La littérature française au dix-neuvième siècleHachette et cie, 1882 |
Expressions et termes fréquents
2e édit admirable aime âme amour André Chénier antique Atala avaient beauté Benjamin Constant Boileau c'était chant charme Chateaubriand chose chrétien classique cœur Corneille créé critique culte Delille Diderot Dieu dire drame romantique Ducis écrivains époque esprit FARHAN femme fille française Génie du christianisme genre gloire goût héros Homère hommes idées j'ai jamais jeune jour l'âme l'amour l'antiquité l'art l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'œuvre Lamartine liberté littéraire littérature Louis XIV mélancolie ment Mercier Mme de Staël mœurs monde morale mort moyen âge Napoléon Napoléon Ier nationale nature nouvelle œuvres Ossian passé passion patrie père personnages peuple philosophie pièce poème poésie poète dramatique politique premier public Racine ravi religieux religion reste Révolution rien Sainte-Beuve sais scène Sedaine sentiments sera seul Shakespeare société sublime sujet surtout théâtre tion tique traduit de l'anglais tragédie transforme vérité Victor Hugo voici voilà Voltaire XIXe siècle xvIIe siècle xvme siècle yeux
Fréquemment cités
Page 173 - La lune prêta son pâle flambeau à cette veillée funèbre. Elle se leva au milieu de la nuit comme une blanche vestale qui vient pleurer sur le cercueil d'une compagne. Bientôt elle répandit dans les bois ce grand secret de mélancolie qu'elle aime à raconter aux vieux chênes et aux rivages antiques des mers.
Page 61 - pour changer toutes choses! Nature au front serein, comme vous oubliez, Et comme vous brisez dans vos métamorphoses Le fil mystérieux où nos cœurs sont liés ! ! etc., etc. Cette même note, si éloquente, si poétique. on la retrouverait chez le plus léger, le plus citadin de nos poètes, chez A. de Musset.
Page 139 - gouvernent, et quels sont en particulier nos devoirs envers Napoléon I er , notre empereur? Réponse. —• Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon !«', notre empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de
Page 139 - notre empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de son empire et de son trône. — Nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de
Page 163 - élevée. Je vous donne un conseil qu'à peine je reçoi. Du coup qui vous attend vous mourrez moins que moi. Montrez en expirant de qui vous êtes née. Faites rougir les dieux qui vous ont condamnée. Allez, et que les Grecs qui vont vous immoler Reconnaissent mon sang en le voyant couler.
Page 231 - le silence que vous avez gardé à l'égard de l'Empereur dans votre dernier ouvrage; ce serait une erreur : il ne pouvait y trouver de place qui fût digne de lui; mais votre exil est une conséquence naturelle de la marche que vous suivez constamment depuis plusieurs années. Il m'a paru que l'air de ce pays-ci ne
Page 61 - Que deux êtres mortels échangèrent sur terre, Ce fut au pied d'un arbre effeuillé par les vents, Sur un roc en poussière. •Ils prirent à témoin de leur joie éphémère Un ciel toujours voilé qui change à tout moment, Et des astres sans nom que leur propre lumière Dévore incessamment! Ainsi, d'une
Page 225 - siècle ; elle était même bannie par le législateur : De la foi d'un chrétien les mystères terribles D'ornements égayés ne sont pas susceptibles. M. de Chateaubriand essaya de l'y introduire après coup. Il inventa
Page 95 - connaître Mille de mes larcins qu'il ignore peut-être. Mon doigt sur mon manteau lui dévoile à l'instant La couture invisible et qui va serpentant Pour joindre à mon étoffe une pourpre étrangère. Je lui montrerais l'art ignoré du vulgaire De séparer aux yeux, en suivant leur lien, Tous ces métaux
Page 260 - les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible. Le classicisme, au contraire, leur présente la littérature qui donnait le plus grand plaisir possible à leurs