Chrestomathie Française, Volume 2 |
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... ennemis de ce grand homme ! C'est le génie tutélaire et vengeur de son empire . vieux ! - quc l'em- Il est bien N'importe ; il sera dans les conseils ce qu'il était dans les armées ; et sa sagesse , si on l'écoute , sera peut - être ...
... ennemis de ce grand homme ! C'est le génie tutélaire et vengeur de son empire . vieux ! - quc l'em- Il est bien N'importe ; il sera dans les conseils ce qu'il était dans les armées ; et sa sagesse , si on l'écoute , sera peut - être ...
Page 15
... ennemis , et de souffrir sans murmure , ne veut pas sans doute que nous passions la mer pour aller égorger nos frères , parce que des meurtriers vêtus de rouge , avec un bonnet haut de deux pieds , enrôlent des citoyens en faisant du ...
... ennemis , et de souffrir sans murmure , ne veut pas sans doute que nous passions la mer pour aller égorger nos frères , parce que des meurtriers vêtus de rouge , avec un bonnet haut de deux pieds , enrôlent des citoyens en faisant du ...
Page 39
... ennemis , on apercevait leur camp , semblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs ; il était rempli de femmes et d'enfants , et retranché avec des ba- teaux de cuir et des chariots attelés de grands bœufs . Non loin de ce camp ...
... ennemis , on apercevait leur camp , semblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs ; il était rempli de femmes et d'enfants , et retranché avec des ba- teaux de cuir et des chariots attelés de grands bœufs . Non loin de ce camp ...
Page 58
... ennemis de Chrysostome , qui siégeaient au concile , s'ar- mèrent de cette faute ou de cette calomnie , et après avoir solen- nellement prononcé la déposition du patriarche pour quelques prétendus griefs de discipline ecclésiastique ...
... ennemis de Chrysostome , qui siégeaient au concile , s'ar- mèrent de cette faute ou de cette calomnie , et après avoir solen- nellement prononcé la déposition du patriarche pour quelques prétendus griefs de discipline ecclésiastique ...
Page 59
... ennemis de la cour , les mécontents , les orthodoxes , pous- sèrent des cris de douleur et d'effroi . Le faible Arcadius fut effrayé , et l'impératrice Eudoxie , troublée du tremblement de terre et de la haine du peuple , pressa ...
... ennemis de la cour , les mécontents , les orthodoxes , pous- sèrent des cris de douleur et d'effroi . Le faible Arcadius fut effrayé , et l'impératrice Eudoxie , troublée du tremblement de terre et de la haine du peuple , pressa ...
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Chrestomathie française: ou Choix de morceaux tirés des meilleurs ..., Volume 2 Alexandre Rodolphe Vinet Affichage du livre entier - 1868 |
Expressions et termes fréquents
ABNER AGAMEMNON ALCESTE âme anacoluthe ANTIGONE Antioche Athalie beau beauté Bélisaire bonheur Bossuet bras brillant bruit Buffon chants charme cher chose chrétienne Chrysostome Cicéron ciel cieux cœur courage Démosthène déserts Dieu dieux dire discours divine donner douleur doux ÉGISTHE enfants enfin ennemis esprit éternelle Eurydice fille fleurs flots flotte force fortune Gaïnas Gelimer gloire Grecs Hélas heureux hommes humain idées j'ai jamais JOAD joie Josabet jour l'âme l'éloquence l'esprit l'homme l'univers laisse langue larmes Lemonnier loin lois Louis XIV main maître malheureux MÉROPE monde mort mortels mourir nature noble nuit Ochozias OEDIPE ORONTE parler paroles passer pensée père permis de tuer peuple pleurs poésie poëte POLYEUCTE POLYPHONTE porte premier prince princesse qu'un raison regard reste rien rivage rois russe saint sainte alliance sais sang scène Seigneur semble sentiment serait seul siècle soleil sort souvent temple terre tombeau triste trouve vaisseau vanité vérité vertu voilà voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 223 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 401 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 17 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 401 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 434 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu , cher Abner , et n'ai point d'autre crainte.
Page 460 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 489 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 351 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse ; Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté : Plus on veut l'affaiblir, plus il croît et s'élance.
Page 225 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 435 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...