La révolution française: résumé historiqueLibrairie Germer Baillière et cie., 1883 - 359 pages |
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... cause de surprise que la durée d'un pareil état de choses pour ceux qui l'étudient avec un peu de soin et un peu de cœur . « Le peuple sur lequel vous régnez a donné des preuves non équivoques de sa patience ; c'est un peu- ple martyr ...
... cause de surprise que la durée d'un pareil état de choses pour ceux qui l'étudient avec un peu de soin et un peu de cœur . « Le peuple sur lequel vous régnez a donné des preuves non équivoques de sa patience ; c'est un peu- ple martyr ...
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... cause contribua beaucoup à lui aliéner les esprits . « Après Dieu , c'est à la France que le peuple américain doit sa délivrance , » dit un de nos historiens ( Henri Martin ) . La France fut récompensée de sa bonne action : l'admirable ...
... cause contribua beaucoup à lui aliéner les esprits . « Après Dieu , c'est à la France que le peuple américain doit sa délivrance , » dit un de nos historiens ( Henri Martin ) . La France fut récompensée de sa bonne action : l'admirable ...
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... cause nationale . Un peu plus tard , quand le Régent , après avoir ouvert les écluses de l'agiotage , vit monter le flot de la banque- route , il songea , dit - on , à tout livrer aux états généraux ; mais son ministre , le cardinal ...
... cause nationale . Un peu plus tard , quand le Régent , après avoir ouvert les écluses de l'agiotage , vit monter le flot de la banque- route , il songea , dit - on , à tout livrer aux états généraux ; mais son ministre , le cardinal ...
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... cause du peuple trouve quelques chaleureux soutiens dans les assemblées du clergé où dominent les simples curés , recrutés presque tous dans les familles de la dé- mocratie . Quand les deux ordres privilégiés entrent en lutte , ce qui n ...
... cause du peuple trouve quelques chaleureux soutiens dans les assemblées du clergé où dominent les simples curés , recrutés presque tous dans les familles de la dé- mocratie . Quand les deux ordres privilégiés entrent en lutte , ce qui n ...
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... cause de la présence des curés , deman- daient que l'on se réunît pour un examen en commun . La décision de cette question préliminaire allait en- traîner , chacun le sentait , celle du vote par tête ou par ordre . Des conférences ...
... cause de la présence des curés , deman- daient que l'on se réunît pour un examen en commun . La décision de cette question préliminaire allait en- traîner , chacun le sentait , celle du vote par tête ou par ordre . Des conférences ...
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La révolution française: résumé historique, Volume 1 Hippolyte Carnot Affichage du livre entier - 1868 |
Expressions et termes fréquents
10 août accusés acte adversaires armée assemblées Autrichiens avaient Barère Billaud-Varennes Bonaparte Brissot c'était Camille Desmoulins Carnot cent chef citoyens civile clergé club club des Jacobins coalition Comité de salut commune Condorcet conseil conspiration constitutionnels Convention Convention nationale Corps législatif Couthon Danton déclara décret départements députés devant dictature Directoire Dumouriez émigrés ennemis esprits établi états généraux fructidor gardes nationaux Girondins gouvernement guerre hommes Jacobins jour justice l'ancien l'armée l'Assem l'Assemblée constituante l'Etat l'opinion Lafayette liberté lois Louis XVI Marat membres menaces ment mesures militaire ministre Mirabeau monarchie Montagnards municipalité n'avait nation noblesse paix patrie patriotes Pétion peuple politique populaire pouvoir exécutif premier consul presque princes principes proclamation Prussiens publique réformes régime répu républicains République résistance Révolution française révolutionnaire Robespierre royalistes s'écria s'était Saint-Just salle salut public séance semble sentiment seul Sieyès sion soldats teurs tiers état tion tribunal tribune triomphe Tuileries Vergniaud victoire vote
Fréquemment cités
Page 151 - La ville de Paris et tous ses habitants sans distinction seront tenus de se soumettre sur-le-champ et sans délai au roi, de mettre ce prince en pleine et entière liberté et de lui assurer, ainsi qu'à toutes les personnes royales, l'inviolabilité et le respect auxquels le droit de la nature et des gens oblige les sujets envers les souverains; Leurs...
Page 7 - L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible...
Page 280 - ... et le subordonner au comité de salut public; épurer le comité de salut public lui-même, constituer l'unité du gouvernement sous l'autorité suprême de la Convention nationale, qui est le centre et le juge, et écraser ainsi toutes les factions du poids de l'autorité nationale, pour élever sur leurs ruines la puissance de la justice et de la liberté.
Page 59 - DITES-LUI que les hordes étrangères dont nous sommes investis ont reçu hier la visite des princes, des princesses, des favoris, des favorites, et leurs...
Page 143 - ... amuse les enfants avec des osselets ; qui n'avez feint d'aimer les lois que pour conserver la puissance qui vous servirait à les braver; la Constitution, que pour qu'elle...
Page 52 - Allez dire à ceux qui vous envoient que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu'on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes...
Page 3 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 54 - ... et des scènes factieuses. Le danger, sire, est plus terrible encore; et jugez de son étendue par les alarmes qui nous amènent devant vous. De grandes révolutions ont eu des causes bien moins éclatantes ; plus d'une entreprise fatale aux nations s'est annoncée d'une manière moins sinistre et moins formidable.
Page 54 - Ne croyez pas ceux qui vous parlent légèrement de la nation , et qui ne savent que vous la présenter selon leurs vues , tantôt insolente , rebelle , séditieuse ; tantôt soumise , docile au joug , prompte à courber la tête pour le recevoir. Ces deux tableaux sont également infidèles. « Toujours prêts à vous obéir, Sire , parce que vous commandez au nom des lois , notre fidélité est sans borne comme sans atteinte.
Page 124 - Constitution nous a donné, forgent les fers dont ils veulent nous enchaîner, et préparent les manœuvres qui doivent nous livrer à la maison d'Autriche. Je vois les fenêtres du palais où l'on trame la contre-révolution, où l'on combine les moyens de nous replonger dans les horreurs de l'esclavage, après nous avoir fait passer par tous les désordres de l'anarchie, et par toutes les fureurs de la guerre civile.