Œuvres, Volume 1Brocas & Osmont, 1749 |
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Page 1
... vois her , de loin , un nuage de coups de bâton , qui a fur mes épaules . CTAVE . ! Par où fortir de l'embarras où je me trouve ? SILVESTRE . à quoi vous deviez fonger , avant que de vous er . OCTAV E. Tu me fais mourir par tes leçons ...
... vois her , de loin , un nuage de coups de bâton , qui a fur mes épaules . CTAVE . ! Par où fortir de l'embarras où je me trouve ? SILVESTRE . à quoi vous deviez fonger , avant que de vous er . OCTAV E. Tu me fais mourir par tes leçons ...
Page 3
... Dures extrémités où je me vois réduit ! Tu viens , Silveftre , d'ap- prendre au port , que mon pere re- vient ? SILVESTRE . OCTAV E. Qu'il arrive ce matin même ? SILVESTRE . Ce matin même . OCTAV E. Et qu'il LES FOURBERIES ...
... Dures extrémités où je me vois réduit ! Tu viens , Silveftre , d'ap- prendre au port , que mon pere re- vient ? SILVESTRE . OCTAV E. Qu'il arrive ce matin même ? SILVESTRE . Ce matin même . OCTAV E. Et qu'il LES FOURBERIES ...
Page 5
... vois ner , de loin , un nuage de coups de bâton , qui ra fur mes épaules . OCTAV E. !! Par où fortir de l'embarras où je me trouve ? SILVESTRE . à quoi vous deviez fonger , avant que de vous er . OCTAV E. Tu me fais mourir par tes ...
... vois ner , de loin , un nuage de coups de bâton , qui ra fur mes épaules . OCTAV E. !! Par où fortir de l'embarras où je me trouve ? SILVESTRE . à quoi vous deviez fonger , avant que de vous er . OCTAV E. Tu me fais mourir par tes ...
Page 6
... vois tout troublé . OCTAV E. Ah ! Mon pauvre Scapin , je fuis perdu , je fuis dé- fefpéré , je fuis le plus infortuné de tous les hom- mes . Comment ? SCAPIN . OCTAV E. N'as - tu rien appris de ce qui me regarde ? Non . SCAPIN . OCTAV E ...
... vois tout troublé . OCTAV E. Ah ! Mon pauvre Scapin , je fuis perdu , je fuis dé- fefpéré , je fuis le plus infortuné de tous les hom- mes . Comment ? SCAPIN . OCTAV E. N'as - tu rien appris de ce qui me regarde ? Non . SCAPIN . OCTAV E ...
Page 8
... vois pas encore où ceci veut aller . OCTAVE . Un jour que je l'accompagnois pour aller chez les gens qui gardent l'objet de fes vœux , nous entendî- mes , dans une petite maifon d'une rue écartée , quel- ques plaintes mêlées de beaucoup ...
... vois pas encore où ceci veut aller . OCTAVE . Un jour que je l'accompagnois pour aller chez les gens qui gardent l'objet de fes vœux , nous entendî- mes , dans une petite maifon d'une rue écartée , quel- ques plaintes mêlées de beaucoup ...
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Expressions et termes fréquents
affez Affurément AGENOR AGLAURE aime ainfi amant amour appas ARGANTE fe croyant ARISTE ARMAN ARMANDE auffi avez beauté beaux BELISE belle c'eft C'eſt ceffe charmes chofe choſes CHRIS CHRISALE CIDIPPE ciel cinq cens écus CLEOMENE CLITAN DRE CLITANDRE cœur confentement courroux danfans danfantes deftin Dieux dire douceurs doux efprit Eft-ce encens ENTRE'E DE BALLET eſt étes fans faurois favez favoir fcience fe croyant feul feconde fecours fecret fens fenti fervir fieurs fille fœur foins foit fongez font fouffrir foupirs FOURBERIES DE SCAPIN fouvent fuis GERONTE grace HENRIETTE HIACINTE HOMME affligé j'ai jufte L'AMOUR l'efprit laiffer LEANDRE loix m'en Madame MARTINE Monfieur Triffotin n'eft n'eſt NERINE OCTA OCTAV paffe pere perfonne Pfiché PHILAMINTE philofophie plaifir plaifirs plaire PSICHE puiffe raifon réfolu refpect rien s'eft SCAPI SCAPIN Seigneur Géronte SILVESTRE tendreffe TRISSOTIN VADIUS Vénus veut veux vœux voilà vois yeux Zéphire ZERBINETTE
Fréquemment cités
Page 202 - M'ôter, pour faire bien, du grenier de céans, Cette longue lunette à faire peur aux gens, Et cent brimborions dont l'aspect importune ; Ne point aller chercher ce qu'on fait dans la lune, Et vous mêler un peu de ce qu'on fait chez vous, Où nous voyons aller tout sens dessus dessous.
Page 203 - Mes gens à la science aspirent pour vous plaire , Et tous ne font rien moins que ce qu'ils ont à faire; Raisonner est l'emploi de toute ma maison; Et le raisonnement en bannit la raison.
Page 127 - Moi, de qui la pudeur devroit du moins attendre ' Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois? Vous soupirez, seigneur, ainsi que je soupire; Vos sens, comme les miens, paraissent interdits : C'est à moi de m'en taire, à vous de me le dire ; Et cependant c'est moi qui vous le dis.
Page 202 - C'est à vous que je parle, ma sœur. * Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite.
Page 201 - J'aime bien mieux, pour moi, qu'en épluchant ses herbes Elle accommode mal les noms avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou méchant mot Que de brûler ma viande ou saler trop mon pot. Je vis de bonne soupe et non de beau langage. Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage ; Et Malherbe et Balzac, si savants en beaux mots, En cuisine peut-être auraient été des sots.
Page 202 - Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde ; Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 127 - M'en ont fait sentir la puissance, Mais je n'ai point encor senti ce que je sens. Je ne sais ce que c'est, mais je sais qu'il me charme, Que je n'en conçois point d'alarme ; Plus j'ai les yeux sur vous, plus je m'en...
Page 127 - Plus je me plais à m'attacher sur eux. Par quel ordre du ciel , que je ne puis comprendre , Vous dis-je plus que je ne dois , Moi de qui la pudeur devrait du moins attendre Que vous m'expliquassiez le trouble où je vous vois?
Page 203 - Tous les propos qu'il tient sont des billevesées. On cherche ce qu'il dit après qu'il a parlé; Et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé.