| Jean de La Fontaine - 1796 - 392 pages
...offenses. TouslesgensquerelleurSjjusqu'auxsimplesmâtins, Au dire de chacun , étaient de petits saints. L'âne vint à son tour, et dit : J'ai souvenance...poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit , puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Unloup,quelquc... | |
| Jean de La Fontaine, Marie-Nicolas-Silvestre Guillon - 1803 - 466 pages
...Gens morts furent faits petits Dieux. ( Grand Testant, p. li. ) Venons an discours de l'Ane: L'Ane vint à son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en un...poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Qne de beante's ! Qu'il faut avoir d'esprit , comme parle JeanJacques Rousseau , pour savoir ainsi... | |
| Jean de La Fontaine, Marie Nicolas Sylvestre Guillon - 1803 - 468 pages
...pour atténuer sa faute ! La faim , l'occasion , l'herbe tendre , et , je pense , Quelque Diable aucsi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Comment tenir à ces traits-là ? On en citeroit cent de de cette force. Mais il faut s'en rapporter... | |
| Jean-François de La Harpe - 1804 - 450 pages
...les circonstances sont faites pour atténuer sa faute qu'il semble vouloir aggraver si bonnement ! En un pré de moines passant , La faim, l'occasion, l'herbe...poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Et ce cri qui s'éleve ! Manger l'herbe d'autrui I L'herbe d'autrui ! comment tenir à ces traits-là... | |
| Jean-François de La Harpe - 1806 - 442 pages
...atténuer sa faute J La faim , l'occasion, l'herbe tendre , «t, je pense , ' • • . , ",.•.'.: i : ~ Quelque diable aussi me poussant > , , ' Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Comment tenir à ces traits-là f On en citerait cent de cette force. Mais il faut s'en rapporter à... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 462 pages
...il est difficile qu'un pareil choix ne rappelle pas un peu la fable des Animaux malades de la peste. L'âne vint à son tour et dit : J'ai souvenance Qu'en...poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. . . . Sa... | |
| Grimm - 1812 - 454 pages
...son tour, et dit : J'ai souvenance Qu'en an pré de moines passant , La faim, t'occasion , t'herbe tendre , et, je pense, Quelque diable aussi me poussant , Je tondis de ce pré la largeur de ma tangue. Je n'en avais nul droit , puisqu'it faut parter net. A ces mots, on cria haro sur te baudet... | |
| Friedrich Melchior Freiherr von Grimm - 1812 - 460 pages
...souvenance Qu'en un pré de moines passant, La fairn, t'occasion , t'herbe tendre , et, jepenst, Quetque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma tangue. Je n'en avais nut droit, puisqu'it faut parter net. A ces mots, on cria haro sur te baudet... | |
| Friedrich Melchior baron von Grimm - 1813 - 462 pages
...il est difficile qu'un pareil choix ne rappelle pas un peu la fable des Animaux malades de la peste. L'âne vint à son tour et dit : J'ai souvenance Qu'en...poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. ' Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. . . .... | |
| Lord Alexander Fraser Tytler Woodhouselee - 1813 - 466 pages
...offenses. Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simple mâtins Au dire de chacun, etoient de petits saints. L'âne vint à son tour, et dit, J'ai souvenance Qu'en...poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avois nul droit ; puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet : t Un... | |
| |