Œuvres, Volume 1Brocas & Osmont, 1749 |
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... Madame , pourroit être . AGLAU RE . Tous ces lieux n'ont - ils rien d'agréable pour vous , Si vous ne les voyez ornés de fa préfence ? AGENOR . Ces lieux peuvent avoir des charmes affez doux ; Mais nous cherchons Pfiché dans notre ...
... Madame , pourroit être . AGLAU RE . Tous ces lieux n'ont - ils rien d'agréable pour vous , Si vous ne les voyez ornés de fa préfence ? AGENOR . Ces lieux peuvent avoir des charmes affez doux ; Mais nous cherchons Pfiché dans notre ...
Page 101
... Madame , quand c'eft de l'amour . CIDIPPE . Sans aller plus avant , Princes , cela veut dire , Que vous aimez Pfiché tous deux . AGENO R. Tous deux foumis à fon empire , Nous allons , de concert , lui découvrir nos feux . A GLAUR E. C ...
... Madame , quand c'eft de l'amour . CIDIPPE . Sans aller plus avant , Princes , cela veut dire , Que vous aimez Pfiché tous deux . AGENO R. Tous deux foumis à fon empire , Nous allons , de concert , lui découvrir nos feux . A GLAUR E. C ...
Page 102
... Madame , Votre illustre pitié veut en vain nous diftraire D'un amour dont tous deux nous redoutons l'effet ; n'a pas Ce que notre amitié , Madame , Il n'est rien qui le pu.sse faire . CIDIPPE . fait , Il faut que le pouvoir de Pfiché ...
... Madame , Votre illustre pitié veut en vain nous diftraire D'un amour dont tous deux nous redoutons l'effet ; n'a pas Ce que notre amitié , Madame , Il n'est rien qui le pu.sse faire . CIDIPPE . fait , Il faut que le pouvoir de Pfiché ...
Page 103
... Madame , un aveu téméraire ; Mais tant de cœurs , près du trépas Sont , par de tels aveux , forcés à vous déplaire , Que vous étes réduite à ne les punir pas Des foudres de votre colére . Vous voyez en nous deux amis Qu'un doux rapport ...
... Madame , un aveu téméraire ; Mais tant de cœurs , près du trépas Sont , par de tels aveux , forcés à vous déplaire , Que vous étes réduite à ne les punir pas Des foudres de votre colére . Vous voyez en nous deux amis Qu'un doux rapport ...
Page 104
... Madame , Que fous votre heureux choix nous nous offrons d'unir Nous voulons faire à notre flamme Un fecours pour vous obtenir . Ce que , pour ce bonheur , près du Roi votre pere , Nous nous facrifions tous deux , N'a rien de difficile à ...
... Madame , Que fous votre heureux choix nous nous offrons d'unir Nous voulons faire à notre flamme Un fecours pour vous obtenir . Ce que , pour ce bonheur , près du Roi votre pere , Nous nous facrifions tous deux , N'a rien de difficile à ...
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Expressions et termes fréquents
affez Affurément AGENOR AGLAURE aime ainfi amant amour appas ARGANTE fe croyant ARISTE ARMAN ARMANDE auffi avez beauté beaux BELISE belle c'eft C'eſt ceffe charmes chofe choſes CHRIS CHRISALE CIDIPPE ciel cinq cens écus CLEOMENE CLITAN DRE CLITANDRE cœur confentement courroux danfans danfantes deftin Dieux dire douceurs doux efprit Eft-ce encens ENTRE'E DE BALLET eſt étes fans faurois favez favoir fcience fe croyant feul feconde fecours fecret fens fenti fervir fieurs fille fœur foins foit fongez font fouffrir foupirs FOURBERIES DE SCAPIN fouvent fuis GERONTE grace HENRIETTE HIACINTE HOMME affligé j'ai jufte L'AMOUR l'efprit laiffer LEANDRE loix m'en Madame MARTINE Monfieur Triffotin n'eft n'eſt NERINE OCTA OCTAV paffe pere perfonne Pfiché PHILAMINTE philofophie plaifir plaifirs plaire PSICHE puiffe raifon réfolu refpect rien s'eft SCAPI SCAPIN Seigneur Géronte SILVESTRE tendreffe TRISSOTIN VADIUS Vénus veut veux vœux voilà vois yeux Zéphire ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 202 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 203 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire , Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire; Raisonner est l'emploi de toute ma maison; Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 127 - Moi, de qui la pudeur devroit du moins attendre ' Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois? Vous soupirez, seigneur, ainsi que je soupire; Vos sens, comme les miens, paraissent interdits : C'est à moi de m'en taire, à vous de me le dire ; Et cependant c'est moi qui vous le dis.
Page 202 - C'est à vous que je parle, ma sœur. * Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite.
Page 201 - J'aime bien mieux, pour moi, qu'en épluchant ses herbes Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou méchant mot Que de brûler ma viande ou saler trop mon pot. Je vis de bonne soupe et non de beau langage. Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage ; Et Malherbe et Balzac, si savants en beaux mots, En cuisine peut-être auraient été des sots.
Page 202 - Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde ; Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 127 - M'en ont fait sentir la puissance, Mais je n'ai point encor senti ce que je sens. Je ne sais ce que c'est, mais je sais qu'il me charme, Que je n'en conçois point d'alarme ; Plus j'ai les yeux sur vous, plus je m'en...
Page 127 - Plus je me plais à m'attacher sur eux. Par quel ordre du ciel , que je ne puis comprendre , Vous dis-je plus que je ne dois , Moi de qui la pudeur devrait du moins attendre Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois?
Page 203 - Tous les propos qu'il tient sont des billevesées. On cherche ce qu'il dit après qu'il a parlé; Et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé.