ÉCRITS POUR LES HABITANTS DU MONT-JURA ET DU PAYS DE GEX.
AVERTISSEMENT des éditeurs de l'édition de Kehl. AU ROI EN SON CONSEIL, pour les sujets du roi qui réclament la liberté en France, contre des moines bénédictins devenus chanoines de Saint-Claude en Franche-Comté.
XX. S'il est utile d'entretenir le peuple dans la superstition.
XXI. Vertu vaut mieux que science.
XXII. De la tolérance universelle.
Mainmorte établie dans les villages plaignants. Titres qui démontrent l'usurpation tyrannique des moines bénédictins, aujourd'hui chanoines de Saint- Claude.
LA VOIX DU CURÉ sur le procès des serfs du Mont-Jura. 481 Article premier, ibid. Article second, 483. — Article troisième.
COUTUME DE FRANCHE-COMTÉ. Sur l'esclavage imposé à des citoyens par une vieille coutume. Supplique des serfs de Saint-CLAUDE à monsieur le chancelier.
REQUÊTE AU ROI pour les serfs DE SAINT-CLAUDE, etc. ibid. EXTRAIT D'UN MÉMOIRE pour l'entière abolition de la
PIÈCES ORIGINALES CONCERNANT LA MORT DES SIEURS CALAS, ET LE JUGEMENT RENDU A TOULOUSE, etc. 555 Extrait d'une lettre de la dame veuve Calas, ibid.- Lettre de DonatCalas fils à la veuve dame Calas,sa mère. 556 MÉMOIRE DE DONAT CALAS, pour son père, sa mère, et son frère, 560. Déclaration de Pierre Calas. HISTOIRE D'ELISABETH CANNING, ET DES CALAS. 567 -D'Elisabeth Canning, ibid. Histoire des Calas. 568 DÉCLARATION JURIDIQUE de la servante de madame Calas, au sujet de la nouvelle calomnie qui persécute encore cette vertueuse famille.
LA MÉPRISE D'ARRAS, 602. — Procès criminel du sieur Montbailli et de sa femme.
FRAGMENT sur le procès criminel de Montbailli roué et brûlé vif à Saint-Omer, en 1770, pour un prétendu parricide; et sa femme condamnée à être brûlée vive, tous deux reconnus innocents. Second mémoire con- cernant cette malheureuse affaire.
ESSAI SUR LES probabilités en fait de justice.
AVERTISSEMENT des éditeurs de l'édition de Kehl,
ibid. Histoire de la veuve Genep, 610. - Première
probabilité en faveur de la veuve et de sa famille,
611. Seconde probabilité pour la vieille, 612.
Troisième probabilité défavorable à la vieille, ibid. - Quatrième probabilité en faveur de la vieille, ibid. - Première probabilité pour l'officier général, ibid. Seconde probabilité en faveur de l'officier, ibid.
- Actions commencées en justice, 613. - Nouvelles
probabilités contre la famille aux cent mille écus,
614. Intervention d'un ancien tapissier, solliciteur
de procès dans cette affaire, 615. Mort et testament
de la grand'mère pendant le procès, ibid. - Nouvelles
probabilités à examiner dans cette affaire, 616.-
S'il ne reste que des probabilités, que faire ? NOUVELLES PROBABILITÉS EN fait de Justice, dans
FRAGMENT SUR la justice, à l'occasion du procès de M. le comte de Morangiés, contre les Du Jonquay.
SUPPLEMENT AUX CAUSES CÉLÈBRES.
PROCES DE CLAUSTRE. Ingratitude, hypocrisie, rapa-
cité, et impostures jugées, ibid. - Lettre de l'apôtre
Claustre à madame de La Flachère, 652. - Premier
mensonge de Claustre, 653. Second mensonge, ibid.
-Troisième mensonge, ibid. — Quatrième mensonge,
654. Cinquième mensonge, ibid. Sixième men-
songe, ibid. Septième mensonge, ibid.- Huitième mensonge, ibid. - Neuvième mensonge, 655.- Con- clusion.
RÉPONSE A M. L'ABBÉ DE CAVEYRAC.
RÉFLEXIONS PHILOSOPHIQUES sur le procès de made- moiselle de Camp.
ÉLÉMENTS DE LA PHILOSOPHIE DE NEWTON.
finition singulière par les péripatéticiens. L'esprit sys- tématique a égaré Descartes. Son système. Faux. Du mouvement progressif de la lumière. Erreur du Spec- tacle de la nature. Démonstration du mouvement de la lumière, par Roemer. Expérience de Roëmer con- testée et combattue mal à propos. Preuves de la dé- couverte de Roemer par les découvertes de Bradley. Histoire de ces découvertes. Explication et conclusion. 691 CHAP. II. Système de Malebranche aussi erroné que celui de Descartes; nature de la lumière; ses routes; sa rapi- dité. Erreur du P. Malebranche. Expérience qui détruit la chimère des tourbillons lumineux. Défini- tion de la matière de la lumière. Feu et lumière sont le même être. Rapidité de la lumière. Petitesse de ses atomes. Fausse idée sur la manière dont elle nous vient. Progression de la lumière. Preuve de l'impos- sibilité du plein. Obstination contre ces vérités. Abus de la sainte Ecriture contre ces vérités. CHAP. III. La propriété que la lumière a de se réfléchir n'é- tait pas véritablement connue. Elle n'est point réfléchie par les parties solides des corps, comme on le croyait. -Aucun corps uni. Lumière non réfléchie par les par- ties solides. Expériences décisives. Comment et en quel sens la lumière rejaillit du vide même. Comment on en fait l'expérience. Conclusion de cette expérience. Plus les pores sont petits, plus la lumière passe. Mau- vaises objections contre ces vérités. CHAP. IV. De la propriété que la lumière a de se briser en passant d'une substance dans une autre, et de prendre un nouveau chemin. - Comment la lumière se brise. 699 CHAP. V. De la conformation de nos yeux; comment la lumière entre et agit dans cet organe. Description de l'œil. OEil presbyte. OEil myope. Ibid. CHAP. VI. Des miroirs, des télescopes; des raisons que les mathématiques donnent des mystères de la vision; que ces raisons ne sont point suffisantes.- Miroir plan. Mi- roir convexe. Miroir concave. Explications géométri- ques de la vision. Nul rapport immédiat entre les règles d'optique et nos sensations. Exemple en preuve. CHAP. VII. Comment nous connaissons les distances, les grandeurs, les figures, les situations.-Les angles ni les lignes optiques ne peuvent nous faire connaitre les dis- tances. Exemple en preuve. Ces lignes optiques ne font connaitre ni les grandeurs ni les figures. Exemple en preuve. Preuve par l'expérience de l'aveugle-né, guéri par Cheselden. Comment nous connaissons les dis- tances et les grandeurs. Exemple. Nous apprenons à voir comme à lire. La vue ne peut faire connaitre l'étendue.
CHAP. VIII. Pourquoi le soleil et la lune paraissent plus grands à l'horizon qu'au méridien. Système de Malebranche, démenti par l'expérience. Explication du phénomène.
CHAP.IX. De la cause qui fait briser les rayons de la lu- mière en passant d'une substance dans une autre ; que cette cause est une loi générale de la nature inconnue avant Newton; que l'inflexion de la lumière est encore un effet de cette cause, etc.-Ce que c'est que réfraction. Proportion des réfractions trouvée par Snellius. Ce que c'est que sinus de réfraction. Grande découverte de Newton. Lumière brisée avant d'entrer dans les corps. Examen de l'attraction. Il faut examiner l'attraction avant que de se révolter contre ce mot. Impulsion et attraction également certaines et inconnues. En quoi l'attraction est une qualité occulte. Preuves de l'at- traction. Inflexion de la lumière auprès des corps qui l'attirent.
CHAP. X. Suites des merveilles de la réfraction de la lu- mière. Qu'un seul rayon de la lumière contient en soi toutes les couleurs possibles; ce que c'est que la réfrangi- bilité. Découvertes nouvelles.- Imagination de Descar- tes sur les couleurs. Erreur de Malebranche. Expérience et démonstration de Newton. Anatomie de la lumière. Couleurs dans les rayons primitifs. Vaines objections contre ces découvertes. Critiques encore plus vaines. Expérience importante.
CHAP. XI. De l'arc-en-ciel; que ce météore est une suite né- cessaire des lois de la réfrangibilité. - Mécanisme de
l'arc-en-ciel inconnu à toute l'antiquité. Ignorance d'Al- bert-le-Grand. L'archevêque Antonio de Dominis est le premier qui ait expliqué l'arc-en-ciel. Son expérience imitée par Descartes. La réfrangibilité unique raison de l'arc-en-ciel. Explication de ce phénomène. Les deux arcs-en-ciel. Ce phénomène vu toujours en demi-cercle.
CHAP. XII. Nouvelles découvertes sur la cause des cou- leurs, qui confirment la doctrine précédente. Démons- tration que les couleurs sont occasionées par l'épaisseur des parties qui composent les corps, sans que la lumière soit réfléchie de ces parties.-Connaissance plus appro- fondie de la formation des couleurs. Grandes vérités ti- rées d'une expérience commune. Expérience de Newton. Les couleurs dépendent de l'épaisseur des parties des corps, sans que ces parties réfléchissent elles-mêmes la lumière. Tous les corps sont transparents. Preuve que les couleurs dépendent des épaisseurs, sans que les parties solides renvoient en effet la lumière. CHAP. XIII. Suite de ces découvertes; action mutuelle des corps sur la lumière.-Expériences très singulières. Conséquences de ces expériences. Action mutuelle des corps sur la lumière. Toute cette théorie de la lumière a rapport avec la théorie de l'univers. La matière a plus de propriétés qu'on ne pense. LETTRE de l'auteur, qui peut servir de dernier chapitre à la théorie de la lumière.
CHAP. I. Premières idées touchant la pesanteur et les lois de l'attraction: que la matière subtile, les tourbillons et le plein doivent être rejetés. — Attraction. Expérience qui démontre le vide et les effets de la gravitation. La pesanteur agit en raison des masses. D'ou vient ce pouvoir de la pesanteur. Il ne peut venir d'une pré- tendue matière subtile. Pourquoi un corps pèse plus qu'un autre. Le système de Descartes ne peut en ren- dre raison.
CHAP. II. Que les tourbillons de Descartes et le plein sont impossibles, et que par conséquent il y a une autre cause de la pesanteur.-Preuves de l'impossibilité des tourbillons. Preuves contre le plein.
CHAP. III. Gravitation démontrée par les découvertes de Galilée et de Newton. Histoire de cette découverte que la lune parcourt son orbite par la force de cette gravitation. Lois de la chute des corps trouvées par Galilée. Sa- voir si ces lois sont partout les mêmes. Histoire de la dé. couverte de la gravitation. Procédé de Newton. Théorie tirée de ces découvertes. La même cause qui fait tomber les corps sur la terre dirige la lune autour de la terre. 726 CHAP. IV. Que la gravitation et l'attraction dirigent toutes les planètes dans leur cours.-Comment on doit en- tendre la théorie de la pesanteur chez Descartes. Ce que c'est que la force centrifuge, et la force centripete. Cette démonstration prouve que le soleil est le centre de l'univers, et non la terre. C'est pour les raisons précé- dentes que nous avons plus d'été que d'hiver. CHAP. V. Démonstration des lois de la gravitation, tirée des règles de Kepler; qu'une de ces lois de Kepler dé- montre le mouvement de la terre.-Grande règle de Ke- pler. Fausses raisons de cette loi admirable. Raison vé- ritable de cette loi, trouvée par Newton. Récapitulation des preuves de la gravitation. Ces découvertes de Ke- pler et de Newton servent à démontrer que c'est la terre qui tourne autour du soleil. Démonstration du mou- vement de la terre, tirée des mêmes lois. CHAP. VI. Nouvelles preuves de l'attraction. Que les inéga- lités du mouvement et de l'orbite de la lune sont néces- sairement les effets de l'attraction. Exemple en preuve. Inégalités du cours de la lune, toutes causées par l'at- traction Déduction de ces vérités. La gravitation n'est point l'effet du cours des astres, mais leur cours est l'effet de la gravitation. Cette gravitation, cette attrac- tion peut être un premier principe établi dans la nature. 732 CHAP. VII. Nouvelles preuves et nouveaux effets de la gravitation; que ce pouvoir est dans chaque partie de la matière; découvertes dépendantes de ce principe. —
CHAP. XI. Du flux et du reflux. Que ce phénomène est une suite nécessaire de la gravitation.- Les prétendus tour- billons ne peuvent être la cause des marées: preuve. La gravitation est la seule cause évidente des marées. Refutation de ceux qui prétendent assigner la cause finale des marées.
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