La colonisation scientifique: et les colonies françaisesC. Reinwald, 1884 - 506 pages |
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La colonisation scientifique: et les colonies françaises Arthur Bordier Affichage du livre entier - 1884 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page xix - Société ne peut utiliser son travail, n'a pas le moindre droit à réclamer une portion quelconque de nourriture et il est réellement de trop sur la terre. Au grand banquet de la nature, il n'ya pas de couvert mis pour lui. La nature lui commande de s'en aller et elle ne tarde pas à mettre elle-même cet ordre à exécution ». (2) Cf.
Page xix - Un homme qui naît dans un monde déjà occupé, si sa famille n'a pas le moyen de le nourrir, ou si la société n'a pas besoin de son travail, cet homme...
Page 307 - États, il puisse dire à ceux qui l'ont envoyé que Makoko sait bien recevoir les blancs qui viennent chez lui non en guerriers mais en hommes de paix.
Page 2 - Scandinaves donne à ces idées fausses, et combien elle justifie ces paroles de Lyell : « En supposant que le genre humain disparût en entier , à l'exception d'une seule famille , fût-elle placée sur l'Océan ou sur le nouveau Continent, en Australie ou sur quelque îlot madréporique de l'Océan Pacifique, nous pouvons être certains que ses descendants...
Page 359 - ... D'infortunés amis, de trop faibles parents consacrèrent leurs biens au succès de mes projets. Ils sont maintenant dans la misère et le besoin. Je me suis soumis à toutes les formes judiciaires ; j'ai demandé comme le dernier des créanciers ce qui m'est dû. Mes services sont traités de fables; ma demande est dénoncée comme ridicule ; je suis traité comme l'être le plus vil du genre humain. Je suis dans la plus déplorable indigence ; la petite propriété qui me restait vient d'être...
Page 275 - En résumé, il ne semble pas possible que le Parlement persiste à refuser les fonds nécessaires pour terminer la ligne commencée jusqu'à Bafoulabé, et que le Gouvernement renonce à son projet ; ce serait mériter les reproches d'inconstance, de légèreté, d'incapacité à coloniser qu'on a l'habitude de nous adresser.
Page 307 - Voici, leur dis-je, le signe d'amitié et de protection que je vous laisse. La France est partout où flotte cet emblème de paix, et elle fait respecter les droits de tous ceux qui s'en couvrent.
Page 110 - Il ne s'agit de rien moins que de peupler nos champs , nos forêts , nos rivières, d'hôtes nouveaux ; d'augmenter le nombre de nos animaux domestiques, cette richesse première du cultivateur ; d'accroître et de varier les ressources alimentaires , si insuffisantes , dont nous disposons aujourd'hui ; de créer d'autres produits économiques ou industriels, et, par là même, de doter notre agriculture , si longtemps languissante , notre industrie , notre commerce et la société tout entière...
Page 60 - ... chez les races actuelles, et qui reviennent chez eux par une sorte d'atavisme. Le criminel ainsi compris est un anachronisme, un sauvage en pays civilisé, une sorte de monstre, et quelque chose de comparable à un animal qui, né de parents domestiques, apprivoisés, habitués au travail , apparaîtrait brusquement avec la sauvagerie indomptable de ses premiers ancêtres.
Page 359 - J'ai sacrifié ma jeunesse, ma fortune, ma vie, pour » enrichir ma nation en Asie. D'infortunés amis, de trop « faibles parents, consacrèrent leurs biens au succès de » mes projets. Ils sont maintenant dans la misère et le