Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif, et annotés, pour en faciliter l'intelligence |
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Page 10
Je te sais gré de cette déférence à mes observations ; mais je voudrais croire que tu es convaincu de leur justesse . Caroline . Mon frère en est touché comme moi , j'en suis sûre ; je me charge de les lui rappeler s'il les oublie .
Je te sais gré de cette déférence à mes observations ; mais je voudrais croire que tu es convaincu de leur justesse . Caroline . Mon frère en est touché comme moi , j'en suis sûre ; je me charge de les lui rappeler s'il les oublie .
Page 13
Je l'ai promis ; cependant je voudrais être à même de tout voir sans me montrer . M. Lebreton . Je le conçois ... Il y aurait peut - être quelque moyen . Madame Duservant . Voyons , cherchez ... M. Lebreton .
Je l'ai promis ; cependant je voudrais être à même de tout voir sans me montrer . M. Lebreton . Je le conçois ... Il y aurait peut - être quelque moyen . Madame Duservant . Voyons , cherchez ... M. Lebreton .
Page 29
Non , papa ; j'aime bien André , au contraire , et je voudrais qu'il fût avec moi comme Édouard . Croirais - tu que je n'ai jamais pu le faire arriver à me tutoyer ? M. Dumolard . Sa fierté a quelque chose de naturel et qu'on ne saurait ...
Non , papa ; j'aime bien André , au contraire , et je voudrais qu'il fût avec moi comme Édouard . Croirais - tu que je n'ai jamais pu le faire arriver à me tutoyer ? M. Dumolard . Sa fierté a quelque chose de naturel et qu'on ne saurait ...
Page 31
Et mon frère André , je voudrais bien le voir . Eugénie . Je l'ai fait appeler ; il ne tardera pas à venir .... Mange , si cela te semble bon . M. Dumolard , ( après avoir lu . ) Ah ! quelle déplorable situation ! ... Malheureux père !
Et mon frère André , je voudrais bien le voir . Eugénie . Je l'ai fait appeler ; il ne tardera pas à venir .... Mange , si cela te semble bon . M. Dumolard , ( après avoir lu . ) Ah ! quelle déplorable situation ! ... Malheureux père !
Page 56
Je voudrais bien savoir ce que va dire mon frère . jaloux . Mais je ne l'oublierai pas certainement , pourvu qu'il me reste encore quelque chose après tous mes besoins . J'entends M. Verteuil qui revient avec lui .
Je voudrais bien savoir ce que va dire mon frère . jaloux . Mais je ne l'oublierai pas certainement , pourvu qu'il me reste encore quelque chose après tous mes besoins . J'entends M. Verteuil qui revient avec lui .
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 318 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 435 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 321 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 320 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 426 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 390 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 337 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 307 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 318 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 403 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.