XXI. Catéchisme des Prétendus Réformés de France. Page 465 XXII. Suite, où l'embarras paroît. L'Eglise du Symbole à la fin reconnue pour visible. 466 XXIII. Sentiment de Calvin. 467 XXIV. Confession de foi des Calvinistes de France. 468 XXV. Suite, où la perpétuelle visibilité est toujours manifeste ment supposée. 469 XXVI. L'Eglise romaine excluse du titre de vraie Eglise par l'article xxvi de la Confession de France. XXVII. L'article xxx, où l'interruption du ministère, et la cessation de l'Eglise visible est reconnue. XXVIII. Embarras dans les synodes de Gap et de la Rochelle, sur ce que l'Eglise invisible avoit été oubliée dans la Confession. 471 XXIX. Vaine subtilité du ministre Claude pour éluder ces synodes. Ibid. 470 XXX. Décision mémorable, à laquelle on ne se tient pas synode de Gap, our la vocation extraordinaire. XXXI. Les ministres éludent le décret de la vocation extraordinaire. 473 du Ibid. 474 XXXII. La vocation extraordinaire, posée dans la Confession, et dans deux synodes nationaux, est abandonnée. XXXIII. Etat présent de la controverse de l'Eglise combien important. 475 476 XXXIV. On ne nous conteste plus la visibilité de l'Eglise. Ibid. 478 Ibid. XXXVIII. Comment la société des fidèles est visible selon ce ministre. 479 XXXIX. Avant la réformation les élus de Dieu sauvés dans la communion et sous le ministère romain. Ibid. XL. Ce ministre n'a pas eu recours aux Albigeois, etc. 480 Ibid. barras. 481 XLIII. Selon les principes du ministre, tout est dans l'Eglise ro maine en son entier par rapport au salut éternel. XLIV. Nulle différence entre nos pères et nous. 482 483 XLV. Fausseté avancée par le ministre Claude, qu'on pouvoit être dans la communion romaine sans communiquer à ses XLVI. Fait constant, qu'avant la Réformation la doctrine qu'on y enseignoit étoit inconnue. XLVII. Si le prompt succès de Luther prouve qu'on pensoit comme lui avant ses disputes. XLVIII. Absurdité de la supposition du ministre Claude sur XLIX. Ce ministre varie sur ce qu'il a dit de la visibilité de l'E- LI. Il établit le salut dans toutes les communions. LII. Histoire de cette opinion, à commencer par les Sociniens. LXI. Que la communion sous une espèce contient, selon les mi- LXII. Les excès de la Conf. de foi adoucis en notre faveur. 502 LXIII. Que les deux marques de la vraie Eglise, que donnent les Protestans, sont suffisamment parmi nous. LXIV. La Confession de foi n'a plus d'autorité parmi les mi- LXVI. Contrariété manifeste entre les idées du ministre sur l'excommunication, et celles de son Eglise. Page 505 LXVII. Les Conf. de foi sont des conventions arbitraires. 507 LXVIII. L'indépendantisme établi contre le décret de Charen ton. 508 LXIX. Toute l'autorité et la subordination des Eglises dépend des princes. 510 LXXI. Témérité du ministre, qui avoue que son systême est contraire à la foi de tous les siècles. 512 LXXII. Le ministre se contredit en mettant dans son sentiment le concile de Nicée. 514 LXXIII. Le ministre est condamné par les Symb. qu'il reçoit. 516 LXXIV. Le ministre tâche d'affoiblir l'autorité du Symbole des apôtres. 517 LXXV. Nouvelle glose du ministre sur le Symbole des apôtres. Ibid. 518 LXXVI. Le ministre détruit l'idée de l'Eglise catholique, qu'il a lui-même enseignée en faisant le Catéchisme. LXXVII. Le schisme de Jéroboam et des dix tribus est justifié. 519 LXXVIII. L'Eglise du temps des apôtres est accusée de schisme et d'hérésie. 520 LXXIX. Que selon le ministre on se peut sauver jusque dans la communion des Sociniens. 5123 521 LXXX. Par les principes du ministre on pourroit être sauvé dans la communion extérieure des Mahometans et des Juifs. LXXXI. La suite que le ministre donne à sa religion, lui est commune avec toutes les hérésies. LXXXII. Le ministre dit en même temps le pour et le contre sur la perpétuelle visibilité de l'Eglise. LXXXIII. Distinction vaine entre les erreurs. LXXXIV. Un seul mot détruit ces subtilités. 525 527 530 53a LXXXV. Etrange manière de sauver les promesses de J. C. Ibid. LXXXIX. Que cette règle, selon le ministre, est sûre, claire et suffisante, et que la foi qu'elle produit n'est pas aveugle ni dé- XC. Qu'on ne peut plus nous objecter que suivre l'autorité de l'Eglise, c'est suivre les hommes. XCI. Que l'idée que le ministre se forme de l'Eglise universelle, Ibid. XCII. Que le ministre condamne son Eglise par les caractères XCIII. Que tous les moyens du ministre pour défendre ses Eglises leur sont communs avec celles des Sociniens et des autres sec- XCVII. Le Catholique est le seul qui croit aux promesses. Ibid. XCVIII. Que le ministre ne peut plus nier l'infaillibilité qu'il a XCIX. L'infaillibilité des conciles universels est une suite de l'in- faillibilité de l'Eglise. Ibid. CI. Pouvoir excessif et monstrueux donné par le ministre aux re- Ibid. CII. Le concile de Nicée formé contre les principes du ministre. 547 CV. Le ministre contraint d'ôter aux pasteurs le titre de juges Ibid. CX. Etrange parole du ministre, qui veut qu'on sacrifie la vé rité à la paix. Page 552 CXI. La Confession de foi toujours remise en question dans tous les synodes. 554 CXII. La foible constitution de la Réforme oblige enfin les ministres à changer leur dogme principal, qui est la nécessité de l'Ecriture. CXIII. Ce n'est plus sur l'Ecriture qu'on forme sa foi. 555 556 CXIV. Le peuple n'a plus besoin de discerner les livres apo cryphes d'avec les canoniques. CXV. Importance de ce changement. CXVI. Fanatisme manifeste. Ibid. 557 558 CXVII. Ni les miracles, ni les prophéties, ni les Ecritures, ni la tradition ne sont nécessaires pour autoriser et déclarer la révélation. Ibid. CXVIII. La grâce nécessaire à produire la foi, pourquoi attachée à certains moyens extérieurs et de fait. 559 CXIX. Que le langage des ministres lâche la bride à la licence du peuple. 560 CXX. Langage de l'Eglise catholique sur l'établissement des pasteurs. 561 CXXI. Langage de la Réforme. 562 CXXII. Que les sectes nées de la Réforme sont des preuves de sa mauvaise constitution. Comparaison de l'ancienne Eglise mal alléguée. 564 CXXIII. Les Sociniens unis aux Anabaptistes, et les uns comme les autres sortis de Luther et de Calvin. 566 CXXIV. La constitution de la Réforme combien dissemblable à celle de l'ancienne Eglise. 568 CXXV. Exemple mémorable de variation dans l'Eglise protestante de Strasbourg. 569 CXXVI. Constance de l'Eglise catholique. 573 CXXVII. Exemple dans la question que mut Bérenger sur la présence réelle. Ibid. CXXVIII. Conduite de l'Eglise envers les novateurs. CXXIX. Commencement de la secte de Bérenger, et sa condamnation. Ibid. 573 CXXX. Première Confession de foi exigée de Bérenger. Ibid. CXXXI. Seconde Confession de foi de Bérenger, où le change ment de substance est plus clairement expliqué et pourquoi. 5-5 |