Croyez-moi, ma fille, ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie : il s'est approché de telle sorte de ces derniers moments qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour lui. » Cependant ce même homme qui mourait avec tant... Portraits de femmes - Page 305de Charles Augustin Sainte-Beuve - 1852 - 532 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1790 - 450 pages
...qu'il recevoit Notre-Seigneur; il envoya savoir à midi de ses nouvelles. Croyezmoi , ma fille , ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie ; il s'est approché de telle sorte ces derniers moments , qu'ils n'ont rien de nouveau, ni d'étranger pour lui. M. de Marsillac arriva... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1801 - 514 pages
...Nôtre-Seigneur ; il envoya savoir à midi de ses nouvelles. Croyez-moi, ma fille, ce n'est pas inu Lilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie ; il s'est approché de telle sorte ces derniers momens , qu'ils n'ont rien de nouveau , ni d'étranger pour lui. M. de Marsillac arriva... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1803 - 408 pages
...c'est la maladie et la mort de son « voisin dont il est question ; il n'en est pas « effleuré.... Ce n'est pas inutilement qu'il a « fait des réflexions toute sa vie ; il s'est ap« proché de telle sorte de ces derniers mo« mens, qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'é« trange... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1804 - 708 pages
...du reste c'est la maladie et la mort de son voisin dont Ц est question ; il n'est pas effleuré. Ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie ; il s'est approché de telle sorte aux derniers mo— mens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour lui. y On trouve à la fin... | |
| Louis Mayeul Chaudon, Antoine-François Delandine - 1804 - 672 pages
...reste c'est la maladie et la mort de son voisin dont il est question ; il «'est pas effleuré. Ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie ; il s'est approché de telle sorte aux derniers mo— mens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour lui. » On trouve à la fin... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1804 - 676 pages
...reste c'est 1« maladie et la mort de son voisin dont Ц est question ; il n'est pas effleuré. Ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie ; il s'est npproché de telle sorte aux derniers mo— mens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour... | |
| Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 pages
...reste c'est la maladie et la mort de son voisin dont il. est question ; il n'est pas effleuré. Ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie; il s'est approché de telle sorte aux derniers momens , qu'il* n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour lui. » On trouve à la fin des... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1805 - 558 pages
...du reste c'est la maladie et la mort de son voisin dont il est question ; il n'est pas effleuré. Ce n'est pas inutilement qu'il a fait des réflexions toute sa vie; il s'est approché dp telle sorte aux derniers momens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni d'étrange pour lui. » On trouve... | |
| Jean Baptiste Antoine Suard - 1806 - 592 pages
...la maladie et la mort de son « voisin dont il est question ; il n'en est pas « effleuré .... Ce n'est pas inutilement qu'il « a fait des réflexions...toute sa vie ; il s'est « approché de telle sorte de ces derniers « momens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni « d'étrange pour lui. » Il mourut en i680,... | |
| Jean Baptiste A. Suard - 1806 - 410 pages
...c'est la maladie et la mort de son « voisin dont il est question; il n'en est pas « effleuré Ce n'est pas inutilement qu'il « a fait des réflexions...toute sa vie ; il s'est « approché de telle sorte de ces derniers v momens , qu'ils n'ont rien de nouveau ni «t d'étrange pour lui. » II mourut en 1680,... | |
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