Je ne l'avais vu que deux fois, pendant quelques instants, mais enfin c'était le seul grand homme de l'Église de France, et le peu d'ecclésiastiques avec qui j'avais eu des relations particulières étaient ses amis. Arrivé à Dinan, je m'enfonçai... Le testament du P. Lacordaire - Page 47de Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 150 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Bernard Chocarne - 1866 - 866 pages
...Mennais. «Je ne l'avais vu que deux fois, pendant quelques instants, raconte-t-il dans ses Mémoires; mais enfin c'était le seul grand homme de l'Église...des sentiers obscurs à travers les bois, et, après quel(1) Lorain, Corretpondant, tom. XVII, p. 840. ques indications demandées, je me trouvai en face... | |
| Bernard Chocarne (père) - 1866 - 448 pages
...quelques instants , raconte-t-il dans ses Mémoires; mais enfin c'était le seul grand homme de l'Eglise de France, et le peu d'ecclésiastiques avec qui j'avais...des sentiers obscurs à travers les bois, et, après quel(1) Lorain, Correspondant, tom. XVII, p. 840. ques indications demandées, je me trouvai en face... | |
| Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 176 pages
...rapprocher de M. l'abbé de la Mennais, et de lui rendre visite en Bretagne, dans sa maison de la Chesnaye. Je ne l'avais vu que deux fois, pendant quelques instants,...sombre, dont aucun bruit ne troublait la mystérieuse célébrilé. C'était la Chesnaye. M. l'abbé de la Mennais, prévenu par une lettre qui lui annonçait... | |
| Joseph-Théophile Foisset - 1870 - 632 pages
...vu que deux l'ois, pendant quelques instants ; mais enfin c'était le seul grand homme de l'Eglise de France, et le peu d'ecclésiastiques avec qui j'avais...seul, par des sentiers obscurs, à travers les bois. Après quelques indications demandées, je me trouvai en lace d'une maison solitaire <>t sombre, dont... | |
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