Chrestomathie Française, Volume 2 |
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... montrer , je souffre ordinairement davantage ; la maladie diminue ensuite et semble changer de nature : ma peau se dessèche et blanchit , et je ne sens presque plus mon mal ; mais il serait toujours supportable sans les insomnies ...
... montrer , je souffre ordinairement davantage ; la maladie diminue ensuite et semble changer de nature : ma peau se dessèche et blanchit , et je ne sens presque plus mon mal ; mais il serait toujours supportable sans les insomnies ...
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... montrer toute mon affection ; rien ne m'empêchera plus de t'approcher , et rien ne pourra nous séparer . Je te laisse la petite croix que j'ai portée toute ma vie ; elle m'a souvent consolée dans mes peines , et mes larmes n'eurent ...
... montrer toute mon affection ; rien ne m'empêchera plus de t'approcher , et rien ne pourra nous séparer . Je te laisse la petite croix que j'ai portée toute ma vie ; elle m'a souvent consolée dans mes peines , et mes larmes n'eurent ...
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... montrer com- P mandable . Racine . - - ment se fait l'analyse de la pensée dans les langues formées et perfectionnées , a pris pour objet d'étude le passage qui commence ici et qui finit par les mots , qui vivaient en même temps qu'eux ...
... montrer com- P mandable . Racine . - - ment se fait l'analyse de la pensée dans les langues formées et perfectionnées , a pris pour objet d'étude le passage qui commence ici et qui finit par les mots , qui vivaient en même temps qu'eux ...
Page 71
... montrer ses plantations ; il entendit avec intérêt l'histoire , les propriétés de chaque végétal : étonné de trouver que les plaisirs qui instruisent valent au moins les plaisirs qui ne font que fatiguer , il voulut aussi avoir un ...
... montrer ses plantations ; il entendit avec intérêt l'histoire , les propriétés de chaque végétal : étonné de trouver que les plaisirs qui instruisent valent au moins les plaisirs qui ne font que fatiguer , il voulut aussi avoir un ...
Page 76
... montrer du courage et de la con- stance dans l'amitié . Lorsque le cardinal , neveu de sa protectrice , fut arrêté , il ne cessa jamais de le voir dans sa prison et de braver la haine des personnages tout puissants qui le persécutaient ...
... montrer du courage et de la con- stance dans l'amitié . Lorsque le cardinal , neveu de sa protectrice , fut arrêté , il ne cessa jamais de le voir dans sa prison et de braver la haine des personnages tout puissants qui le persécutaient ...
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Chrestomathie française: ou Choix de morceaux tirés des meilleurs ..., Volume 2 Alexandre Rodolphe Vinet Affichage du livre entier - 1868 |
Expressions et termes fréquents
ABNER AGAMEMNON ALCESTE âme anacoluthe ANTIGONE Antioche Athalie beau beauté Bélisaire bonheur Bossuet bras brillant bruit Buffon chants charme cher chose chrétienne Chrysostome Cicéron ciel cieux cœur courage Démosthène déserts Dieu dieux dire discours divine donner douleur doux ÉGISTHE enfants enfin ennemis esprit éternelle Eurydice fille fleurs flots flotte force fortune Gaïnas Gelimer gloire Grecs Hélas heureux hommes humain idées j'ai jamais JOAD joie Josabet jour l'âme l'éloquence l'esprit l'homme l'univers laisse langue larmes Lemonnier loin lois Louis XIV main maître malheureux MÉROPE monde mort mortels mourir nature noble nuit Ochozias OEDIPE ORONTE parler paroles passer pensée père permis de tuer peuple pleurs poésie poëte POLYEUCTE POLYPHONTE porte premier prince princesse qu'un raison regard reste rien rivage rois russe saint sainte alliance sais sang scène Seigneur semble sentiment serait seul siècle soleil sort souvent temple terre tombeau triste trouve vaisseau vanité vérité vertu voilà voix Voltaire yeux
Fréquemment cités
Page 223 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 401 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 17 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 401 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 434 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu , cher Abner , et n'ai point d'autre crainte.
Page 460 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 489 - La rime n'est pas riche, et le style en est vieux; Mais ne voyez-vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets, dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure? Si le Roi m'avait donné Paris, sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué!
Page 351 - En cela, comme en tout, le ciel qui nous conduit, Racine, fait briller sa profonde sagesse ; Le mérite en repos s'endort dans la paresse ; Mais par les envieux un génie excité Au comble de son art est mille fois monté : Plus on veut l'affaiblir, plus il croît et s'élance.
Page 225 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 435 - Et quel temps fut jamais si fertile en miracles ? Quand Dieu par plus d'effets montra-t-il son pouvoir ? Auras-tu donc toujours des yeux pour ne point voir, Peuple ingrat! Quoi! toujours les plus grandes merveilles « Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles...