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" ... point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. "
Oeuvres de Montesquieu - Page 75
de Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822
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Lettres persanes, Volume 1

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1731 - 320 pages
...voir s'il refteroit encore dans ma phyfionomie quelque chofe d'admirable. Cet effai me fitconnoître ce que je valois réellement: libre de tous les ornemens étrangers, je me vis appretiç au pins jufte : j'eus L 2 fujec 124 LETTRES fnjct de me plaindre de mon Tailleur , qui m'avoir...
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Lettres persanes, Volumes 1 à 3

Charles de Secondat, baron de Montesquieu - 1735 - 616 pages
...l'Européenne , pour voir s'il refteroit encore dans ma phyfionomie quelque cbofe d'admirable. Cet eflai me fit connoître ce que je valois réellement : libre de tous les ornemens étrangers , je me vis apretie au pius juûe : j'eus fujet de me plaindre de moa tailleur ,qui m'am'avoit fait perdre en un...
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Lettres persanes

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1758 - 470 pages
...l'europésnne , pour voir s'il refteroit encore , dans ma phyfionomie , quelque chofe d'admirable. Cet eflai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre...ornemens étran•gers , je me vis apprécié au plus jufte. J'eus lu jet de me plaindre de mon tailleur , qui »n'avoit fait perdre ,en un inftant, l'attention...
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Œuvres de Monsieur de Montesquieu,.: Les Lettres persanes. Les ...

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1767 - 764 pages
...l'Européenne, pourvoir s'il refteïoit encore , dans ma phyfionomie, quelque chofe d'admirable. Cet eflai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornemens étrangers 3 je me vis apprécié au TOME III. " I LETTRES PERSANES; plus jufte. J'eus fujet de me plaindre de...
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Œuvres de Monsieur de Montesquieu: Lettres persanes. Considérations sur les ...

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1771 - 694 pages
...l'Européenne , pour voir s'il refteroit encore , dans ma phyfionomie , quelque chofe d'admirable. Cet efi*ài me fit connoître ce que je valois réellement. Libre...ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus jufte. Teus fujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre . en un inftant , l'attention...
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Oeuvres, Volume 3

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu (baron de la Brède) - 1771 - 688 pages
...l'Européenne , pour voir s'il refteroit encore , dans ma phyfionomie , quelque chofe d'admirable. Cet effai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre...ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus jufte. J'eus fujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre , en un in (tant , l'attention...
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Oeuvres, Volume 4

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 506 pages
...je ne me serois jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville , où je n'étois point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan , et à en endosser un à l'Européenne, pourvoir s'il resteroit encore , dans ma physionomie, quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connoître...
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Lettres persanes

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...moi, je ne me serois jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville on je n'etois point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit...connoître ce que je valois réellement. Libre de tous ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur,...
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Oeuvres, Volume 2

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...plus tolerans de tous les Mahometans, .J je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit...en endosser un à l'européenne , pour voir 's'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai nie fit connaître ce que...
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Grandeur et décadence des romains. Lettres persanes

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...moi, je ne me serois jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étois point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit...s'il resteroit encore dans ma physionomie quelque chos« d'admirable. Cet essai me fit connoître ce que je valois réellement. Libre de tous les ornements...
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