Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif, et annotés, pour en faciliter l'intelligenceAlexander G. Collot D. Appleton et compagnie, 1847 - 521 pages |
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... mille petites attentions dont les détails nous appartiennent . Caroline . Oh ! tu verras ! N'ai - je pas eu d'ailleurs un excellent modèle sous les yeux ? Madame Duservant . Je ne te demande pas de me flatter , ma fille : tu me feras ...
... mille petites attentions dont les détails nous appartiennent . Caroline . Oh ! tu verras ! N'ai - je pas eu d'ailleurs un excellent modèle sous les yeux ? Madame Duservant . Je ne te demande pas de me flatter , ma fille : tu me feras ...
Page 32
... mille bombes ! je te fais peur ? Eugénie . Vous l'intimidez ... Édouard , tu ne reconnais pas le frère d'André ? Edouard . Oui ! S'il est aussi aimable que l'autre , ils font une jolie paire . Eugénie . Oh ! que c'est méchant ce que tu ...
... mille bombes ! je te fais peur ? Eugénie . Vous l'intimidez ... Édouard , tu ne reconnais pas le frère d'André ? Edouard . Oui ! S'il est aussi aimable que l'autre , ils font une jolie paire . Eugénie . Oh ! que c'est méchant ce que tu ...
Page 33
... Mille bombes ! ' quel coup d'assommoir vous me portez , mon capitaine , en m'apprenant ça . Edouard . Ah ! mon père , que je me sens coupable , et combien je me reproche d'avoir été injuste envers André ! M. Dumolard . C'est un tort ...
... Mille bombes ! ' quel coup d'assommoir vous me portez , mon capitaine , en m'apprenant ça . Edouard . Ah ! mon père , que je me sens coupable , et combien je me reproche d'avoir été injuste envers André ! M. Dumolard . C'est un tort ...
Page 34
... mille choses qui m'en font souve- nir à chaque instant , et je souffre . M. Dumolard . Allons ! allons mon cher ami , c'est un sot orgueil qui t'a tourné la tête . De quoi vas - tu t'inquiéter ? Rien ne peut faire que tu sois ...
... mille choses qui m'en font souve- nir à chaque instant , et je souffre . M. Dumolard . Allons ! allons mon cher ami , c'est un sot orgueil qui t'a tourné la tête . De quoi vas - tu t'inquiéter ? Rien ne peut faire que tu sois ...
Page 42
... mille fois plus flatté de voir mes enfans ( car ils le sont par la tendresse qu'ils m'inspirent , et par mon amitié pour leur père ) de les voir , dis - je , accourir à moi les bras ouverts , et m'accabler de leurs touchantes caresses ...
... mille fois plus flatté de voir mes enfans ( car ils le sont par la tendresse qu'ils m'inspirent , et par mon amitié pour leur père ) de les voir , dis - je , accourir à moi les bras ouverts , et m'accabler de leurs touchantes caresses ...
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Expressions et termes fréquents
Abner Acaste Adieu aime Alceste Allons âme amis amour Athalie Auguste avez Baptiste Belle-Main bonheur Camille Caroline Cécile Célimène charmante cher chose ciel Cinna cœur crois Delmar Didier Dieu dieux dire Dormeuil Dornonville Ducros Dumolard Dumont Egis Égisthe enfant esprit Est-ce êtes Eugénie Euph fils fortune Francaleu Franval Frédéric Germont gloire Gustave Hermance heureux homme Isménie j'ai j'en jamais Joad Joas Josabet jour Léonor lévites Lisette Lucile m'en Madame Beaumont Madame de Brienne Madame de Detmond Madame de Melcourt Madame Dorbeval Madame Duservant mademoiselle main malheureux Mérope Messène monde monseigneur Narbas Olivier Oronte parler pense père Phil Poligni Polyphonte Prince Qu'est-ce regarde Rémy rien rois Rondon sais salon sang SCENE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion seigneur sera seul soins sort t'en temple tyran vais Valcour venger Verteuil veux Victor voilà vois yeux
Fréquemment cités
Page 338 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 455 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 341 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 340 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 446 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 410 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 357 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 323 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 338 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 423 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.