Oeuvres primitives de Fréderic II, roi de Prusse; ou, Collection des ouvrages qu'il publia pendant son règne, Volumes 20 à 21Aux dépens des associés, 1805 |
Expressions et termes fréquents
affez affure afile ainfi au-lieu auffi auroit avez avoit befoin bontés bufte c'eft c'eſt caufe chofes conferver confolation connoiffances crois d'Alembert d'Étallonde daigne défire Dieu digne dire efprit eſpèce eſt étoit fage faint fais fans doute fanté favez favoir fe font fe trouve felon femble fens fentimens fentiment fera feroit fervir feul fiècle flatte fociété foit fommes fottifes fouhaite fous fouvent fouverains fuis fujet fuperftition fur-tout géomètre gloire guerre hommes j'ai J'ofe jéfuites jufqu'à jufte juftice l'efprit l'Europe l'honneur laiffer LETTRE liberté loix long-temps Louis XIV m'eft m'en ment mieux monde Monfieur Morival n'eft n'eſt néceffaire ouvrage paffé paffions parler paroît patriarche de Ferney pays de Gex penfe penſe perfonne perfuadé peuple philofophe plaifir poffible Pologne Potsdam préfent prince profond refpect propofer Pruffe puiffe raifon reconnoiffance reffemble refte réponſe Ruffie s'eft Sans-Souci ſes Siléfie Sire Suiffe talens tion Vale Velches Voilà Voltaire
Fréquemment cités
Page 286 - J'ai reçu la brochure d'un sage, d'un philosophe, d'un citoyen zélé, qui éclaire modestement le gouvernement sur les défauts des lois de sa patrie, et qui démontre la nécessité de les réformer. Cet ouvrage mérite d'être approuvé par tout le monde. En fait d'équité naturelle et de droite raison, il n'ya qu'un sentiment, qui est celui de la vérité, lequel vous avez lumineusement démontré. Pourquoi ne le suivra-t-on pas?
Page 238 - Il ya quelque chose de si lâche à calomnier les morts, il ya tant d'indignité à noircir la mémoire des hommes de mérite, il ya quelque chose...
Page 74 - Humain, généreux, équitable, Un roi digne de vos autels : Mais , à la place de Socrate , Le fameux vainqueur de l'Euphrate Sera le dernier des mortels.
Page 278 - Bohême, ce qui aurait été contraire aux principes fondamentaux du gouvernement. Toutes ces raisons valables m'ont fait le paladin de cet ordre. Et j'ai...
Page 268 - Nous avons beaucoup parlé de votre pantocratrice', de ses lois et des grandes mesures qu'elle prend pour civiliser sa nation. Grimm est devenu colonel; je vous en avertis pour ne pas omettre ce titre, qui de philosophe l'a rendu militaire. Apparemment que nous entendrons parler de ses hauts faits d'armes en Crimée, si le délire porte les Turcs à déclarer la guerre à l'impératrice.
Page 172 - Nos Allemands ont l'ambition de jouir à leur tour des avantages des beaux arts : ils s'efforcent d'égaler Athènes, Rome, Florence et Paris. Quelque amour que j'aie pour ma patrie , je ne saurais dire qu'ils réussissent jusqu'ici : deux choses leur manquent, la langue et le goût.
Page 47 - Les apparences sont trompeuses, et le public ne juge que par elles. Ce que je vous dis est aussi...
Page 146 - ... entière. Les philosophes qui ouvrent la main trop brusquement sont des fous; on leur coupe le poing et voilà tout ce qu'ils y gagnent : mais ceux qui la tiennent fermée absolument, ne font pas pour l'humanité ce qu'ils doivent. Les occupations de...
Page 75 - Je fuis perfuadé , comme je vous l'ai déjà écrit , qu'on n'obtiendra rien en fa faveur. Mais enfin il vous verra : il pourra apprendre l'exercice pruffien à la garnifon, françaife que vous ferez mettre à Verfoy.
Page 199 - Majesté de ténèbres en ténèbres, puisque j'ai l'honneur d'y être enfoncé avec elle jusqu'au cou, et même par-dessus la tête, et je viens à la question de la liberté. Sur cette question, sire, il me semble que dans le fond je suis d'accord avec Votre Majesté.