| 1805 - 296 pages
...comme chose sacrée; Jamais l'oisiveté n'avait chez moi d'eutrée: ALISM les dieux alors benissaient ma maison ; Toutes sortes de biens me venaient à foison. Mais, hélas ! ce bonheur fut de peu durée! Aussitot que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes pelits eufans la suivirent de près, Et... | |
| 430 pages
...: L'un gisait au maillot, l'autre dans le berceau; Ma femme, en les baisant , dévidait son fuseau. Le temps s'y ménageait comme chose sacrée, Jamais...vie expirée, Tous mes petits enfans la suivirent de prés, Et moi je restai seul, accablé de regrets.... Nous n'avons pas, dans notre langue, de morceau... | |
| Honorat de Bueil Racan (seigneur de) - 1857 - 440 pages
...sortes de biens me venoient à foison. Mais , hélas! ce bonheur fut de peu de durée : Aussi-tost que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes petits enfans la suivirent de près, Et moy je restay seul accablé de regrets, De mesme qu'un vieux tronc, relique de l'orage, aui se voit... | |
| Frédéric Eugène Godefroy - 1867 - 748 pages
...bénissoient ma maison ; Toutes sortes de biens me venoient à foison. Mais, hélas ! ce bonheur fut de courte durée : Aussitôt que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes petits enfants la suivirent de près ; Et moi, je restai seul accablé de regrets, De môme qu'un vieux tronc,... | |
| Ferdinand Loise - 1887 - 568 pages
...fuseau. Jamais l'oisiveté n'avait chez moi d'entrée, Le temps s'y ménageait comme chose sacrée : Aussi les dieux alors bénissaient ma maison ; Toutes sortes de biens me venaient à foison. Et ces vers qu'il met dans la bouche du vieil Alidor : A cesjvieux bâtiments de qui l'on voit à peine... | |
| Isabelle Krafft-Bucaille - 1890 - 314 pages
...: L'un gisait au maillot, l'autre dans le berceau; Ma femme, en les baisant, dévidait son fuseau; Le temps s'y ménageait comme chose sacrée; Jamais...venaient à foison. Mais, hélas ! ce bonheur fut de courte durée. Aussitôt que ma femme eût sa vie expirée Tous mes petits enfants la suivirent de... | |
| Napoléon Maurice Bernardin - 1891 - 424 pages
...: L'un gisait au maillot, l'autre dans le berceau]; Ma femme, en les baisant, dévidait son fuseau. Le temps s'y ménageait comme chose sacrée; Jamais...que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes petits enfants la suivirent de près, Et moi je restai seul, accablé de regrets, De même qu'un vieux tronc,... | |
| Louis Arnould - 1896 - 862 pages
...l'oisiveté n'entrait dedans ma chambre. Aussi les dieux alors bénissaient ma maison; toutes sortes dé biens me venaient à foison. Mais, hélas! ce bonheur...durée : aussitôt que ma femme eut sa vie expirée, 2330 tous mes petits enfants la suivirent de près, et moi je restai seul accablé de regrets, de même... | |
| 1901 - 586 pages
...place. L'un gisait au maillot, l'autre dans le berceau ; I Ma femme en les baisant dévidait son fuseau. Le temps s'y ménageait comme chose sacrée ; Jamais...venaient à foison. Mais hélas ! ce bonheur fut de courte durée : Aussitôt que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes petits enfants la suivirent de... | |
| Ferdinand Brunetière - 1912 - 682 pages
...place; L'un gisait au maillot, l'autre dans le berceau, Ma femme en les baisant dévidait son fuseau, Le temps s'y ménageait comme chose sacrée, Jamais l'oisiveté n'avait chez moi d'entrée... Mais, hélas, ce bonheur fut de peu de durée, Aussitôt que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes... | |
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