Correspondance inédite de Mabillon et de Montfaucon avec l'Italie

Dauphine, 274; provoque la condamnation à Rome du pé-
che philosophique, ibid; son projet de retraite après la
publication du Saint Bernard, 277; critique les Questions
d'Aulnay, d'Huet, ibid. et note 1; ses regrets de la mort
du P. Arcioni, 278; reçoit les Epoques Syro-Macédonien-
nes de Noris, 279 et note 2; son séjour à l'abbaye de
Saint-Faron de Meaux,
leaux, 289; son a amour de la solitude
et så lettre sur ce sujet, ibid., note 2; loué par Bacchini,

dans la dédicace du dialogue de B. Accolti sur l'Excel

tence des hommes de son temps, 296, 298; son père et

son grand-père morts plus que centenaires, 300 et

note 1; sa peur des Jésuites, 250; bien accueilli par le

cardinal de Bouillon à l'abbaye de Saint-Martin de

Pontoise, 312; difficulté qu'il trouve à être poète et

chrétien, 316; cité sur la translation de la bibliothèque

du Roi, 319, note 2; son Traite
des études monastiques

318 et note 3; 323, 0, 328, 329, 332, 335 et

note 1; 344, 347, 366, 375; offert à Côme III, 321

340, traductions latine et italienne de ce Traité, III, 114

et note 2; 119, 139, 184; ses Réflexions sur la ré-

ponse de Rance; victorieux dans cette controverse, II

320, note 3; 336, note f; 340, 342, 346, 347; son

voyage à la Trappe, et sa réconciliation avec Rancé,

anecdote, 336, note 1; et III, 301; II, 344, 354; son

ardeur à l'étude, 353; aime la liberté de la critique,

352; son horreur du probabilisme, 358; sa douleur de

la mort de Michel Germain, 362, 365; de celle de

Loppin et de Porcheron, ibid; de du Frische et de

Bulteau, 366; d'Estiennot, III, 71, 74; malade lui-

même, II, 360, 363; remercie en vers le cardinal

d'Aguirre de ses Conciles d'Espagne, 376, 385, note 14,

406, 409, note 1 et 3; son éloge de Mme Bouette

de Blémur, et lettre circulaire qu'il écrit sur sa mort,

400, note 2; cherche à disculper Estiennot, accusé de

partialité et d'intrigues dans l'affaire du quiétisme, III,

18, note 4; soin qu'il met à obliger Baluze, II, 279, III,

26; remercie Muratori de ses Anecdotes de l'Ambroisienne,

25; félicité par Bossuet de la préface du Saint Augustin,

76, note 1; reçoit de Clément XI, une médaille d'ar-

gent et une d'or, à l'occasion de l'hommage du

Saint Grégoire-le-Grand, 72, note 1; sa Lettre sur le

culte des Saints inconnus, 7 et note 1, 44, 99 et note 2;

effet qu'elle produit à Rome, 10 et note 5, 20, 21, 27,

44; déféré à l'Index; Mabillon supprime les passages in-

criminés, 101, note 2; sa réserve à l'envoyer en Italie,

27, 37, 44, 159, 177, 178; réponse aigre qu'y fait le P.

Hardouin, 14, note 5, 20; son Epistola commonitoria,

37 et note 3, 41; aimé et estimé à Rome, 61; sa Lettre à

l'évêque de Blois, sur le discernement des anciennes reli-

ques et la Sainte-Larme de Vendôme, 84, note 2, 145, 169,

note 1 ; autorité de sa science, 120, note 1; avait été

reçu par le grand-duc de Toscane, Côme III, et conduit

à Bologne, dans une litière de la cour, 112, note 1,

sa Mort chrétienne, 124 et note 1, 157, en voyée à

Côme III, 124, 128; publie le traité de la Considération,

de saint Bernard, qu'il dédie à Clément XI, 138, 139 et

note 1; ses souffrances et sa mort, 188, 191 et note 1; im-

pression qu'elle produit en France et à Rome, 193, note

2; le pape Clément XI désire qu'on lui élève un monu-
ment à Saint-Germain-des-Prés, ibid.; attribue l'Imi-
tation de J.-C à J. Gersen, 252 et note 3, 281; Bel éloge
qu'en fait le P. Quesnel, 282; son opinion éclairée sur le
culte des images, 295; sa modestie, ibid. ; cité dans la
préface de Grégoire de Tours, de Thierry Ruinart, 302.

MACEDO (François de), cordelier portugais ; juge-

ment qu'en porte Mabillon, I, 11, 15; sa réponse à To-

relli, 14, 19, 25; ses violentes querelles au sujet de saint

Augustin, avec Noris, 15, III, 237 et note 1, 277 et note

1; obstacle à la publicité de sa défense, cause de sa mort,

I, 19, 25; son suffrage recherché par le P. Quesnel qui

revient de sa première opinion, III, 225; 226, 237, 239,

242; son libelle contre Noris qu'il rapproche de Jan-

sénius: 237 et note 1, 242; trait spirituel de Noris con-

tre lui, 245, note 1, 253, note 1; critique à tort Noris,

d'avoir appelé une dame romaine Albinus au lieu d'Al-

bina, ibid.; son livre sur l'Incarnation, 278.