Les légistes: leur influence politique et religieuseéditeur non identifié, 1863 - 598 pages |
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Les Légistes, leur influence politique et religieuse Jean Baptiste Victor Coquille Affichage du livre entier - 1863 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 377 - La propriété est le droit de jouir et disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 548 - Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. Toute expression outrageante, terme de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure.
Page 556 - Les dispositions entre-vifs ou par testament, au profit des hospices, des pauvres d'une commune ou d'établissements d'utilité publique, n'auront leur effet qu'autant qu'elles seront autorisées par une ordonnance impériale.
Page 387 - Ce n'est que sur son propre individu, ce n'est que sur le travail de ses mains, sur la cabane qu'il a construite, sur l'animal qu'il a abattu, sur le terrain qu'il a cultivé, ou plutôt sur la culture même et sur son produit, que l'homme de la nature peut avoir un vrai privilège.
Page 414 - ... est mal assise; il est respecté quand la liberté civile a , dans la société , la place qui lui appartient. La propriété étant la légitime conquête de la liberté de l'homme sur la matière , et le testament étant la plus énergique expression de la liberté du propriétaire , il s'ensuit que , tant est la liberté civile dans un État , tant y est le testament.
Page 578 - C'est pourquoi, de même que par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort est passée à tous les hommes, parce que tous ont péché *... 1v Car jusqu'à la Loi il v avait le péché dans le monde.
Page 540 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 403 - ... bien servi. Nous avons été principalement guidé par la grande pensée de consolider l'ordre social et notre trône qui en est le fondement et la base, et de donner des centres de correspondance et d'appui à ce grand empire ; elle se rattache à nos pensées les plus chères, à celle à laquelle nous avons dévoué notre vie entière, la grandeur et la prospérité de nos peuples.
Page 313 - Cependant c'est une belle chose de voir le compère Cardeur et le menuisier Gaillard avec la robe rouge, comme un président, donner des arrêts et aller les premiers à l'offrande. Vous ne voyez pas cela à Paris.
Page 117 - Notre civilisation ordinaire n'offre aucun moyen d'anéantir « une pareille décision ; il faut donc que la main du souverain « intervienne. Le souverain est la loi suprême et toujours « vivante ; c'est le propre de la souveraineté de renfermer « en soi tous les pouvoirs nécessaires pour assurer le bien, « pour prévenir ou réparer le mal.