Suite du répertoire du Théâtre Français: avec un choix des pièces de plusieurs autres théâtres, Volume 38

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Dabo, 1822
 

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Fréquemment cités

Page 296 - ... Oui, s'il vit encore... Qui sait si lui, si ma petite Amélie, ne déposent pas depuis longtemps contre moi au tribunal de l'Etre suprême? Idée cruelle, pourquoi me tourmentes-tu? pourquoi fais-tu retentir à mes oreilles leurs cris inutiles et plaintifs? pourquoi me peins-tu ces pauvres innocents luttant contre les maladies de l'enfance, implorant des secours qu'une main mercenaire leur accorde à regret... ou leur refuse peutêtre?... Car, hélas ! ils sont abandonnés par leur mère... par...
Page 62 - Nous reviendrons avec plaLir à l'objet de votre demande. Dans ce moment, occupez-vous de remplir les fonctions qui vous sont confiées. ( en regardant Edouard.} Nous, de notre côté, comme femmes, sans nous mêler de ces querelles politiques , nous remplirons les devoirs que le ciel et l'humanité doivent inspirer à tous les cœurs sensibles. SCÈNE VIII. EDOUARD, LADY DATHOL, MALVINA, DARGILL, UN DOMESTIQUE.
Page 188 - Dichter der .Räuber' und seine unseligen deutschen Verhältnisse bleibt ein revolutionärer Gruß, den ausgerechnet der Räuber Ratzmann, diplomatisch wie ein außenpolitischer Sprecher der Revolutionsregierung, aussprechen muß: „Ne bornons pas nos exploits ä punir les oppresseurs de notre patrie, rendons nos bienfaits universels. Analysons les droits que la nature a departis ä notre espece, adressons ce manifeste ä tous les peuples courbes sous le joug des tyrans, ä tous les hommes encore...
Page 323 - Oui. . . , ce fut elle. . . (Hors d'elle-même, et dans un mouvement violent, elle se précipite aux pieds de la comtesse. ) Ne me repoussez pas..., je ne veux qu'une place obscure où je puisse mourir. LA COMTESSE, reculant un peu. Grand Dieu!... vous êtes...
Page 319 - Je n'affecterai point une ridicule et fausse modestie ; il fut un temps où l'on pouvait trouver en moi les avantages de la figure ; mais.... de longs chagrins ont altéré mes traits. Ah ! c'est la paix du cœur qui répand le charme le plus séduisant sur le visage d'une femme. Le regard qui subjugue un honnête homme ne doit être que l'expression d'une âme irréprochable. LA COMTESSE, avec une bonté affectueuse. Que le Ciel me conserve toujours un cœur aussi pur que celui qui se peint dans...
Page 323 - Etilatie à ses pieds. La compassion la retient et la ramène. Quoi ! vous seriez... mais elle est accablée... le remords la déchire. Ah ! loin de moi cette rigueur extrême qui fait repousser les malheureux. (Elle la...
Page 151 - Que le scélérat de quelque rang qu'il soit, tremble, en apprenant qu'il existe des juges incorruptibles qui pèsent dans la même balance l'homme qui repose BOUS le chaume et l'homme entouré du faste de l'opulence.
Page 282 - Major , avec quelle rapidité le lems s'écoule', lorsqu'une certaine uniformité règne dans notre façon de vivre. Les heures de chaque matinée rappellent exactement celles de la veille , et les" mêmes agrémens renaissent avec les mêmes occupations. Lorsqu'à la fraîcheur d'un beau matin, je me lève pour jouir de la vue du soleil levant, je ne me lasse point d'admirer l'agissante activité des
Page 322 - Oh! qu'il est dur de détruire une illusion à laquelle je dois vos bontés... mais il le faut, Eulalie, l'orgueil peut-il te convenir encore? ne vous parla-t-on jamais d'une baronne de Meinau. i.
Page 265 - Le repos , sans doute, ne se trouve pas toujours dans l'ame du solitaire. Malheureuse Eulalie ! les remords déchirans te suivront partout , dans le cloître, dans les déserts; mais du moins, quand leur poids oppressait ton cœur, tu pouvais verser des larmes , et personne ne te demandait pourquoi tu les avais répandues : tu pouvais errer dans les vallons, dans les campagnes , et l'on ne s'apercevait point que tu obéissais à l'agitation d'une conscience bourrelée.

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