Cher Journal : Du désespoir à la libertéScholastic Canada, 1 nov. 2012 - 240 pages Julia May et les autres membres de sa famille ont réalisé l'impossible : ils ont fui la Virginie et la plantation de tabac où ils étaient esclaves. Ils marchent maintenant vers le nord, car on dit que là-bas, les esclaves sont libres. Julia May raconte leur histoire dans son journal intime. Leur voyage est épuisant et terrifiant. Ils marchent la nuit et se cachent le jour, mais ils n'abandonnent pas, car ils gardent espoir de pouvoir commencer une nouvelle vie au Canada.À cette époque, on interdisait aux jeunes esclaves d'apprendre à lire et à écrire. Julia May avait appris en secret, avec l'aide de sa maîtresse. Le fait d'écrire dans son journal l'a sûrement aidée à traverser les épreuves terribles qu'elle a dû affronter avec sa famille. Pour rédiger ce livre bouleversant, l'auteure a effectué des recherches approfondies sur « la filière clandestine ». |
Table des matières
Section 1 | |
Section 2 | |
Section 3 | |
Section 4 | |
Section 5 | |
Section 6 | |
Section 7 | |
Section 8 | |
Section 9 | |
Section 10 | |
Section 11 | |
Section 12 | |
Section 13 | |
Section 14 | |
Section 15 | |
Expressions et termes fréquents
aider allait aller allés Amélie appelé arrivés assis Aujourd’hui aurait avant avons bateau bonne Bozo bras c’est c’était Canada Canada-Ouest chanter chemin cheval chiens chose contente côté couleur coup crié crois d’autres d’esclaves d’un d’une demain demandé devant dire écrire enfants entendu esclaves étions faisait famille femme fille Frost fugitifs garçon gens guerre heureuse homme j’ai j’avais j’étais janvier jeune Joseph jour journée jusqu’à l’air l’école l’église laisser libres Lundi main maintenant maison maman marcher mars mère mieux Mlle Mme Long n’ai n’avais n’en n’est n’était neige Noah noir Nord nouveau nuit papa parler passé pendant penser personne petit petite peur place porte pouvait premier presque pris qu’elle qu’il qu’on regarder rendre rester retourner réussi révérend rien s’est s’il sais Sarah semblait sent sera seule sœur sommes sortir Sound sûr terre tête Thomas tomber Toronto train travail trouver vais Vendredi voulait vraiment yeux