 | 1827 - 492 pages
...impossible de fermer les yeux le reste di: la nuit. " Le lendemain. je fisappeller le somnambule, et lui demandai sans affectation, à quoi il avait rêvé...Mon père, me répondit-il, j'ai fait un rêve si étrange,que j'ai véritablement quelque peineà vous le découvrir : c'est peut-être l'œuvre du... | |
 | Brillat-Savarin - 1834 - 510 pages
...de fermer les yeux « le reste de la nuit. « Le lendemain, je fis appeler le somnambule, « et lui demandai sans affectation , à quoi il « avait rêvé...— Mon « père, dit-il alors, à peine étais-je couché que « j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère; que son « ombre sanglante m'était apparue... | |
 | Brillat-Savarin - 1834 - 812 pages
...somnambule, « et lui demandai sans affectation , à quoi il « avait rêvé la nuit précédente. « me répondit-il, j'ai fait un rêve si étrange, «...— Mon « père , dit-il alors , à peine étais-je couché que « j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère; que son « ombre sanglante m'était apparue... | |
 | Jean Anthelme Brillat-Savarin - 1838 - 512 pages
...à quoi il avait « rêvé la nuit précédente. «et — Je vous l'ordonne, lui répliquai- je ; « un rêve est toujours involontaire; ce n'est « qu'une...— Mon « père, dit-il alors, à peine étais-je couché que « j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère; que son «. ombre sanglante m'était apparue... | |
 | Brillat-Savarin - 1842 - 524 pages
...troubla. Mon père , me ré» pondit-il, j'ai fait un rêve si étrange que j'ai véritable» ment quelque peine à vous le découvrir : c'est peut-être...l'œuvre du démon, et.... — Je vous l'ordonne, lui ré» pliquai-je ; un rêve est toujours involontaire ; ce n'est » qu'une illusion. Parlez avec sincérité.... | |
 | Brillat-Savarin - 1842 - 500 pages
...découvrir : c'est peut-être » l'œuvre du démon, et.... — Je vous l'ordonne, lui ré» pliquai-je ; un rêve est toujours involontaire; ce n'est » qu'une...illusion. Parlez avec sincérité. — Mon père, dit» il alors , à peine étais-je couché que j'ai rêvé que vous » aviez tué ma mère ; que son... | |
 | Jean Anthelme Brillat-Savarin - 1850 - 302 pages
...fermer les yeux le reste de la nuit. » Le lendemain, je fis appeler le somnambule, et lui deman» dai sans affectation à quoi il avait rêvé la nuit précédente....l'ordonne, lui répliquai-je; un rêve est toujours in» volontaire ; ce n'est qu'une illusion. Parlez avec sincérité. — » ]tfon père, dit-il alors,... | |
 | A. Brierre de Boismont - 1852 - 754 pages
...impossible de fermer les yeux le reste de la nuit. » Le lendemain, je fis appeler le somnambule et lui demandai , sans affectation , à quoi il avait rêvé...sincérité. — Mon père, dit-il alors, à peine étais-je couché, que j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère, que son ombre sanglante m'était apparue pour... | |
 | 1862 - 496 pages
...impossible de fermer les yeux le reste de la nuit. Le lendemain, je fis appeler le somnambule, et je lui demandai sans affectation à quoi il avait rêvé...sincérité. — Mon père, dit-il alors, à peine étais-je couché, que j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère, que son ombre sanglante m'était apparue pour... | |
 | Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont - 1862 - 760 pages
...impossible de fermer les yeux le reste de la nuit. •» Le lendemain, je fis appeler le somnambule, et lui demandai, sans affectation, à quoi il avait rêvé la nuit précédente. » A celte question, il se troubla. — Mon père, me répondit-il, j'ai fait un rêve si étrange, que... | |
| |
... et... — Je vous l'ordonne, lui répliquai-je; un rêve est toujours involontaire, ce n'est qu'une illusion. Parlez avec sincérité. — Mon père, dit-il alors, à peine étais-je couché, que j'ai rêvé que vous aviez tué ma mère, que son ombre... 
