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XIV. Les sept têtes pour les sept

formes de gouverne

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mens. Première illusion des protestans.

xv. Incertitude des protestans, et renversement prodigieux de l'histoire dans leur systême.

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XVI. Renversement de tout le systême démontré par un seul mot de l'Apocalypse.

578

XVII. Illusion des ministres sur la courte durée de la

septième tête.

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XVIII. Réponses des ministres du Moulin et Jurieu ; et manifeste corruption du texte sacré.

XIX. Blasphême du ministre Jurieu.

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xx. Que les protestans font dire à saint Jean sur les sept gouvernemens de Rome, des choses, non-seulement peu convenables, mais encore visiblement fausses.

588 XXI. Illusion des protestans sur les dix rois qui doivent d'abord favoriser Rome, et ensuite la détruire. 591 XXII. Illusion sur l'explication du chap. XIII, et sur la seconde bête qui y est représentée. 600

XXII. Réflexion sur le nom Lateinos; et sur le nombre 666.

602

XXIV. Systême des protestans sur les douze cent soixante jours de la persécution. Démonstration que ces jours ne peuvent pas être des années comme les ministres le veulent.

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xxv. Contradiction du ministre du Moulin sur le sujet des douze cent soixante jours.

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XXVI. Plus grossière contradiction du ministre Jurieu sur le même sujet.

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XXVII. En accordant aux ministres que les jours sont des années, l'embarras ne fait qu'augmenter, et ils ne savent où placer leurs douze cent soixante jours. 612 XXVIII. Les ministres forcés d'imputer l'idolâtrie à l'Église du quatrième siècle.

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XXIX. Prodigieuse proposition du ministre Jurieu.

xxx. Réponse du ministre Jurieu.

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XXXI. Le ministre établit le commencement de l'idolâtrie dans les miracles que Dieu fait pour confondre Julien l'Apostat. 625 XXXII. Autre parole prodigieuse du même ministre. 626 XXXIII. Que les Pères que ce ministre accuse d'idolâtrie, sont, de son aveu, les plus grands théologiens de l'Eglise. G27 XXXIV. Etrange idée du christianisme dans le parti protestant.

628 xxxv. Démonstration, que de l'aveu du ministre il n'y a rien dans l'Apocalypse qui marque sa prétendue idolâtrie ecclésiastique, quoique rien ne s'y dût trouver davantage selon ses principes.

631 XXXVI. Examen d'un passage de saint Paul, où le ministre prétend trouver, après Joseph Mède, son idolâtrie régnante dans l'Eglise. xxxvi. Le ministre entraîné dans ses excès par le désespoir de sa cause.

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XXXVIII. La conformité que les protestans ont imaginée entre la théologie et le culte des Pères du premier siècle et les païens, détruite par les principes. 641 XXXIX. Que l'interprétation des protestans brouille toutes les idées de l'Apocalypse, et ne discerne ni les idolâtres, ni les saints dont parle saint Jean. 642 XL. Vaines interprétations du chap. xvi. XLI. Sur le commandement de sortir de Babylone : qu'on ne sait ce que veut dire ce commandement, selon l'idée des protestans.

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646

XLII. Question, si les protestans rebutés de l'absurdité du

systême

systême de Joseph Mède et de M. Jurieu, en peúvent forger un autre plus soutenable.

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XLIII. Conclusion de ce qui regarde le chap. xvun de l'Apocalypse.

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XLIV. Si les protestans peuvent admettre une double

chute de Rome.

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XLV. Prédiction de saint Paul. II. Thess. 11.

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XLVI. Deux circonstances de la venue de l'Antechrist,

marquées par l'Apôtre.

657

Ibid.

XLVII. La première, mal expliquée par les protestans.

658

XLVIII. La seconde, également mal entendue. XLIX. En accordant aux protestans tout ce qu'ils demandent, ils ne concluent rien de cette parole de saint Paul: Celui qui tient.

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L. S'il y a quelque avantage à tirer des Pères qui font venir l'Antechrist et le jugement à la chute de l'empire romain.

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LI. Que le sentiment des Pères est directement contraire au systême protestant, en ce qu'ils reconnoissent l'Antechrist pour un seul homme.

665

LII. Que les protestans ne s'accordent ni avec les Pères, ni avec saint Paul, ni avec eux-mêmes.

667

LIII. Froideur des allégories des protestans.

674

LIV. Ce que l'on peut dire de certain de l'Antechrist.

678

68

LV. Que le méchant de saint Paul ne peut être aucune des bêtes de saint Jean, et qu'il n'y a de rapport entre saint Paul et l'Apocalypse, que dans le chap. XX de cette dernière prophétie. LVI. Qu'il y a, selon le ministre, un autre Antechrist, à qui, malgré qu'il en ait, les paroles de saint Paul conviennent mieux.

BOSSUET. III.

683

51

LVII. Promesse de l'auteur sur Daniel. L'explication de saint Paul, I. Tim. IV. 1. déjà donnée. Conclusion de la seconde partie de cet Avertissement. Page 684 LVIII. Les protestans toujours trompés par leurs prophètes.

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LIX. Ridicules interprétations de du Moulin. Pourquoi il s'arrête à l'année 1689.

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LX. Raisonnement de du Moulin improuvé par M. Jurieu. 694 LXI. Comment M. Jurieu a tâché de revenir à l'interprétation de son aïeul, après l'avoir méprisée. 700 RECAPITULATION, éclaircissement, et confirmation de toutes nos preuves, et de tout cet ouvrage sur l'Apocalypse. 707 LXII. Pourquoi cette récapitulation; ce qu'il y faudra observer.

Ibid.

LXIII. Première démonstration: que la destruction de la prostituée aux chap. XVII, XVIII et XIX de l'Apocalypse, par les principes des protestans, est une chose accomplie; et ainsi qu'on y cherche en vain la chute future de la papauté.

708 LXIV. Seconde démonstration du chap. XVII. Preuve par les protestans que l'Eglise romaine est la vraie Eglise.

711

LXV. Troisième démonstration, en ce que la Babylone, la bête, et la prostituée de saint Jean ne peut pas être une Eglise corrompue. 714 LXVI. Que le ministre Jurieu a senti la force de cette démonstration, et par là le foible de sa cause. 716 LXVII. Nouvelle réflexion sur la preuve précédente, et confirmation de cette preuve. LXVIII. Quatrième démonstration par les principes généraux. Les persécutions de l'Apocalypse très-courtes

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de temps

selon saint Jean. Ce que c'est que le peu des ministres, qui dure douze cent soixante ans. Illusion des jours prophétiques. Confusion, absurdité et impiété manifeste. Page 718 LXIX. Que les protestans ne se sauvent pas en prenant un autre systême que M. Jurieu. LXX. Cinquième et dernière démonstration, par les principes généraux.

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731 LXXI. Quels saints et quels martyrs les protestans ont trouvés dans l'Apocalypse, et qu'à la fin ils sont obligés de les dégrader. Passage exprès du ministre Jurieu.

735 LXXII. Preuves tirées des chapitres particuliers. Abrégé de celles du chap. XI où l'on commence à comparer notre systême avec celui des protestans. Illusion pitoyable du ministre Jurieu sur les deux témoins. 736 LXXIII. Abrégé des preuves du chap. XII. Confirmation. convaincante de celle qui détruit les douze cent soixante ans. Le systême protestant se dément de tous côtés.

740 LXXIV. La bête aux sept têtes et aux dix cornes, et les sept formes de gouvernement ruinées par de nouvelles remarques. 742 LXXV. Suite du chap. XIII. La bête qui meurt et qui revit, n'a point de sens chez les protestans. 748 LXXVI. Autre inconvénient du systême. Il faut trouver au chap. XIII pour une troisième fois les douze cent soixante ans.

749 LXXVII. Suite du même chapitre. La seconde bête. Dix

caractères exclusifs du pape. Deux défauts sur le nombre de six cent soixante ans.

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LXXVIII. Les chap. XIV, XV, XVI.

755

LXXIX. La fin du chap. XVII avec les suites, où le sys

tême protestant se dément le plus.

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