Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif, et annotés, pour en faciliter l'intelligence |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page 9
Madame Duservant , ( examinant une liste . ) Mais il y a deux noms que je ne trouve pas sur ta liste . Caroline . Deux noms ! eh ! qui donc ? Madame Duservant . C'est à ton frère que je fais la question . Victor .
Madame Duservant , ( examinant une liste . ) Mais il y a deux noms que je ne trouve pas sur ta liste . Caroline . Deux noms ! eh ! qui donc ? Madame Duservant . C'est à ton frère que je fais la question . Victor .
Page 12
Cependant , je vous avouerai que j'ai quelque crainte que l'éprouve que je fais ne réponde pas en résultat à ce que je désire . M. Lebreton . Pourquoi donc ? Vos enfans ont un excellent naturel . Madame Duservant .
Cependant , je vous avouerai que j'ai quelque crainte que l'éprouve que je fais ne réponde pas en résultat à ce que je désire . M. Lebreton . Pourquoi donc ? Vos enfans ont un excellent naturel . Madame Duservant .
Page 17
Que tu - es butor ! tu me fais passer la roulette sur le pied . Charles . Que tu es poli , toi , c'est sans intention , sans doute . Victor . Voyons , allumons les bougies . Adèle . Où faut - il poser les candelabres ? Caroline .
Que tu - es butor ! tu me fais passer la roulette sur le pied . Charles . Que tu es poli , toi , c'est sans intention , sans doute . Victor . Voyons , allumons les bougies . Adèle . Où faut - il poser les candelabres ? Caroline .
Page 22
Victor ; ( à M. Lebreton . ) Vous êtes un drôle et un impertinent ; c'est pour vous moquer de nous que vous faites cela ? 1 Bégueule , femme dédaigneuse et impertinente . M. Lebreton . Pas du tout ! je fais mon 22 LA SOIRÉE .
Victor ; ( à M. Lebreton . ) Vous êtes un drôle et un impertinent ; c'est pour vous moquer de nous que vous faites cela ? 1 Bégueule , femme dédaigneuse et impertinente . M. Lebreton . Pas du tout ! je fais mon 22 LA SOIRÉE .
Page 23
Pas du tout ! je fais mon service . Caroline , ( à Madame Duservant . ) Et vous , mademoiselle , pourquoi arrivez - vous si tard ! vous mériteriez , ( reconnaissant sa mère . ) Ah ! Madame Duservant . Eh bien ! qu'avez - vous ?
Pas du tout ! je fais mon service . Caroline , ( à Madame Duservant . ) Et vous , mademoiselle , pourquoi arrivez - vous si tard ! vous mériteriez , ( reconnaissant sa mère . ) Ah ! Madame Duservant . Eh bien ! qu'avez - vous ?
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif ... Alexander G. Collot Affichage du livre entier - 1866 |
Chefs-dœ̓vre dramatiques de la langue française: mis en ordre progressif ... Alexander G. Collot Affichage du livre entier - 1866 |
Chefs-d'oeuvre dramatiques de la langue francaise, mis en ordre progressif ... Affichage du livre entier - 1867 |
Expressions et termes fréquents
aime Allons âme amis amour assez Auguste avez beau belle bonheur cæur Camille Cécile cent cher chercher chose ciel cœur coup cour crois Delmar demande devant Dieu dieux dire doit donne doute enfant enfin esprit Est-ce êtes fais femme ferai fille fils fond fortune Frédéric garde gens gloire Gustave heureux homme j'ai jeune Joad Joas jour juste l'autre laisse Léonor lettre m'en Madame de Brienne Madame de Detmond Madame Dorbeval main malheureux mère mieux mille monde monseigneur monsieur montre mort n'ai n'en Olivier parler passe peine pense père personne peut-être place Poligni porte pourrait premier présent Prince qu'à qu'un raison regarde Rémy reste rien Rondon s'il sais sang savez SCÈNE Scipion seigneur sera seul soins sort tenir trouve vais Valcour venir Verteuil veut veux Victor viens vient voilà vois voudrais voulez voyez vrai yeux
Fréquemment cités
Page 318 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 435 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 321 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 320 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 426 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 390 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 337 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 307 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 318 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 403 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.