Chefs-d'œuvre dramatiques de la langue françaiseAlexander G. Collot D. Appleton et compagnie, 1847 - 5 pages |
À l'intérieur du livre
Page 59
... gloire , tout mon plaisir . Verteuil . De quels doux sentimens vous me pénétrez l'un. et. l'autre ! Ô. mes. chers. amis ! je. ne. sens. plus. de. regret. d'être privé d'enfans . Vous m'en tiendrez lieu désormais , car j'éprouve pour vous l ...
... gloire , tout mon plaisir . Verteuil . De quels doux sentimens vous me pénétrez l'un. et. l'autre ! Ô. mes. chers. amis ! je. ne. sens. plus. de. regret. d'être privé d'enfans . Vous m'en tiendrez lieu désormais , car j'éprouve pour vous l ...
Page 85
... gloire fugitive De nous ne s'approche jamais ; Après la mort seulement elle arrive ... Et nos lauriers sont des cyprès . Auguste , ( de l'autre côté . ) Je tiens mon air villageois ; Sautez , fillettes , À ma voix . D'ici j'entends à la ...
... gloire fugitive De nous ne s'approche jamais ; Après la mort seulement elle arrive ... Et nos lauriers sont des cyprès . Auguste , ( de l'autre côté . ) Je tiens mon air villageois ; Sautez , fillettes , À ma voix . D'ici j'entends à la ...
Page 112
... gloire : rappelons - nous que nous devons rem- placer un jour , ( à Victor , ) toi , Girodet , ( à Scipion , ) toi , Mar- jolin et Dupuytren , et moi , Boïeldieu . Je reprends ma lyre ; toi , reprends tes pinceaux , et toi , retourne à ...
... gloire : rappelons - nous que nous devons rem- placer un jour , ( à Victor , ) toi , Girodet , ( à Scipion , ) toi , Mar- jolin et Dupuytren , et moi , Boïeldieu . Je reprends ma lyre ; toi , reprends tes pinceaux , et toi , retourne à ...
Page 118
... gloire et à la réputation , et qui a pensé mourir de joie en voyant un jour son nom imprimé dans le journal du département . Rémy . C'est lui - même . Il ne recherche pas la fortune , car il en a beaucoup ; mais quand j'étais à ...
... gloire et à la réputation , et qui a pensé mourir de joie en voyant un jour son nom imprimé dans le journal du département . Rémy . C'est lui - même . Il ne recherche pas la fortune , car il en a beaucoup ; mais quand j'étais à ...
Page 121
... gloire solide et plus durable . Delmar . Oui , une gloire posthume : essaye , et tu m'en diras des nouvelles . Rémy . Adieu , je vais faire quelques visites . Delmar , ( le retenant . ) Mais , écoute donc . Rémy . Si les personnes que j ...
... gloire solide et plus durable . Delmar . Oui , une gloire posthume : essaye , et tu m'en diras des nouvelles . Rémy . Adieu , je vais faire quelques visites . Delmar , ( le retenant . ) Mais , écoute donc . Rémy . Si les personnes que j ...
Autres éditions - Tout afficher
Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif ... Alexander G. Collot Affichage du livre entier - 1866 |
Chefs-d'oeuvre drammatiques de la langue française: mis en ordre progressif ... Alexander G. Collot Affichage du livre entier - 1847 |
Expressions et termes fréquents
Abner Acaste Adieu aime Alceste Allons âme amis amour Arsinoé Athalie Auguste avez Baptiste Belle-Main bonheur Camille Caroline Cécile Célimène charmante cher Chœur chose ciel cœur crois Delmar Didier Dieu dieux dire Dormeuil Dornonville Ducros Dumolard Dumont Egis Égisthe enfant Est-ce êtes Eugénie Euryclès femme fils fortune Francaleu Franval Frédéric Germont Gustave Hélas Hermance heureux homme Isménie j'ai j'en jamais Joad Joas Josabet Léonor lévites Lisette Lucile m'en Madame Beaumont Madame de Brienne Madame de Detmond Madame de Melcourt Madame Dorbeval Madame Duservant mademoiselle main malheureux Mathan Mérope Messène monde monseigneur monsieur de Nangis Narbas Olivier Oronte parler pense père Phil Poligni Polyphonte Prince Qu'est-ce regarde Rémy rien rois Rondon sais salon sang SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII Scipion sera seul soins sort temple vais Valcour Verteuil veux Victor voilà vois vrai yeux
Fréquemment cités
Page 338 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms.
Page 455 - Je devrais, sur l.autel où ta main sacrifie, Te... Mais du prix qu'on m'offre il faut me contenter. Ce que tu m'as promis, songe à l'exécuter.
Page 341 - Je suis assez adroit, j'ai bon air, bonne mine, Les dents belles surtout, et la taille fort fine. Quant à se mettre bien, je crois, sans me flatter, Qu'on serait mal venu de me le disputer. Je me vois dans l'estime autant qu'on y puisse être, Fort aimé du beau sexe et bien auprès du maître. Je crois qu'avec cela, mon cher marquis, je crois Qu'on peut, par tout pays, être content de soi.
Page 340 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits.
Page 446 - Joad. ô mon fils,' de ce nom j'ose encor vous nommer, Souffrez cette tendresse, et pardonnez aux larmes Que m'arrachent pour vous de trop justes alarmes: Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur : De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse.
Page 410 - Oui, je viens dans son temple adorer l'Éternel : Je viens, selon l'usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée.
Page 357 - Oui, je voudrais qu'aucun ne vous trouvât aimable, Que vous fussiez réduite en un sort misérable; Que le ciel, en naissant, ne vous eût donné rien; Que vous n'eussiez ni rang, ni naissance, ni bien, Afin que de mon cœur l'éclatant sacrifice Vous pût, d'un pareil sort, réparer l'injustice, Et que j'eusse la joie et la gloire en ce jour De vous voir tenir tout des mains de mon amour.
Page 323 - II faut fléchir au temps sans obstination ; Et c'est une folie à nulle autre seconde , De vouloir se mêler de corriger le monde. J'observe , comme vous , cent choses tous les jours , Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours...
Page 338 - L'orgueilleuse a le cœur digne d'une couronne; La fourbe a de l'esprit, la sotte est toute bonne; La trop grande parleuse est d'agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. C'est ainsi qu'un amant dont l'ardeur est extrême, Aime jusqu'aux défauts des personnes qu'il aime.
Page 423 - J'allais prier Baal de veiller sur ma vie^ Et chercher du repos au pied de ses autels. Que ne peut la frayeur sur l'esprit des mortels! Dans le temple des Juifs un instinct m'a poussée, Et d'apaiser leur Dieu j'ai conçu la pensée; J'ai cru que des présents calmeraient son courroux, Que ce Dieu, quel qu'il soit, en deviendrait plus doux, Pontife de Baal, excusez ma faiblesse.