| Jean d' Auton - 1835 - 410 pages
...toujours l'œil à la marche de son homme , pour le vouloir prendre à pied levé; de quoi se donnoit très-bien garde le François, en ruant toujours coups...: ce que le roi ne voulut, mais les fit départir parles gardes des lices. Et voyant, le roi et autres seigneurs étant là , les armes des deux champions,... | |
| Jean d' Auton - 1835 - 404 pages
...percées et déclouées. Que dirai -je plus? ainsi que chacun des combattants mettoit diligence de nlettre son homme à outrance , le François avisa son coup...mater du tout : ce que le roi ne voulut , mais 'les fît départir parles gardes des lices. Et voyant, le roi et autres seigneurs étant là, les armes... | |
| Sainte-Palaye (M. de La Curne de, Jean-Baptiste de La Curne) - 1876 - 496 pages
...les fesses. (Dict. de Cotgrave.) « Tout « plat s'en alla parterre, en manière que au cheoir, « les pièces de son battecul lui renversèrent sur « le dos, tellement qu'il eut le derrière toutdescou« vert. » (Jean d'Auton, Ann. de Louis XII, de 1506, page 274.) Battelessifve (1), subst.... | |
| Sainte-Palaye (M. de La Curne de, Jean-Baptiste de La Curne) - 1876 - 496 pages
...les fesses. (Dict. de Cotgrave.) « Tout « plat s'en alla parterre, en manière que au cheoir, « les pièces de son battecul lui renversèrent sur « le dos, tellement qu'il eut le derrière tout descou« vert. » (Jean d'Auton, Ann. de Louis XII, de 1506, page 274.) Battelessifve(l),swbs£. fém.... | |
| Jean-Baptiste de La Curne de Sainte-Palaye - 1877 - 492 pages
...les fesses. (Diet, de Cotgrave.) « Tout • plat s'en alla parterre, en manière que au cheoir, « les pièces de son battecul lui renversèrent sur « le dos, tellement qu'il eutle derrière toutdescou« vert. » (Jean d'Auton, Ann. de Louis XII, de 1506, page 274.) Battelessifve... | |
| 1902 - 662 pages
...Guillaume de la Hite, lequel combat dura plus d'une heure et se termina par la culbute du dernier « de telle force, que tout plat s'en alla par terre;...pièces de son batte-cul lui renversèrent sur le dos. » L'arme employée dans les joutes, c'est-à-dire dans les combats deux à deux, était la lance,... | |
| A. J. Verrier, R. Onillon - 1908 - 630 pages
...l'armure, celle qui couvre les fesses : « Tout plat s'en alla parterre, en manière que au cheoir, les pièces de son battecul lui renversèrent sur le dos, tellement qu'il eut le derrière tout descouvert. > LC Bâte (Mj.), sf • — Sorte de couverte en toile fnrte que l'on mettait autrefois... | |
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