de la Thessalie. Hélas! pourquoi une fin aussi glorieuse... | |
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