Œuvres complètes, revues par J. Assézat (et M. Tourneux).1875 |
Expressions et termes fréquents
allez âme aurait avez baisait bras Brière c'était Caen Carite Carlière cellule chant chère mère chose clavecin cœur crois demande Desroches Diderot Dieu dire dis-je disait enfant Épidaure est-ce état êtes étole eût Félix femme fille Gardeil genoux gens Goethe goût Grimm homme honnête indis j'ai j'allais j'avais j'en j'étais Jacques le Fataliste jamais jette jeune jour l'abbé laisse larmes lettre Longchamp m'avait m'en madame mademoiselle Madin main maison malheureux Manouri MARQUIS DE CROISMARE ment mieux monde monsieur musique n'avait n'en Naigeon Neveu de Rameau nuit ouvrage Palissot parler passer peine pense père Bouin personne peut-être philosophe Pisistrate pleurer poëme poëte Polydore porte pouvait PRIEUR quelquefois regarder religieuse répondit reste Richardson rien s'il Saint-Geniès Saint-Lambert Sainte-Suzanne Sainte-Thérèse sais saurais sentiments sera seule Simonin sœur Suzanne sort Stérope supérieure talent Térence tête Thémisto traduction trouve Villemorien visage voilà voix Voltaire vrai yeux ΜΟΙ
Fréquemment cités
Page 383 - que font assaut le Légal profond, Philidor le subtil, le solide Mayot; qu'on voit les coups les plus surprenants et qu'on entend les plus mauvais propos; car si l'on peut être homme d'esprit et grand joueur d'échecs comme Légal, on peut être aussi un grand joueur d'échecs et un sot comme Foubert et Mayot*. Une
Page 192 - à notre infortunée, et sur quelque prudence que je tiens de l'expérience. La joie que votre dernière lettre lui a causée, lui a donné un petit mouvement dans le pouls ; mais ce ne sera rien. J'ai l'honneur d'être, avec les sentiments les plus respectueux, monsieur, votre très-humble et très-obéissante servante, Signé
Page 478 - de Mercure et considérant les différentes pantomimes de l'espèce humaine. LUI. Non, non, vous dis-je, je suis trop lourd pour m'élever si haut. J'abandonne aux outres* le séjour des brouillards, je vais terre à terre. Je regarde autour de moi, et je prends mes positions, ou je m'amuse des positions que je vois prendre
Page 216 - enchanteurs, lorsque vous aurez quelques devoirs à remplir. Qui est-ce qui a lu les ouvrages de Richardson sans désirer de connaître cet homme, de l'avoir pour frère ou pour ami? Qui est-ce qui ne lui a pas souhaité toutes sortes de bénédictions? O Richardson, Richardson, homme unique à mes yeux, tu seras ma lecture dans tous les temps! Forcé par des
Page 481 - Mais il me faut un bon lit, une bonne table, un vêtement frais en été, du repos, de l'argent et beaucoup d'autres choses, que je préfère de devoir à la bienveillance, plutôt que de les acquérir par le travail. MOI. C'est que vous êtes un fainéant, un gourmand, un lâche, une âme de boue.
Page 360 - OEuvres complètes de Diderot, j'ai rempli le vœu formé par vousmême en comprenant dans mon édition le Neveu de Rameau. Cet ouvrage n'est pas encore publié. La traduction allemande que vous avez donnée de cet ouvrage remarquable est si fidèle, me disait encore, il ya quelques jours, le fils de M.
Page 212 - sans ordre, à mesure qu'elles m'étaient inspirées dans le tumulte de mon cœur. Mais à travers le désordre et la négligence aimable d'un pinceau qui s'abandonne, on reconnaît aisément la main sûre et savante d'un grand peintre. La flamme du génie brillait sur son front, lorsqu'il a peint l'envie cruelle poursuivant l'homme
Page 461 - et les autres; à force de lire le Métastase, il faudra bien qu'ils y viennent. MOI. Quoi donc! est-ce que Quinault, La Motte, Fontenelle n'y ont rien entendu? LUI. Non, pour le nouveau style. Il n'ya pas six vers de suite dans tous leurs charmants poèmes qu'on puisse musiquer. Ce sont des sentences ingénieuses, des madrigaux légers,
Page 480 - MOI. Sans doute. LUI. Aux dépens de qui? MOI. De la nature. A qui s'adresse le sauvage? à la terre, aux. animaux, aux poissons, aux arbres, aux herbes, aux racines, aux ruisseaux. Mauvaise table. Elle est grande. Mais mal servie. LUI. MOI. LUI. MOI. C'est pourtant celle qu'on dessert pour couvrir les nôtres
Page 278 - entières et solides qu'entre des hommes qui n'ont rien. Un homme alors est toute la fortune de son ami, et son ami est toute la sienne. De là la vérité de l'expérience, que le malheur resserre les liens ; et la matière d'un petit paragraphe de plus pour la première édition du livre de