Histoire de France jusqu'au XVIe siècle, Volume 13L. Hachette et cie, 1860 |
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Page 127
... soldats . » ( Hammer . ) Dès cette époque , le sérail périssait . Peu de femmes . On n'achetait que des enfants ; l'impôt sur ce commerce fut supprimé vers 1600. Les quatre ministres du diable , vin , café , tabac , opium , donnèrent le ...
... soldats . » ( Hammer . ) Dès cette époque , le sérail périssait . Peu de femmes . On n'achetait que des enfants ; l'impôt sur ce commerce fut supprimé vers 1600. Les quatre ministres du diable , vin , café , tabac , opium , donnèrent le ...
Page 168
... soldats aventuriers . Au musée d'Amsterdam , vous pouvez voir un grand tableau du peintre Van der Helst , qui vous donne la situation . Après la victoire sur l'Espagne et le traité de Westphalie , à une grande table où flottent les ...
... soldats aventuriers . Au musée d'Amsterdam , vous pouvez voir un grand tableau du peintre Van der Helst , qui vous donne la situation . Après la victoire sur l'Espagne et le traité de Westphalie , à une grande table où flottent les ...
Page 172
... pensionnés de Versailles . I leva des Allemands , bons soldats quoi qu'on ait dit . Ils auraient dé- fendu les places , si le peuple ne les eût forcés de les rendre . Ces Allemands , qu'on fit prisonniers et ( 1672 ) 172 -
... pensionnés de Versailles . I leva des Allemands , bons soldats quoi qu'on ait dit . Ils auraient dé- fendu les places , si le peuple ne les eût forcés de les rendre . Ces Allemands , qu'on fit prisonniers et ( 1672 ) 172 -
Page 176
... soldats , qu'on les rendrait à tant par tête . Judicieux con- seil qui divisait , dispersait notre armée , rendait la sienne à l'ennemi ! Il y avait cinquante ans que la Hollande ne voyait plus la guerre . C'était un grand jardin , un ...
... soldats , qu'on les rendrait à tant par tête . Judicieux con- seil qui divisait , dispersait notre armée , rendait la sienne à l'ennemi ! Il y avait cinquante ans que la Hollande ne voyait plus la guerre . C'était un grand jardin , un ...
Page 198
... soldats , entreprirent de violenter le plus fier des peuples . Ils surprenaient , envelop- paient à la turque chaque hameau , et brusque- ment convertissaient le Hongrois qui voyait sa femme , ses enfants ' sous le fusil . « < Qui a ...
... soldats , entreprirent de violenter le plus fier des peuples . Ils surprenaient , envelop- paient à la turque chaque hameau , et brusque- ment convertissaient le Hongrois qui voyait sa femme , ses enfants ' sous le fusil . « < Qui a ...
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Expressions et termes fréquents
Anglais années armée aurait avaient avant beau belle Bossuet brûla c'était catholiques cent Charles chose clergé cœur Colbert coup cour couvent croire croyait cruelle d'abord d'autres dame demandait dernier devait dévot Dieu dire donner enfants eût faisait famille femme ferme fille fils fond force fort frappa frère garde général gens guère guerre Guillaume haut Hollande homme jésuites jeta jeune jour juge l'Angleterre l'Église l'Espagne l'Europe laisser lettre lieu livre Louis XIV Louvois lui-même Madame main maison maître malade mari ment mère mieux mille ministres Molière monde Monsieur montra mort mourir n'avait n'en n'était noble Parlement partout passer pauvre pays pensée père personne petit petite peuple place pleurer porte pouvait premier prince pris prit protestants qu'un quatre reine religieuse reste rien s'en s'il saint sauver semble sent serait servir seul siècle soldats surtout tenait terre terrible tête traité trouva Vallière venait vivant voulait voyait vrai
Fréquemment cités
Page 365 - Poussons jusqu'au ciel nos acclamations ; et disons à ce nouveau Constantin, à ce nouveau Théodose, à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine. « Vous avez affermi la foi ; vous avez exterminé les hérétiques : c'est le digne ouvrage de votre règne ; c'en est le propre caractère.
Page 365 - Mais nos pères n'avaient pas vu, comme nous, une hérésie invétérée tomber tout à coup; les troupeaux égarés revenir en foule, et nos églises trop étroites pour les recevoir, leurs faux pasteurs les abandonner sans même en attendre l'ordre, et heureux d'avoir à leur alléguer leur bannissement pour excuse ; tout calme dans un si grand mouvement ; l'univers étonné de voir dans un événement si nouveau la marque la plus assurée comme le plus bel usage de l'autorité, et le mérite du...
Page 366 - Eglise! et que redoutable est le glaive que le Fils de Dieu lui a mis dans la main ! Mais c'est un glaive spirituel , dont les superbes et les incrédules ne ressentent pas le
Page 366 - Semblable à une épouse désolée, l'Église ne fait que gémir, et le chant de la tourterelle délaissée est dans sa bouche. Enfin elle est étrangère et comme errante sur la terre, où elle vient recueillir les enfants de Dieu sous ses ailes ; et le monde, qui s'efforce de les lui ravir, ne cesse de traverser son pèlerinage. Mère affligée, elle a souvent à se plaindre de ses enfants qui l'oppriment...
Page 352 - ... loyauté et de sincérité, c'est l'horreur du mensonge, c'est le respect de la parole. Il est glorieux pour la nature humaine qu'un si grand nombre d'hommes, aient, pour ne pas mentir, tout sacrifié, passé de la richesse à la mendicité, hasardé leur vie, leur famille, dans les aventures périlleuses d'une fuite si difficile. On a vu là des sectaires obstinés; j'y vois des gens d'honneur qui par toute la terre ont montré ce qu'était l'élite de la France.
Page v - Le déplorable dénoûment du règne de Louis XIV ne peut cependant nous faire oublier ce que la société, la civilisation d'alors, avaient eu de beau et de grand. Il faut le reconnaître. Dans la fantasmagorie de ce règne, la plus imposante qui ait surpris l'Europe depuis la solide grandeur de l'empire romain, tout n'était pas illusion! Nul doute qu'il n'y ait eu là. une harmonie qui ne s'est guère vue avant ou après. Elle fit l'ascendant singulier de cette puissance qui ne fut pas seulement...
Page 257 - Soubise n'était pas fière; elle ne voulait que de l'argent, enrichir son mari. Elle n'avait d'enfants qu'avec lui, et point avec le roi. Il n'allait pas chez elle, mais elle chez lui, et la nuit. Aux plafonds de l'hôtel Soubise, elle a fait peindre dans l'histoire de Psyché ce beau mystère. Mandée au moment du caprice, attendue par Bontemps qui la menait, elle se levait d'auprès de son mari, dormeur heureusement, le premier ronfleur du royaume. Une fois, ainsi pressée, elle ne trouvait pas...
Page 243 - Elle avait beau dire qu'elle avait écrit dans un accès de fièvre. Elle sentait qu'on ne s'arrêterait pas à son dire. Elle s'adressa à un archer et crut l'avoir gagné. Il lui donna papier et encre, et elle écrivit deux fois à Penautier d'agir pour elle. Ces lettres n'arrivèrent pas, et servirent au procès. Elle était fort légère et se confiait à cet archer, qui la faisait parler. « Penautier, disait-il, est donc intéressé à l'affaire? — Autant que moi-même, et il doit avoir encore...
Page vi - J'étais tout jeune que je lisais cet honnête Boileau, ce mélodieux Racine ; j'apprenais la fanfare, peu diversifiée, de Bossuet. Corneille, Pascal, Molière, La Fontaine, étaient mes maîtres. La seule chose qui m'avertit et me fit chercher ailleurs, c'est que ces très grands écrivains achèvent plutôt qu'ils ne commencent.
Page 317 - ... les moyens de police, par l'effroi même des supplices infamants. Obstinément ils fuyaient l'Hôpital, comme la maison de la mort. Elle y était en permanence. Les sains et les malades couchaient pêle-mêle quatre, six, dans un lit. Cette promiscuité hideuse avec les galeux et les vénériens, des gens couverts d'ulcères, faisait frémir.