L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, Volumes 3 à 41779 |
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L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 7 à 8 Affichage du livre entier - 1787 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ..., Volume 6 Affichage du livre entier - 1768 |
L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits ..., Volumes 3 à 4 Affichage du livre entier - 1786 |
Expressions et termes fréquents
abfolument affez affuré ainfi Aude auffi auroit auteurs Avogare avoient avoit befoin Belloy c'eft c'eſt caufe Charlemagne chofe compofé confeil connoiffance connoître difcours diftingué efprit éloges enfuite eſt étoient étoit eût fage faifant faint fans doute fcène fciences fecond fecret femble fens fentiment feroit fervir feul fiècle fieur fimple fociété foit folides fon père font fource fous fouvent fouverains François ftyle fublimes fuccès fuis fuivant fujet fur-tout génie gloire goût graces Grecs homme Indications des Nouveautés intéreffante jufqu'à jufte l'Année Littéraire l'auteur l'efprit l'hiftoire laiffer lettres libraire loix ment Mierre Milord Maréchal Moife Monfieur Moreau n'eft n'étoit nation néceffaire obfervations ouvrage paffer paffions paroît penfe Pentateuque perfonne peuple philofophes Phorbas pièce plaifir Pline plufieurs poéfie poëme poëte préfent prefque prince Prométhée public puiffe raifon refpect refte religion repréfenté Rouffeau rue des Mathurins s'eft Sophocle talens teur théâtre tion tragédie Voilà Voltaire vrage Xerxès Zelmire
Fréquemment cités
Page 295 - Je m'imagine qu'une fumée trop épaisse le suffoqua d'autant plus aisément qu'il avait la poitrine faible et souvent embarrassée. Lorsque l'on commença à revoir la lumière (ce qui n'arriva que trois jours après), on retrouva au même endroit son corps entier, couvert de la même robe qu'il portait quand il mourut, et dans la posture plutôt d'un homme qui repose que d'un homme qui est mort.
Page 61 - Certitude des principes de la religion contre les nouveaux efforts des incrédules, Paris , de 1778 à 1782 , 6 vol.
Page 252 - On n'eft point délaine quand on a Dieu pour père. Il ouvre à tous la main , il nourrit les corbeaux ; II donne la pâture aux jeunes paflereaux, Aux bêtes des forêts, des prés, Se des montagnes : Tout vit de fa bonté.
Page 225 - Pagodes en vernit, ambulantes fétiches, Sous de longs ne* crochus, grimaces de carton , Le plus jeune en vieillard , barbe blanche au menton ; 300 JOURNAL ENCYCLOP.
Page 254 - Ces quatre vers ont été trouvés fur le Pfeautier de Madame de Nemours. Si Dieu mettoit les dons en vous & moi , Qu'avoit l'auteur de cette oeuvre parfaite , Pour votre part feriez femme de Roi , Et par fouhait j'en ferois le prophète.
Page 202 - Quand il parle des devoirs de l'homme , des principes eflentiek à notre bonheur , du refpeffc que nous nous devons à nous-mêmes , & de ce que nous devons à nos femblables -, c'eft avec une abondance , un charme , Une force qui ne fauroit venir que du cœur.
Page 201 - Pourquoi se sent-on glacer tout à coup, après avoir été pénétré de tous les feux du sentiment?
Page 85 - ... encyclopédique, l'a fui bientôt avec horreur, dès qu'il en a reconnu les manèges & les excès. Cependant c'est une chose vraiment curieuse que de voir l'art avec lequel cet écrivain ténébreux s'est...
Page 230 - Il est des maux d'emprunt, des langueurs de parade ; Un peuple féminin que Sénac fatigué, Exprès pour s'en défaire aux bains a relégué. D'autres vont d'habitude à cette eau...