Mémoires de Baber (Zahir-Ed-Din-Mohammed): tr. pour la première fois sur le texte djagataï, Volume 2Maisonneuve & cie, 1871 |
Autres éditions - Tout afficher
Mémoires de Baber (Zahir-Ed-Din-Mohammed): tr. pour la première ..., Volume 2 Babur (Emperor of Hindustan) Affichage du livre entier - 1871 |
Mémoires de Baber (Zahir-Ed-Din-Mohammed): tr. pour la première ..., Volume 2 Babur (Emperor of Hindustan) Affichage d'extraits - 1871 |
Mémoires de Baber (Zahir-Ed-Din-Mohammed): tr. pour la première ..., Volume 2 Babur (Emperor of Hindustan) Affichage d'extraits - 1871 |
Expressions et termes fréquents
Afgans Agra Argoun arriva Askeri avaient Badjour Bahar Balkh bateau begs Behreh Bengal Biana Biban boire bord camp Châh Châh-Beg chariots Cheïkh côté décagone décampai Dehli Dieu dimanche Djelma Djumna Doulpour éléphants émirs envoyé Euzbegs fils fimes fis halte fleuve frère cadet Gange gheri Goualiar Herat hommes d'armes Humaïoun infi infidèles j'allai j'avais j'envoyai j'étais j'ordonnai jardin jeudi jour Kaboul Kachgar Kalpi Kâmrân Kandahår Karlouk Khalifeh Khan Khodja Khodja-Kelân Koran kror kurouh l'aile gauche l'armée l'ennemi l'Hindoustân Lahor lendemain matin lundi marche mardi Mehdi-Khodja Meouat mercredi Mevlâna midi mille hommes Mirza mis pied Mohammed Mongols montagnes montai à cheval nuit pâdichâh pahar pargana passé personne pied à terre porte le texte présenter ses hommages prière du coucher pris un ma'djoun Rana-Sanka reste rhinocéros route s'était Samarkand samedi Serou Sirhind soldats Sultan Sultan-Ibrahim Sunbul Tchanderi tenga tête traversai la rivière troupes trouve Turks vendredi version persane vint
Fréquemment cités
Page 458 - J'assume sur moi tout ce que tu souffres. » Au même instant je me sentis tout alourdi tandis que lui se trouvait léger et dispos. Il se leva en pleine santé, et moi je m'affaissai, accablé de malaise.
Page 44 - LJuv».) ly^j ^M».)b^ ji^Uy les femmes ont la manière suivante de consulter le sort quand elles veulent savoir si elles auront un fils ou une fille : elles prennent deux morceaux de papier; sur l'un elles écrivent Ali ou Haçan, sur l'autre Fatime. Puis ••Iles les placent dans deux boules de limon, qu'elles mettent dans une coupe d'eau.
Page 387 - J^tf ^*- en outre, le réservoir du petit Kaboul qui se relie aux eaux de Butkhâk, là où le défilé débouche dans la direction du petit Kaboul. cL lier, attacher. cL» espèce de petite guitare à trois cordes.
Page 386 - Kâmrân dans des lettres qu'il faudra leur faire parvenir par un homme de confiance. Déjà, précédemment, je leur avais écrit dans le même sens comme tu l'as peut-être su. Dorénavant il ne restera plus rien qui puisse expliquer le défaut d'organisation de ce pays et le manque de développement de ses ressources. Si l'ordre ne règne pas dans...
Page 292 - Les héros des troupes musulmanes, pareils aux arbres qui croissent dans les jardins de la vaillance, se sont alignés comme des rangées de pins, et ont élevé jusqu'aux hauteurs les plus sublimes les pointes de leurs casques aux fières allures, aux rayons lumineux comme les cœurs de ceux qui combattent dans la voie de Dieu.
Page 159 - B. 34 1. /<>J ^«xJ^j (j\"J* jl il fut prescrit d'attacher les unes aux autres les voitures, à la manière des peuples de Roum, en y suspendant, au lieu de chaînes, des cordes de peau de bœuf. — Id. 445. 4)— « y^»)-^-*--
Page 198 - Jjt j' quoique la caille ne soit pas un oiseau particulier à l'Inde, il y en a cependant quatre ou cinq espèces qui lui sont propres. Il ya d'abord la caille qui visite nos pays et qui est plus grande que la caille ordinaire. Il y en a une autre qui fréquente ces contrées, mais qui est d'une taille plus petite. Ses ailes et sa queue sont d'une nuance plus rouge. Cette espèce vole en troupes comnic le tcliir.
Page 128 - Les habitants souffraient beaucoup d'une maladie appelee nouçia, littéralement « fluxion »; je crois que cela signifie « rhume »; ils disent que c'est un écoulement par les narines, lequel endommage le cerveau et les ressorts du corps, et a une terminaison funeste.
Page 364 - Ceci est peut-être vrai quand on parle des écrivains persans ou ottomans, mais est complètement faux quand il s'agit des Turks Tatares. Bâber écrit à son fils : « Applique-toi à écrire naturellement, en termes clairs et « simples ; la difficulté en sera moins grande pour toi, « comme pour ceux qui seront chargés de te lire ». Veut-il faire l'éloge d'un écrivain contemporain? Il dira de lui : « II est comme l'inventeur de l'art de dire beaucoup de a.