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ble les journalistes qui vendent leurs arrêts; du reste, nul d'entre eux n'a voulu se reconnaître au portrait de Valcour, et tous ont applaudi au

talent du peintre.

SECOND THEATRE FRANÇAIS. LES COMÉDIENS, comédie en cinq actes et en vers, par M. Delavigne, (ire représ. 6 janvier.)

Si l'on pouvait remettre sérieusement en question l'établissement des deux théâtres français dans la capide tale, il suffirait, pour la résoudre, voir la liste des pièces nouvelles que la rivalité leur a fait produire. Ils n'ont pas donné moins de six tragedies et autant de comédies nouvelles en cinq actes, indépendamment de plusieurs pièces d'un ordre inférieur. Il y avait là de quoi remplir trois années dramatiques, du temps où la Comédie Française voyait, sans tant de soins et de travaux, les tributs de la ville arriver à sa caisse.

On assure que dans cet heureux temps elle avait refusé ou reçu à corrections (ce qui n'en diffère pas de beaucoup) la tragédie des Vépres siciliennes; que malgré la politesse du refus, l'auteur, non content de la noble vengeance qu'il en avait obtenue sur le second théâtre, avait résolu d'en tirer une autre, et que c'est à son dépit qu'on doit la comédie des Comédiens. Il paraissait difficile de traiter convenablement un pareil sujet, ou de trouver des comédiens qui voulussent franchement livrer leurs ridicules à la risée du parterre. M. Casimir Delavigne a eu cette double for tune.

Le jeune auteur qu'il met en scène (Victor) a fait recevoir une comédie au grand theatre de Bordeaux. Après avoir essuyé de la part des acteurs bien des dégoûts, des caprices, des tracasseries et des impertinences, il est enfin parvenu à la faire mettre à l'étude on doit la représenter le soir même; et il attache d'autant plus de prix au succès, que de ce succès pend son mariage avec une jeune et jolie actrice (Lucile), qu'il aime et dont il est aimé.

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A cette action principale se rattachent des caractères et des incidens

Annuaire hist. pour 1820,

plus ou moins intéressans, plus ou moins accessoires. D'abord arrive des Grandes-Indes un cousin de Lucile, (Granville) chargé de lui remettre une somme considérable qu'elle vient d'hé riter d'un oncle mort dans ces mêmes contrées; Granville a même envie de l'épouser. Mais avant d'en faire la pro position, il veut savoir si elle est digne de son estime; et pour être admis dans les coulisses, il se présente sous le nom d'un inspecteur des théâtres at tendu de Paris. Tous les renseignemens qu'il prend sur sa cousine lui prouvent qu'elle est vertueuse malgré son état et ses charmes : elle a vingt ans, et pas un cachemire. Mais, par malheur pour ses prétentions, il dé couvre aussi qu'elle aime Victor; et dès ce moment, après s'être assuré qu'il est digne d'elle, il le prend en affection; il l'aide à surmonter les difficultés qui retardent la représent tation de sa pièce. — D'un autre côté, un lord Pembrok, devenu amoureux, dans une rencontre de voyage, d'une femme qu'il croit la veuve d'un ba

ron,

,

retrouve dans les mêmes coulisses cette chère baronne, qui n'était autre qu'Estelle, la soubrette de la troupe. Cette reconnaissance, qui a lieu au foyer, au moment même qu'on joue la pièce de Victor, met le lord en fureur et la pièce en péril. L'auteur désespéré du contretemps, obtient que la soubrette qui s'était évanouie, continue son rôle, et vient à bout de retenir le lord furieux qui voulait faire siffler sa comédie; la pièce réussit enfin au delà de ses espérances, et Victor épouse Lucile, qui se retire du theatre.

Ce sujet, dont on ne peut ici don ner qu'une idée, présentait une foule de difficultés que l'auteur n'a pas toujours heureusement éludées. Il y a de l'invraisemblance dans les données et dans les incidens, de l'inconvenance dans quelques caractères et de l'embarras dans la conduite de l'action. Le déguisement de Granville est mal motive, la méprise et la fureur de Pembrok sont d'un comique du bas étage. Mais, à côté de ces défauts ou de ces difficultés qui tiennent au sujet, on a remarqué dans les Comédiens des portraits naturels et nuancés avec ta lent. Les actrices y sont peintes d'un

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coloris plus pâle, d'une touche moins ferme : on en sent la raison. Mais il n'est presque point de scène qui n'offre des détails charmans. Le style peu travaillé, trop facile peut-être, étincelle de traits gracieux ou piquans. Le rôle de l'auteur, moins pompeux que celui de M. de l'Empyree, est plein de verve et de chaleur. Le cinquième acte, qui rappelle celui de la Meiromanie, peint aussi les angoisses d'un pauvre auteur, au moment où le public va prononcer son arrêt : mais ici la situation est bien autrement vive et piquante. Ce n'est pas dans une maison de campagne qu'il attend son sort, c'est au foyer du théatre qu'il suit les progrès d'une représentation où les spectateurs sont tout à la fois ses acteurs, ses témoins et ses juges. Ce dénoùment original a décidé du succès de la pièce : elle n'a pas eu ce qu'on appelle un succès de vogue, parce que le sujet n'intéresse qu'une petite classe de la société; mais elle restera au théatre, à côté de la Métromanie, pour le plaisir du petit

nombre d'habitués encore sensibles à l'harmonie des beaux vers.

CHARLES DE NAVARRE, tragédie en cing actes , par M. Briffaut. (ire représentation 1er mai.)

Les intrigues de Charles de Navarre avec le prevôt des marchands Marcel, pour chasser le dauphin de Paris et y établir les Navarrois, ne sont dans cette pièce qu'au second plan. Olivier de Clisson qu'il avait attiré à son parti, et que la générosité du dauphin ramène à la cause de son roi, en est le véritable héros : il déconcerte les complots du Navarrois et de Marcel qui veut livrer la ville aux Anglais. La mort de celui-ci, l'expulsion du roi de Navarre font le dénoùment de cette tragédie, où l'on a trouvé un noble caractère, un style vigoureux, mais une action trop chargée d'inci

dens.

FRÉDÉRIC et CONRADIN, tragédie en cinq actes, par M. Liadieres, capitaine au corps-royal du génie. (ire rep. 22 avril. )

Des situations pathétiques et de beaux vers, ont soutenu quelque temps cette tragédie, qu'on peut re

garder comme l'avant-scène des l'épres siciliennes. L'auteur a supposé que Frédéric, ayant fait courir le bruit de sa mort, s'était attaché, sous le nom de Roger, à la fortune de Char les d'Anjou, dont il aime la fille, et qu'ensuite le malheur de Conradin réveillant dans son cœur le souvenir d'une ancienne amitié, il fait de vains efforts pour le sauver, et périt avec lui. De cette invention, resulte le combat que Frédéric éprouve entre l'amour qu'il a pour Constance et l'amitié qui se réveille pour Conradin.

ARTAXERCE, tragédie en cinq actes, par M. Delaville. ( 1гe représ. 25 juillet.)

Cette tragédie avait été donnée sur le théâtre de Bordeaux quelques mois après que celle de M. 'Delrieu

eut obtenu un succès éclatant au théâtre français. M. Delaville, non content des suffrages de la province, a voulu les faire confirmer par le parterre de la capitale, juge en dernier ressort des productions de l'art. On a reçu favorablement son appel. Il est inutile de s'étendre sur un sujet déjà traité par Crebillon et Lemierre, illustré par Métastase sur la scène italienne, et reporté avec plus de succès sur la scène française. M. Delaville a suivi de plus près que M. Delrieu le poëte italien; mais comme il est entré, dés le premier acte, dans son sujet, il en a plutôt épuisé l'intérêt. Cependant, l'attention du public s'est soutenue par un style élégant, facile, riche de couleur et de pensée.

disputer la palme dramatique au preAprès ces ouvrages,ˆ très-dignes de mier Théâtre Français, on ne peut que rappeler au souvenir du lecteur l'Homme poli, comédie en cinq actes de M. Merville (re rep. 8 avril ), dont le sujet, qui offre quelque analogie avec le Flatteur, n'a pas eu une fortune meilleure; et l'Homme aux précautions, par M. Desaugiers, (5 out), dont les détails spirituels et gais, n'ont pu soutenir une action faible, un caractère d'une nuance trop délicate, pour être approfondi.

En examinant le second Théâtre Français, sous le rapport de l'art scénique et de la représentation théâtrale,

on trouve qu'il n'a pas rempli-les espérances que ses premiers succes avaient fait concevoir. La tragédie, qui là, comme à la rue de Richelieu, est le goût dominant du parterre, est encore loin d'offrir cet ensemble qu'une vieille tradition donne aux plus mauvaises représentations du premier théâtre. L'emploi de Talma, partagé entre Joanny et Victor, est rempli d'une manière satisfaisante; mais il y manque encore une reine en état de tenir le sceptre de Sémiramis ou la baguette de Médée; et puisqu'il faut le dire, enfin, la troupe a toujours une odeur de province peu agréable aux gens de l'autre rive de la Seine. Hâtons-nous d'y repasser.

OPERA COMIQUE. — OPERA

BUFFA.

Voilà dix ans qu'on se plaint de la décadence de l'Opéra Comique et le caissier de ce théâtre répond tous les ans à ses détracteurs par un budget de recettes supérieures à celles des autres. (V. ci-dessus, p. 784.) De sa nature, l'Opéra Comique est un spectacle plus soumis qu'un autre aux caprices de la mode, ou, pour mieux dire, aux variations du goût. Entre toutes les pièces nouvelles représentées dans le cours de l'année à ce théâtre, on a distingué, les Voitures versées (29 avril), joli vaudeville de M. Dupaty, dont la musique (de M. Boyeldieu) est un petit chef-d'œuvre; Corisandre (juin), opéra féerie, où l'on a substitue à la folle de la Pucelle une sotte à qui l'amour donne de l'esprit; l'Amant et le Mari (8 juin), tableau piquant de la métamorphose que le mariage opère, embelli par une musique pleine d'esprit et de grâce.

Ne quittons pas l'Opéra Comique sans remarquer la révolution qui se fait depuis quelque temps dans la mu-. sique. La vieille querelle des mélodis tes et des harmonistes s'est renouvelée. Les premiers avaient remporté, en dépit du Conservatoire, une sorte d'avantage sous le bouclier de Grétry, dont les chefs-d'œuvre semblaient devoir rester au courant du répertoire, comme le type du beau idéal de l'Opéra Comique. Mais Grétry est mort, le zèle de son culte s'est refroidi, l'école allemande a fait des conquêtes, l'O

pera Buffa s'est établi solidement à
Paris. Un homme d'esprit (artiste ou
amateur), M. Castil-Blaze, a lancé
dans le public un livre (de l'opéra
en France, 2 vol. in-8°. Mai 1820),
où il a donné le signal de l'alarme aux
mélodistes: il a traité nos vieilles ad-
mirations avec le plus profond mépris;
il a soutenu que la musique "était
la partie dominante de l'opéra; que
la mélodie n'était, sans l'harmonie,
que la langue dans son enfance, et
que les opéras de Grétry, écrits dans
un style pauvre, et souvent incorrect,
étaient tous à refaire..... A ces blas-
phemes hardis, un de ceux qui avaient
soutenu la gloire de l'Opéra Comique
par de nombreux succès, M. Hoff-
mann, s'est élevé pour soutenir l'hon-
neur de son art et la prééminence de
la poésie, il a montre que le poëte
était le premier créateur de l'intérêt
dramatique et ensuite que le génie qui
inspirait Grétry dans ces airs charmans,
d'une expression si vraie, si spirituelle
et si touchante, était bien préférable
à cette science de l'harmonie qui ne
rend que des sons vagues et bizarres,
science de routine et d'école, où l'es-
prit le plus médiocre peut atteindre....
Cette querelle, soutenue dans le même
journal (des Débats), a fini comme
toutes celles où l'on veut bien s'enten-
dre et commencer par définir les ter-
mes. Les harmonistes sont convenus
qu'on ne venait pas au théâtre seule
ment pour entendre du bruit, des sons
et des accords, si délicieux qu'ils fus-
sent; que la musique devait, pour
remplir son but, toucher, émouvoir
et plaire, rendre fidèlement l'expres-
sion du caractère et des situations. Les
poëtes ont accordé que le musicien
pouvait développer dans sa langue, la
pensée qu'ils ne pouvaient qu'indiquer
dans la leur; les mélodistes ont re-
connu que l'harmonie pouvait ajouter
à l'expression d'un morceau lyriqué
peindre plus fortement l'énergie des
passions: voilà donc la paix faite jus-
qu'à nouvelle attaque.

Une influence plus puissante que ces querelles, sur le goût de la musique, a été exercée par l'établissement solide de l'Opéra-Buffa, qu'on peut désormais regarder comme naturalisé parmi nous. Quelques intrépides dilettantà faisaient naguère le fond de ce spec◄

tacle, où la mode attirait plus que l'amour de l'art. Maintenant les spectateurs n'y manquent point et le symptôme le plus assure de la progression du goût de la musique, c'est qu'on a perdu tout-à-fait le fanatisme de parti qui soutenait ou décriait aveu glement les productions de l'école allemande ou italienne. Mozart et Rossini sont en possession de la scène, mais leurs partisans ne sont point exclusifs. Le côté du roi ne déclarera point la guerre pour l'un deux au côté de la reine. Ils ont applaudi tour à tour don Giovanni et le Barbiere di Siviglia.... On peut encore disputer sur le plus ou le moins d'influence à laisser à la puissance harmonique de l'orchestre, sur la manière plus ou moins large et savante des deux conpositeurs; mais on a rendu à la science musicale le don que quelques-uns de ses aveugles partisans voulaient lui enlever on est tombé d'accord que la première condition du drame lyrique est d'exprimer, de peindre et d'émouvoir, et quoiqu'on ait affecté tant de dédain pour l'école française, peut ètre a-t-elle eu quelque influence sur cette révolution, qui tend à confondre les écoles, et qui doit enfin affranchir le génie des préjugés de nationalité.

PETITS THEATRES.

Le goût de la musique, a gagné toutes les classes. Un air à la mode passe en quinze jours des salons de la chaussée d'Antin, sur les tréteaux du boulevart. Le plus petit théâtre a son compositeur en titre, et recrute son orchestre au conservatoire. Le mélodrame, tour à tour attaqué par les armes de la raison et du ridicule, n'a conservé tant d'attraits pour le peuple (et la bonne compagnie est bien peuple en ce point ), que par le secours d'une musique qui prépare l'âme à recevoir les émotions les plus vio

lentes, à se livrer sans défense au charme des horreurs romantiques.

De cet attrait universel pour la musique, vient peu à peu la confusion de tous les genres. La critique et l'autorité veulent en vain retenir les théâtres iuférieurs dans celui qui leur est affecté : là comme dans le monde nul ne veut rester dans sa sphere. Le Vaudeville et les Variétés même, ont usurpé les droits de l'Opéra Comique. Pannard et Vadé ne s'y reconnai traient plus, et pour achever la confusion des genres, voilà qu'un nouveau théâtre les a tous affiches.

Le Gymnase dramatique (ouvert le 23 décembre, sur le boulevart poissonnière), a pour objet de former des talens que la timidité ou la difficulté de se produire sur un grand théâtre, pourraient tenir ignores. Ses premiers essais le Prologue d'ouverture, le Secrétaire et le Cuisinier, ont justifié son titre et ses prétentions. La troupe devait être composée de jeunes élèves, ou d'acteurs en réputation, débauchés à ses rivaux ou enlevés à la province, tels que mad. Perrin et Perlet. Une maladie de poitrine a sus pendu l'engagement de l'actrice qui venait de déserter le Vaudeville, et sur qui le nouveau théâtre avait fondé ses espérances; mais du moins Perlet, jeune encore, rassasié de ses succès de province, ne lui a pas manqué. Il a consolé de toutes les pertes et de tous les sacrifices. Il a fait pâlir les plus grandes renommées du vaudeville et du boulevart. Il a fixé la fortune au Gymnase. On a reconnu, tout en le voyant, dans sa physionomie vive et mobile, dans son jeu spirituel, franc et varié, dans sa verve comique, un talent appelé à de plus hautes des tinées, si toutefois il n'aime mieux être le premier dans un village que le second dans Rome, comme disait César et comme a fait Potier,

PREFACE....

pag. v
Aperçu statistique et comparatif des principales puissances, en 1820. pag. ix

PREMIÈRE PARTIE.

HISTOIRE DE FRANCE.

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-

CHAP. Ier. ÉTAT des affaires et des partis à la fin de 1819. Ouverture de la
:session législative. Discours du Roi. Vérification des pouvoirs à la
chambre des députés. Exclusion de M. Grégoire. Composition du
bureau.-Adresses des deux chambres au Roi.-Loi des six douzièmes pro-
- Pétitions sur le maintien de la charte et de la loi des élections,
écartées par l'ordre du jour. —Loi des décomptes proposée et adoptée. Pag. 1
CHAP. II. ASSASSINAT de Monseigneur le duc de Berry.-Détails sur sa mort.
·Discussion dans les deux chambres et adresses à ce sujet. — Démission de
M. le comte Decazes et changemens dans le ministère. ·Agitations publi-

visoires.

---

-

ques. Funérailles du prince

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-

-

.. 27

Discussion et adoption de la loi sur la

.

CHAP. III. Lors D'EXCEPTION
liberté individuelle.
40
CHAP. IV. SUITE DES LOIS D'EXCEPTION. - Proposition pour le rétablissement
de la censure des journaux. — Discussion et adoption de ce projet dans les
deux chambres. - Mesures relatives à l'exécution des lois d'exception. 61
CHAP. V. LOI D'ELECTIONS Substance du premier projet. Présentation
I d'un second projet. Sensation qu'il occasionne. Pétitions de l'Isère
- et du général Donnadieu, de M. Madier de Montjau.-Attentat de
Gravier. Discussion générale du second projet de la loi d'élections.
Troubles à Paris...

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Louvel.

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CHAP. VI. DISCUSSION des articles de la loi d'élections. Suite des troubles
à Paris. - Amendemens importans au projet de la loi d'élections. - Son
adoption à la chambre des députés. — Chambre des pairs. Procès de
adoption de la loi d'élections. Suite des troubles.
CHAP. VII, LOIS DE FINANCES. Règlement définitif des comptes de 1818.
- Budget des dépenses et recettes pour 1820.
Objets divers. Pétitions. Propositions faites dans les deux cham-

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. 119

bres.
163
CHAP. VIII. CHANGEMENS dans l'administration publique. - Retour des dé-
putés dans leurs départemens.

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Conspiration militaire. Naissance du
due de Bordeaux. Réjouissances. Promotions et souscriptions faites à
cette occasion. Elections, ADMINISTRATION GÉNÉRALE. Ordonnances
sur les écoles. Nouvelle organisation de l'armée en régimens. Marine.
Relations extérieures. Finances. Police et justice.—Augmentation
du ministère. Convocation et ouverture de la session de 1820-1821. 222

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Affaires générales. Congrès de Vienne. - Objets
Rédaction definitive de l'acte final. Présentation de

-

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