La France sous Louis XV (1715-1774): Madame de Pompadour de 1757 à 1763 |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
affaires Anglais année appelé armée arrivé attaque aurait Autrichiens avaient bataille camp cause cent chargé Choiseul colonie combat commandement compte comte conduite conseil corps côté coup cour Daun décidé déclaration demande devant dire donner écrit ennemis établis état faisait flotte force forme française Frédéric général gens gouvernement guerre heures j'ai jésuites jours jugement l'Angleterre l'armée l'autre l'État l'ordre laisser Lally lettre liberté lieu livres Louis XV Majesté malheureux marche maréchal marquis mars Mémoires ment mille hommes ministre mois mort moyens n'avait n'était nation nombre nouvelle occupé officiers ordres paix Parlement passer payer pays peine pendant pense père personne peuple place Pondichéry porter position pouvait pouvoir premier présenta prince pris propos Prusse Prussiens public qu'à qu'un raison rendre reste rien Rousseau Russes s'était s'il secours sentiments serait seul soldats sorte Soubise suite suiv terre tion traité troupes trouvait vaisseaux venait vérité Versailles ville vive Voltaire voyant
Fréquemment cités
Page 597 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 601 - ... Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer, pour ainsi dire, la nature humaine ; de transformer chaque individu, qui par luimême est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être ; d'altérer la constitution de l'homme pour la renforcer ; de substituer une existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature.
Page 580 - Il n'est point juste que ce qu'un homme a fait pour la société en décharge un autre de ce qu'il...
Page 597 - Les clauses de ce contrat se réduisent toutes à une seule : savoir l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté...
Page 586 - Socrate, pre-- nant la coupe empoisonnée, bénit celui qui la lui présente et qui pleure; Jésus au milieu d'un supplice affreux prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie el la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 576 - Je ne vous aime point, monsieur, vous m'avez fait les maux qui pouvaient m'être les plus sensibles, à moi votre disciple et votre enthousiaste. Vous avez perdu Genève pour le prix de l'asile que vous y avez reçu; vous avez aliéné de moi mes concitoyens pour le prix des applaudissements que je vous ai prodigués parmi eux. C'est vous qui me...
Page 585 - Est-ce là le ton d'un enthousiaste ou d'un ambitieux sectaire? Quelle douceur! quelle pureté dans ses mœurs! quelle grâce touchante dans ses instructions ! quelle élévation dans ses maximes ! quelle profonde sagesse dans ses discours ! quelle présence d'esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir , souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation?
Page 577 - ... c'est vous qui me rendez le séjour de mon pays insupportable ; c'est vous qui me ferez mourir en terre étrangère, privé de toutes les consolations des mourants, et jeté, pour tout honneur, dans une voirie ; tandis que tous les honneurs qu'un homme peut attendre vous accompagneront dans mon pays.
Page 585 - Socrate eût dit ce que c'était que la justice. Léonidas était mort pour son pays avant que Socrate eût fait un devoir d'aimer la patrie. Sparte était sobre, avant que Socrate eût loué la sobriété : avant qu'il eût défini la vertu, la Grèce abondait en hommes vertueux.
Page 563 - J'avais vu que tout tenait radicalement à la politique, et que, de quelque façon qu'on s'y prît, aucun peuple ne serait jamais que ce que la nature de son gouvernement le ferait être...