 | Louis de Rouvroy de Saint-Simon - 1791 - 616 pages
...répondoient dans la même proportion, avec une aisance qui en donnoit aux autres , et cet air et ce bon goût qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure compagnie et du grand monde, qui se trouvoit répandu de soi-même dans toutes ses conversations ; avec cela il avoit une éloquence naturelle,... | |
 | Francois de Salignac de La Mothe Fénelon (archevêque de Cambrai) - 1800 - 292 pages
...meilleure compagnie, et qui se répanfiait comme de lui-même dans toutes ses conversations, et cela avec une éloquence naturelle , douce , fleurie ; une politesse...proportionnée ; une élocution facile , nette, agréable ; un Ion de clarté et de précision pour se faireentendre , même en traitant les matières les plus embarrassées;... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1809 - 304 pages
...meilleure compagnie, et qui se répandoitcomme de lui-même dans toutes ses conversations, et cela avec une éloquence naturelle , douce, fleurie ; une politesse...proportionnée ; une élocution facile , nette, agréable ; un .ton de clarté et de précision pour se faire entendre , même en traitant les matières les plus... | |
 | cardinal Louis-François de Bausset, Louis François de Bausset - 1809 - 646 pages
...indéfinissable de sa physionomie, avec une » aisance qui en donnait aux autres ; cet air » et ce bon goût, qu'on ne tient que de l'usage » de la meilleure compagnie et du grandmonde, » qui se trouvait répandu de soi-même dans » toutes ses conversations. » ( i ) Mémoires... | |
 | Louis-François de Bausset - 1809 - 592 pages
...aux autres; cet air, ce bon goût , qu'ori » ne tient que de l'usage de la meilleure com» pagnie et du grand monde , qui se trouvait » répandu de soi-même dans toutes ses conver» sations. » Mais madame de Maintenon observait l'abbé de Fénélon sous des rapports phis... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 468 pages
...meilleure compagnie, et qui se répandait comme de soi-même dans toutes ses conversations; et cela avec une éloquence naturelle , douce , fleurie ; une politesse...proportionnée ; une élocution facile , nette , agréable ; un ton de clarté et de précision pour se faire entendre même en traitant les matières les plus abstraites... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1811 - 458 pages
...qu'on ne tient que de l'usage de la bonne compagnie et du grand monde, et qui se trouvoit répandu dans toutes ses conversations : avec cela , une éloquence naturelle , douce, fleurie ; une élocution agréable, nette et claire pour se faire entendre dans les matières les plus embarrassées... | |
 | Jean Pons Victor Lacoutz de Lévizac, François Moysant - 1814 - 534 pages
...répondoient dans la même proportion , avec une aisance qui en donnoit aux autres , et cet air et ce bon goût qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure compagnie, et du grand monde , qui se trouvoit répandu de soi-même dans toutes ses conversations. Avec cela une éloquence naturelle ,... | |
 | Quintin Craufurd - 1815 - 336 pages
...répondaient dans » la même proportion avec une aisance qui en » donnait aux autres , et cet air et. ce bon goût » qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure » compagnie et du grand monde. » Ajoutez à cela une éloquence naturelle , » douce, fleurie, une politesse insinuante, mais »... | |
 | cardinal Louis François de Bausset - 1817 - 568 pages
...indéfinissable de sa physionomie ; avec une » aisance qui en donnoit aux autres , cet air et » ce bon goût, qu'on ne tient que de l'usage de » la meilleure compagnie et du grand monde, » se trou voit répandu de soi-même dans toutes ' » ses conversations » . « Je ne m'étonne point,... | |
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Ses manières y répondaient dans la même proportion, avec une aisance qui en donnait aux autres, et cet air et ce bon goût qu'on ne tient que de l'usage de la meilleure compagnie et du grand monde, qui se trouvait répandu de soi-même dans toutes... 
