LE FRÉLON. DEJA dans la plaine Mon troupeau paissait. Là, dans un bois sombre, Sans prévoir d'alarmes, J'admirais ces lieux, Quand de nouveaux charmes Frappèrent mes yeux ; Id. et Egl. 27 L'odorante haleine D'un petit vent frais, Flattait les attraits. Quels transports m'agitent! Quels désirs brûlans! M'offre son éclat. Sa fraîcheur attire Hélène s'écrie; Plein d'effroi, j'accours : Je l'entends à peine; Un ardent poison Court, de veine en veine, Troubler ma raison : J'enivre mon âme D'un miel enchanteur; Hélène, interdite, LE BERGER ÉPICURIEN. JOUISSONS, bergère, Sa course légère Après leur printemps, Est propre au mystère Moins qu'à l'ordinaire ; SENECÉ. LE PRINTEMPS. FLORE LORE avec peine Et son haleine Le doux Zéphire La pastourelle Trouve son cœur. Ardeur nouvelle Vient enflammer: Tout nous rappelle Ciel sans nuage Mystère, amour. |