Les cent meilleurs poèmes (lyriques) de la langue françaiseA. Perche, 1907 - 159 pages |
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... main . Ces prophètes enfin ont beau crier et dire : Ce ne sont que des voix , ce ne sont que des cris , Si pour en profiter l'esprit qui les inspire Ne touche nos esprits . Silence donc , Moïse ! et toi , parle en sa place , Éternelle ...
... main . Ces prophètes enfin ont beau crier et dire : Ce ne sont que des voix , ce ne sont que des cris , Si pour en profiter l'esprit qui les inspire Ne touche nos esprits . Silence donc , Moïse ! et toi , parle en sa place , Éternelle ...
Page 29
... main des fleurs les plus chéries Lui faisait des présents si tendrement reçus . Que je l'aimais alors ! Que je la trouvais belle ' Mon cœur , vous soupirez au nom de l'infidèle : Avez - vous oublié que vous ne l'aimez plus ? 25 . Hymne ...
... main des fleurs les plus chéries Lui faisait des présents si tendrement reçus . Que je l'aimais alors ! Que je la trouvais belle ' Mon cœur , vous soupirez au nom de l'infidèle : Avez - vous oublié que vous ne l'aimez plus ? 25 . Hymne ...
Page 34
... main , M'avertit que je me retire . De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage . Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur . Laissons à la belle jeunesse Ses folâtres emportements : Nous ne vivons que ...
... main , M'avertit que je me retire . De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage . Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur . Laissons à la belle jeunesse Ses folâtres emportements : Nous ne vivons que ...
Page 37
... main quelquefois , aimable et caressante , Feignait de châtier mon enfance imprudente . C'est devant ses amants ... mains prenaient mes jeunes doigts , Les levaient , les baissaient , recommençaient vingt fois , Leur enseignant ainsi ...
... main quelquefois , aimable et caressante , Feignait de châtier mon enfance imprudente . C'est devant ses amants ... mains prenaient mes jeunes doigts , Les levaient , les baissaient , recommençaient vingt fois , Leur enseignant ainsi ...
Page 38
... main sur la massue antique , Attend sa récompense et l'heure d'être un dieu . Le vent souffle et mugit . Le bûcher tout en feu Brille autour du héros , et la flamme rapide Porte aux palais divins l'âme du grand Alcide ! La Jeune Captive ...
... main sur la massue antique , Attend sa récompense et l'heure d'être un dieu . Le vent souffle et mugit . Le bûcher tout en feu Brille autour du héros , et la flamme rapide Porte aux palais divins l'âme du grand Alcide ! La Jeune Captive ...
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Expressions et termes fréquents
ailes aime âme amour André Chénier Antoine et Cléopâtre Aubépin AUGUSTE DORCHAIN baiser beau beauté belle bleu blonde bois Booz bouche bras brise bruit chants Charles d'Orléans charmant chêne cheveux ciel cieux CLÉMENT MAROT cœur couche Couronnés de thym cueillir deuil Dieu divin dormait douce douleur doux doux visage Elfes joyeux dansent enfant étoiles feuillage flamme fleur flots fontaines forêts FRANÇOIS VILLON frisson front gémit Hélas ici-bas j'ai j'aime jeune jeunesse jour l'âme l'amour l'aurore l'herbe l'heure l'homme l'ombre laisse larmes lauriers sont coupés Leconte de Lisle lèvre Madame du Châtelet main maison morne mort mourir murmure noir nuit oiseaux ombre pâle parfums parle passé pieds plaine pleurs POÈTE prends ton luth printemps qu'un regard rêve rien rose ruisseau seul soir soleil sombre sommeil Sonnet souffle soupirs Souviens-toi terre Théodore de Banville tombe tombeau tremble triste vent veux veux vivre Viens voiles vois voix volupté Voulzie yeux
Fréquemment cités
Page 39 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. "Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson ; Et, comme le soleil, de saison en saison Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige -et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin, Je veux achever ma journée.
Page 5 - Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Page 16 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer.
Page 145 - C'est pour assouvir Ton moindre désir Qu'ils viennent du bout du monde. — Les soleils couchants Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D'hyacinthe et d'or ; Le monde s'endort Dans une chaude lumière.
Page 156 - JE fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime et qui m'aime, Et qui n'est chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page 89 - MAINTENANT que Paris, ses pavés et ses marbres, Et sa brume et ses toits sont bien loin de mes yeux; Maintenant que je suis sous les branches...
Page 29 - Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce qu'on aime ; L'effort en est barbare aux yeux de l'univers, Et c'est brutalité
Page 51 - Un de ses bras pendait de la funèbre couche; L'autre, languissamment replié sur son cœur, Semblait chercher encore et presser sur sa bouche L'image du Sauveur. Ses lèvres s'entr'ouvraient pour l'embrasser encore Mais son âme avait fui dans ce divin baiser, Comme un léger parfum que la flamme dévore Avant de l'embraser. Maintenant tout dormait sur sa bouche glacée, Le souffle se taisait dans son sein endormi, Et sur l'oeil sans regard la paupière affaissée Retombait à demi.
Page 66 - Turpin disait, tenant les saintes amulettes : 'Sire, on voit dans le ciel des nuages de feu; Suspendez votre marche ; il ne faut tenter Dieu. Par monsieur saint Denis, certes ce sont des âmes Qui passent dans les airs sur ces vapeurs de flammes. 'Deux éclairs ont relui, puis deux autres encor.
Page 47 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!